Dimanche soir, lors de la rencontre opposant Cadiz au FC Valence en Espagne, l'ancien joueur de l'OL Mouctar Diakhaby a été victimes d'insultes racistes lors d'une altercation avec un adversaire. Le défenseur valencian a alors prévenu l'arbitre qu'il quittait le terrain, suivi par tous ses coéquipiers solidaires.
Le jeu a finalement repris au bout d'un quart d'heure, mais sans Mouctar Diakhaby, qui a préféré rester en tribunes mais qui a demandé au reste de l'équipe de retourner sur le terrain pour battre Cadix, ce qui n'arrivera pas puisque Valence s'inclinera.
"On nous a dit que l'on devait rejouer parce que sinon on allait perdre les trois points, voire plus. C'est Diakhaby qui nous a demandé de jouer, sinon on ne l'aurait pas fait. (...) Lui nous a dit qu'il ne voulait pas rejouer. Diakhaby est effondré. Ca a été une insulte très laide que je ne vais pas répéter", a réagi après la rencontre son coéquipier Gaya.
J oserai dire que le virage Sud du Groupama est tres calme depuis un an ..
Signaler RépondreEt puis l article parle des Espagnols racistes ...a ben alors! y'a pas que les Français ?
Tout un monde de certitude qui se lézarde...
Pas grave en vrai !
Signaler RépondreLes fes fachos qui imitent les cris de singes savent qu' aboyer en vrai ! Ils ne m' méritent même pas une branche d'arbre et encore moins une banane !
Ils m' méritent simplement une cage sur Tête d'Or !
Savoir écrire correctement, visiblement, c'est compliqué ....
Signaler RépondreJolie grossophobie et belle diffamation tiens
Signaler RépondreLe virage sud et nord à Lyon ces les plus gros racistes en supporter en France ces connu
Signaler RépondreOn regarde l' Espagne, mais le Virage Sud de Lyon ne vaut pas mieux question racisme et néofascisme.
Signaler RépondreTant que l' on tolèrera l' extreme droite, tant que les commentateurs des plateaux télé (ainsi que certains ministres) reprendront le discours de l' extreme droite a la télévision, l' extreme droite se croira légitime, et ces faits se produiront.
Les gogols racistes qui insultent les joueurs noirs et qui utilisent les tribunes pour recruter des militants violents ne sont qu' une partie du problème. Les pousse-au-crime des plateaux télé, des journaux et des partis politiques sont la cause du problème.