Ce mercredi, un courrier a été co-signé par 21 édiles et envoyé à Bruno Bernard, président écologiste de la collectivité.
Alexandre Vincendet (Rillieux), Philippe Cochet (Caluire) ou encore Clotilde Pouzergue (Oullins) et Laurence Fautra (Décines) rappellent ainsi à leur interlocuteur sa promesse de rencontrer chaque maire de l'agglomération pour préparer la PPI qui intégrera les projets communaux.
Or, selon eux, c'est loin d'être le cas : "Alors que le calendrier est contraint, il apparaît que de nombreux maires sont toujours dans une forte incertitude. Si certains maires ont pu avoir un échange direct avec vous, d’autres n’ont pas eu l’occasion de vous exprimer leurs choix sur les projets structurants de leurs communes. Vous comprenez aisément leur déception et leurs inquiétudes sur les décisions que vous pourriez prendre en l’absence de cette nécessaire concertation".
Les édiles de l'opposition poursuivent leur courrier en soulignant qu'aucun retour officiel n'a été fait à ceux qui avaient pu exposer leurs demandes. Alors que d'autres ont intercepté des bruits de couloir qui enterreraient leurs projets communaux "sans en connaître les raisons".
"Cette méthodologie n’est pas respectueuse des maires qui ont le souhait de favoriser un partenariat avec la Métropole pour développer ensemble des projets sur leurs communes au profit de la qualité de vie de leurs concitoyens. Il apparaît que votre choix de retenir ou non un projet ne prend dès lors pas en compte la légitimité des maires désignés par les habitants", concluent-ils, sollicitant Bruno Bernard pour "engager un dialogue réel entre toutes les communes et permettre ainsi à chaque habitant du Grand Lyon de bénéficier de la mise en oeuvre des aménagements et des équipements de services publics de manière équitable".
Liste des maires signataires de ce courrier :
Philippe Cochet (Caluire), Lucien Barge (Jonage), Pascal Blache (Lyon 6e), Jérémie Bréaud (Bron), Sandrine Chadier (Craponne), Pascal Charmot (Tassin), Claude Cohen (Mions), Véronique Dechamps (La Mulatière), Laurence Fautra (Décines), Gilles Gascon (Saint-Priest), Sébastien Michel (Ecully), Marylène Millet (Saint-Genis-Laval), Jérôme Moroge (Pierre-Bénite), Pierre Oliver (Lyon 2e), Clotilde Pouzergue (Oullins), Christophe Quiniou (Meyzieu), Michel Rantonnet (Francheville), Véronique Sarselli (Sainte-Foy-lès-Lyon), Jean-Jacques Sellès (Chassieu), Alexandre Vincendet (Rillieux) et Xavier Odo (Grigny).
Ces verts/PS/Extreme Gauche dilapident l argent avec les finettes et rachètent à prix d or des immeubles pour mettre 2 logements sociaux...Quel désastre de voir cette gabegie. Je suis fier de mon Maire
Signaler RépondreC’est sur une pastèque qui prend des décisions sans concertation j’appelle ceci une didacture idéologie
Signaler RépondreSurtout on peut commencer ecrir’ Un bouquin avec toute leur connerie depuis 1 an
Je vous annonce augmentation de nos impôts l’annee prochaine
Les maires LR font moins les malins maintenant qu'ils ont grand besoin des subsides de la métropole
Signaler RépondreTout comme Hidalgo seul le centre ou son pré carré son pré vert l’intéresse, les autres interdits d’avoir voix au chapitre, ils s’en fichent royalement, la Neo démocratie vue du côté vert :-)
Signaler RépondreLe chef des pastèques n'entendra jamais les demandes ne venant pas de leur secte, encore moins les LR dans ce cas...
Signaler RépondreLa définition de qualité de vie des escrologistes n'est pas la même que la grande majorité des citoyens.
La secte EELV n'écoutera pas. Ils résonnent tout pour le vélo dans l' anarchie et sans concertation.
Signaler RépondreNous sommes polluées visuellement pas tous ces panneaux qui apparaissent dans nos communes avec le vélo
Il y en a marre