A 11h, place Lazare-Goujon, le collectif "NON Loi Sécurité Globale" a tenu une conférence de presse pour contester et demander l’abrogation complète de la loi "sécurité globale".
Cette conférence de presse fait suite à l’adoption définitive de la loi le 15 avril dernier par le Parlement.
Le collectif, accompagné d’autres organisations, a présenté leur saisine citoyenne du Conseil Constitutionnel pour "préserver les libertés". Cette action est en lien avec la coordination nationale "Stop loi sécurité globale".
Selon eux, les différents articles de cette loi "portent atteinte aux droits et libertés que la constitution garantit" comme "le droit au respect de la vie privée", ou encore "la légalisation sans garantie suffisante de l’utilisation des drones".
L’article 24, qui reste le plus contesté, porterait "une atteinte évidente aux principes de légalité des délits et des peines, au droit à la sureté, et fait peser sur la liberté d’expression ainsi que sur la liberté de la presse une grave menace".
Ce jeudi, le premier ministre Jean Castex a saisi le Conseil Constitutionnel sur la loi "sécurité globale" pour lever "tout doute".
J.N
Des citoyens , tout simplement. Et qui exerce un droit que la loi leur reconnaît, point.
Signaler RépondreBof, à leur dernière manif à Bellecour, ils étaient 300/400, un samedi après-midi: des antifas, des ex-gilets jaunes, des anti-vaccins, et autres complotistes.
Signaler RépondreLes gauchistes parlent aux gauchistes.....Avec ça, on avance
Signaler RépondreJ'y serai à la manif.
Signaler RépondreCar si nos chances pour la France ne peuvent plus afficher les photos des flics et leurs familles dans les halls d'immeuble, c'est une grave violation de leurs droits.
Allez faire votre meeting au Tonkin.Avec l'insécurité, les citoyens auraient vite de vous parler du pays, vous les gauchistes
Signaler RépondreIls devraient se payer des bonnes vacances en Russie pour découvrir les méfaits d'un état policier. Bandes d'ingrats et d'ignares indignes de notre considération.
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