Ce quart de finale retour de Ligue des Champions devait permettre de départager les deux formations ennemies, après le court succès 1-0 de Lyon à l’aller.
L’équipe de Jean-Luc Vasseur démarrait sur les chapeaux de roues en ouvrant la marque dès la 4e minute de jeu. Delphine Cascarino arrivait à trouver par miracle Catarina Macario dans la surface. L’Américaine mettait ainsi ses coéquipières dans d’excellentes conditions pour la suite de la rencontre (1-0).
Le PSG n’était pas abattu pour autant, et la machine se mettait en place pour pilonner le but de Sarah Bouhaddi. La gardienne lyonnaise craquait à la 25e minute, sur une jolie frappe de Grace Geyoro (1-1).
A la mi-temps, on pouvait donc dire que l’OL s’en sortait plutôt bien. D’autant que plusieurs cadres comme Amandine Henry et Eugénie Le Sommer étaient sur le banc. Toutefois, le calcul était simple : il fallait à tout prix empêcher Paris de marquer ce but à l’extérieur qui les qualifierait pour la suite de la compétition européenne.
Sauf que la pression parisienne se faisait de plus en plus forte. Et à la 61e minute, Wendie Renard trompait sa propre gardienne en coupant la trajectoire d’un centre (1-2). Cruel coup du sort pour l’héroïne du match aller.
On aurait pu imaginer Lyon se ruer à l’attaque pour obtenir sa qualification. Mais c’est bien Paris qui continuait de pousser et qui était le plus proche du troisième but. Victoire et qualification logique donc pour les rivales de la capitale, dans la peau désormais du favori pour le titre européen.
La fin d'une époque ?
Pour l’OL, c’est une petite catastrophe qui traduit bien la baisse de régime de ces dernières années, mais aussi la montée en puissance de ses adversaires et notamment du PSG. C’est d’ailleurs Paris qui avait été la dernière équipe à avoir réussi à sortir Lyon en 8e de finale en 2015.
Désormais débarrassée des rencontres européennes, la formation lyonnaise va se concentrer sur le championnat et dans sa lutte pour reprendre la 1ère place au club de la capitale. Une saison blanche serait la fin d’un cycle pour Jean-Michel Aulas, plutôt habitué aux triplés triomphants.
Jamais vu autant mal jouer d'habitude c'est plus wahoo la c'était ouhla
Signaler RépondreElles ont gagné pendant des années dans l'indifférence et elles ont perdu dans la même indifférence.
Signaler RépondreAussi pour le derby je crois...des cas de covid chez les verts...si ma mémoire est bonne
Signaler RépondreSauf qu'en championnat, quand le COVID était au PSG, JMA a insisté pour jouer le match le plus vite possible.
Signaler RépondreLa Fontaine a dit : tel est pris qui croyait prendre.
L'année prochaine l'OL récupèrera ses blessées longue durée.
Ça fait bizarre !!!!
Signaler RépondreLes filles sont restées 2 semaines sans jouer, normalement ce match aurait du être repoussé . C'est un beau cadeau fait au PSG QUI AURAIT PU REMERCIER L OL DE LES AVOIR LAISSER GAGNER..
Signaler RépondrePour le PSG, à 3 matches du doublé LdC F et H , personne ne l'a fait...
Signaler RépondreEt en L1 le PSG H et l'OL F vont passer le relais...
Dans quel monde vit-on ?
Wendy renard et Bouhaddi qui ont chacune 50 ? responsabilité sur le deuxième vont très mal dormir cette nuit!
Signaler Répondrecomment peut on aligner d’entrée une equipe aussi inexpérimenté face a une tres belle équipe parisienne. Hommes ou Filles sacré coach. Vivement la saison prochaine
Signaler RépondreJ'aura parié une boule sur l'OL, et j'aurai perdu une boule
Signaler RépondreVive le PSG