Cette semaine, l'actualité s'est intéressée aux repas clandestins organisés par des chefs ou dans des restaurants. Un phénomène qui n'épargne évidemment pas Lyon. "Les agissements de quelques-uns ne peuvent pas mettre en difficulté toute une profession", prévient Thierry Fontaine, président de l'UMIH du Rhône. "Je peux difficilement l'expliquer mais je peux comprendre que ceux qui sont en dehors des aides fassent tout pour survivre", précise-t-il également.
Gérant d'un restaurant mais aussi d'une brasserie et d'une boîte de nuit, tous fermés, Thierry Fontaine n'est pas optimiste pour les prochains mois : "On a des aides. Mais ce n'est pas suffisant. Certains ont creusé un trou dans leur trésorerie. Le redémarrage nous fait vraiment peur".
"Certains ne rouvriront pas. Le pire, ça va être six mois, un an après la réouverture, quand les PGE vont arriver, quand toutes les charges cumulées vont arriver et qu'il va falloir tout rembourser, les gens vont être en défaut de paiement", prédit-il.
(Nous nous excusons pour le problème technique rencontré sur le micro de Gérard Angel en début d'interview).
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Ben faut rester fermer ,c'est la solution !!!!
Signaler RépondreChristophe Marguin, est venu encore pleurer chez BFM Lyon .
Signaler Répondre...dit le gars qui a son boulot peinard.
Signaler RépondreEux ils commencent déjà à gratter des aides pour la réouverture haha bravo champion !
Signaler RépondreCe ne sont pas les vrais restaurants dont il doit avoir peur, qui respecteront pour la majorité les gestes barrière, ce sont plutôt les milliers de sandwicheries qui vont poser problème comme actuellement d'ailleurs.
Signaler Répondre10000 e minimm d aides et ca ne suffit pas
Signaler RépondreEh ben elle est belle la france et ses commercants