Parmi les revendications : "arrêter de déprogrammer la chirurgie", "réouvrir des lits en réanimation", ou encore "une prime Covid de 1500 euros pour tous les soignants".
Accompagnés de la CGT et de FO, les personnels de santé attendaient de pied ferme Olivier Véran, en déplacement à Lyon ce vendredi pour visiter l’hôpital qui est en travaux. Le ministre des Solidarités et de la Santé était présent afin de "valoriser la mise en œuvre du Ségur de la Santé aux hospices de Lyon sur la relance des investissements" et la "simplification de l’organisation interne et l’amélioration de la gouvernance des hôpitaux".
"Nous sommes actuellement en "pourparlers" avec le ministère de la santé, pour faire reconnaitre notre statut d’infirmier anesthésiste", explique Fabrice Morel, infirmier anesthésistes au bloc opératoire d’urgence de l’hôpital Edouard Herriot. "Nous souhaitons nous montrer à monsieur Véran, qui évidement, est passé par une autre entrée. Aujourd’hui, le ministre de la Santé a demandé des rapports pour le mois de juillet, à deux parlementaires, afin d’évaluer notre profession. Nous souhaitons nous montrer pour lui faire comprendre que les 11 000 infirmiers anesthésistes de France sont à l’écoute de ses actions et de sa communication. Nous ne voulons pas d’un statut "d’infirmier en pratique avancée", qui a été récemment reconnu. Nous voulons plutôt un statut « d’auxiliaire médical en pratique avancée", qui reconnaitrait réellement nos activités", poursuit Fabrice Morel.
"Nous souhaitons dire à monsieur Véran, que malgré les lobbies qui s’opposent à l’évolution de notre statut, nous avons vraiment la ferme intention de faire reconnaitre les pratiques que nous effectuons au bloc opératoire, dans les services d’urgences extrahospitalières, dans les services d’algologies et dans les services de réanimation. Ces pratiques ne sont pas reconnues et nous frisons la légalité. Nous souhaitons que tout soit écrit dans des textes, le plus rapidement possible au vu du calendrier électorale qui va bientôt se figer".
Pour rappel, plusieurs milliers de soignants avaient déjà manifesté en juin et juillet dernier pour demander une revalorisation salariale.
J.N
Que de com , promesses , de fric dépensé , emprunté , qu'il faudra inéluctablement REMBOURSER à la Banque Centrale Européenne !
Signaler RépondreD'ici là , Veran se sera évaporé sous d'autres latitudes plus amènes , car trop risqué de rester en France !
......
Les centaines de millards que la France a encaissée, via la planche à billet européenne, ils sont OÙ ? La moindre des choses , par respect pour le peuple , ils devraient faire un tableau avec les budgets alloués en détails. Car , j’en suis persuadé, comme dans mon entreprise, tout est fait en sous marins dans l’opacité la plus totale, pour détourner ENFIN l’argent du Contribuable Français. L’armée est en faillite, ainsi, que la sécurité sociale, l’enseignement, la santé publique, hôpitaux, police , ect... car tout est QUE façade , est derrière toutes ses façades françaises publiques se cache un je m’en foutisme national qui sent la faillite d’un peuple au bout du rouleau.
Signaler RépondreC’est normal. L’incompétence, ne peut s’exprimer que par des courants d’airs . En même temps de partout et nulle part .
Signaler RépondreNos soignants alertent sur la présence d’un nouveau variant Parisien, ils conseillent de prendre toutes les mesures de distanciation afin d’éviter toute contamination, nombreux contaminés ne cessent de répéter en boucle «en même temps, en même temps » :-)
Signaler RépondreOn a jamais vu tant de ministres se déplacer pour un oui ou un non. A quoi sa sert ? Ils ne savent donc pas comment occuper leurs journées..
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