Bayer négocie actuellement un plan de départs volontaires. Ce dernier prévoit la suppression de 474 emplois sur les 3255 de ses sites français.
"Nous avons plutôt bien résisté par rapport à d’autres secteurs, mais nous avons des évolutions de marchés plutôt défavorables au niveau de la division pharma et Crop Science (produits phytosanitaires), ce qui nous incite à être prudents", a déclaré à l’AFP Laurent Besse, le directeur des ressources humaines de Bayer en France qui met en avant un plan de départs volontaires motivé par "une recherche d’efficience et un recentrage sur les activités clés du groupe". Ce dernier assure par ailleurs que sur les 474 emplois supprimés, 110 étaient vacants.
Le siège social du groupe, basé à Lyon, est particulièrement touché avec la perte de 240 postes sur 600. Le site industriel de Villefranche-sur-Saône se voit également amputer de 74 emplois sur 250.
Ce sont en tout 12 000 suppressions de postes dans le monde d’ici 2022 qui ont été annoncées par Bayer.
Et si on essayait le socialisme ?
Signaler RépondreEt virer les actionnaires ? Pourtant cela ferait beaucoup de bien aux entreprises....
Signaler RépondreOn espère que comme pour l'aviation et l'industrie lourde, qu'ils ne vont pas faire une annonce dans 1 an, en disant embaucher la moitié du nombre licencié,... Puis se plaindre de ne pas trouver de main d'oeuvre qualifiée...
Signaler RépondreTient super idée en passant, ce serait bien que les rh garde les coordonnées des gens qu'ils virent pour les réembaucher, et voir les boites qui embauche pour faire un transfert de perso plutôt que ces plans...
Décisions de Bayer ou la face cachée de la vengeance due aux saccages de leurs infrastructures par l'extrême gauche, mais aussi du laxisme de la justice française envers ceux qui investissent en FRANCE.
Signaler RépondrePas grave parce que la transition écologique va créer des dizaines de millions d'emplois !
Signaler RépondreC'est passionnant d'observer notre société contemporaine
Signaler RépondreD'un côté on nous dit de faire des enfants car la dénatalité est un danger
De l'autre on supprime les emplois en masse, augmentant ainsi la précarité et décourageant les projets familiaux
Et on rajoute que, donc, les vieux devront travailler plus longtemps faute de nouveaux cotisants, aggravant encore l'entrée des jeunes dans le système
Mais tout cela ne semble gêner personne, même pas les pays au bord du gouffre comme l'Italie ou le Japon
Allez comprendre