Elle concerne les habitants des quartiers prioritaires de la politique de la ville, qui sont au nombre de 37 au sein de la Métropole de Lyon.
La conclusion est la suivante : les habitants de ces quartiers sont peu mobiles. Au cours de l’année 2015, ils sont 11,5% à avoir déménagé (soit 18 100 personnes) contre 12,4% pour les autres habitants de la Métropole de Lyon.
Lorsqu’ils bougent, ils sont 41% à quitter les quartiers prioritaires mais à rester au sein de la collectivité lyonnaise. Les autres restent dans les quartiers prioritaires de la Métropole (34% dans le même quartier où ils résidaient).
"La forte pression de la demande en logement social (six pour une attribution en 2016) associée à la tension globale du marché du logement, encore plus marquée à Lyon et à Villeurbanne, constituent certainement un frein aux mobilités", détaille l’INSEE.
A noter également une mobilité plus importante des habitants des 15 quartiers prioritaires de Lyon et de Villeurbanne vers les autres quartiers non prioritaires de la Métropole. A l’inverse, beaucoup de déménagements se font au sein du même quartier dans les 22 autres prioritaires de la collectivité, notamment à Saint-Priest Bel Air, Vaulx-en-Velin Grande Ile, Vénissieux Minguettes-Clochettes, Bron Parilly ou encore Rillieux-la-Pape Ville Nouvelle (jusqu’à 53% des déménagements).
Pour une fois, je suis d'accord avec Yves. L'écart est faible, et sa justification est moins liée à l'adresse (quartier sensible ou pas) qu'au niveau de revenu de ces ménages. En effet, les français les plus pauvres déménagent moins souvent que les catégories plus aisées (dont les carrières professionnelles les conduisent à prendre des postes ou des promotions plus souvent)
Signaler RépondreAvec une petite différence de 0,9%, cet article mérite t'il un tel titre ???
Signaler Répondre"La conclusion est la suivante : les habitants de ces quartiers sont peu mobiles. Au cours de l’année 2015, ils sont 11,5% à avoir déménagé (soit 18 100 personnes) contre 12,4% pour les autres habitants de la Métropole de Lyon."
Ce qui me dégoûte ce sont les gens qui critiquent les riches , les bourgeois, parce qu'eux même ne peuvent pas se payer ce que les riches ont gagné. Chacun doit vivre avec la valeur de son porte monnaie et pas au-dessus de ses moyens. Demander aux banques quelle est la proportion d'interdit bancaire entre les bourgeois et les bourges ? Quelle caste de la population se démunie pour aller faire du ski à Courchevel, parce que Pralognan n'est pas assez chic, ceux qui vont en vacances à Saint Tropez et qui reviennent, raides, heureusement il y a la prime de rentrée scolaire. Chacun son monde, je n'envie pas le votre, pourquoi enviez vous le mien ?
Signaler RépondreVous avez raison , AntiSocial !
Signaler RépondreMoi , aussi je fais peut-être un peu trop part des mes opinions ? Mais c'est le but de tout forum . Ou alors ..........
Trois points de réflexion par rapport au sujet
du logement , les loyers sont beaucoup trop élèves et représente un pourcentage beaucoup trop important dans le budget d'une famille .
Mais c'était déjà le cas en 1950 , ce logé était une véritable galère .
Le regroupement familiale pour moi , il a toujours existé , hier c'était des italiens ou des Polonais , je connais des familles d'origine maghrébine dont femme et enfants vivent en Italie et dont le père est venu chercher du travail en France .
Particularités de ces familles
Elles espèrent faire venir leurs familles en France .
Vous ne feriez pas la même chose a leurs places ?
Quelle chance pour nous d'avoir jamais eu besoin de se poser la question !
Dernier point , ou j'ai peut de recul , mais un exemple , la rénovation des anciens logements
Voilà un immeuble ancien dont le propriétaire demande le raccordement au réseau du chauffage urbain pour cela il doit engager des travaux d'isolation pour lesquels il perçoit des aides de l'etat , de la région , du département .
Voir peut-être les trois en même temps !
Résultat le propriétaire au vu des travaux demande une augmentation de loyer de plus de 50 pourcent , certe sur un loyer sûrement sous évalué par rapport au quartier , mais je crains que cet exemple ne soit pas un cas isolé .
Et on peut mieux comprendre que des familles qui vivent dans des cités y reste et ne déménagent pas pour apporter de la mixité .
Voilà , une partie de mes opinions , d'après vous , j'aurais pas dû en parler ? Cordialement à vous . J.M
Je ne suis pas anti social, bien au contraire !!! Je souhaite que la minorité qui fait chier tous les autres contemporains cesse de polluer notre environnement, cesse de créer l'insécurité, c'est bien qu'elle soit regroupée en un seul endroit, au moins nous savons où est la crasse
Signaler RépondreKikou, de plus en plus craignos.
Signaler RépondreA force d'afficher tout vos avis PERSONNEL, on connait tout de vos goûts, prostitutions, extrême droite "patriotique", racisme de classe sociale.
D'un autre côté, les bourgeois de votre espèce pratiquent aussi le regroupement familial et social dans le quartier de riches.
Quartiers prioritaires ne veut pas dire habitants pauvres.
Signaler RépondrePourquoi quand on peut avoir un T5 pour une bouchée de pain ?
Signaler RépondreNormal, c'est cela le rassemblement familial.
Signaler RépondreUne lapalissade !
Signaler RépondreBen oui, ils n'ont pas les moyens de pouvoir déménager, ou pas très loin.
Signaler RépondreOn voit encore clairement les différences de "classes", différences qui sont de plus en plus nettes depuis plusieurs années surtout sur le logement.
Merci une fois de plus messieurs/dames les politiques qui ne pensent toujours qu'à leurs propres intérêts...