Selon le Parquet, qui communique ce mercredi sur l'affaire, le suspect a agressé deux victimes mineures dans le département du Rhône entre 1993 et 1999.
A la suite du dépôt de plainte de ces deux victimes en 2019, les investigations diligentées par la sûreté départementale du Rhône avaient permis l’identification et la localisation du mis en cause sur la commune de Périgueux, commune qu’il avait rejointe après son départ de Lyon en 2016.
Placé en garde à vue en Dordogne, le quinquagénaire a expliqué avoir profité de sa fonction de bénévole à la Croix-Rouge pour entrer en contact avec ses victimes. Il les invitait alors à son domicile, où il leur faisait consommer des produits stupéfiants et de l’alcool avant de les agresser sexuellement ou de les violer.
Les enquêteurs recherchent désormais d'autres victimes. A noter que le parquet a requis le placement en détention provisoire de l'ancien bénévole.
F.L.
Le prédateur pédocriminel était flic aussi, OPJ pendant 1 an.
Signaler RépondrePardon, mais il va peut-être falloir baisser d'un ton, je n'ai agressé personne ici. Je disais simplement que pour les victimes de sexe masculin, d'autant plus quand il s'agit de jeunes garçons comme c'est le cas, ici, dans ce genre d'affaire, encore trop peu ont malheureusement le courage de parler et de déposer plainte. Combien gardent le silence dans des faits similaires parce qu'aujourd'hui on a plus tendance à donner la paroles aux femmes avec les derniers mouvements ? Je soutenais vos propres propos et dénonçais surtout un fait de société, et non pas le système et ses institutions spécialisés dans les crimes sexuels, et qui bien sûr, reçoivent des plaintes tous les jours. C'est tout.
Signaler RépondreMonsieur je sais tout, il y a déjà plusieurs années uqe les policiers et gendarmes recoivent les plaintes pour viols sur mineurs , garçons ou filles. Il y a partout des cellules d'enquêteurs spécialisés et formés pour recevoir ces plaintes. Prlez de ce que vous connaissez et arrêtez de dire des conneries ! ! !
Signaler RépondreSauf qu'ici on ne parle pas de femme. Les victimes de cette ordure sont tous des garçons. Mineur de surcroit. Donc plus facile aujourd'hui ? Je ne crois pas. Solidarité des victimes ? Et bien malheureusement non, aujourd'hui les agressions sexuelles et viols reconnu sur des victimes de sexe masculin sont toujours tabous. Très peu osent parler et ont peur d'être moqués ou diminués dans ce qui font d'eux des hommes, car dans cette société, c'est bien connu, un "mâle" ça viole, ça ne se fait pas violer... Pire encore dans les années 90.
Signaler RépondreIl resteras combien de temps en prison si il y va???
Signaler RépondreElles étaient mineurs à l époque. Ce qui est triste c est que certains mômes n osent pas dire à leurs parents ce qu ils leurs arrivent. Et que dire des réactions de certains parents quand on leur en parle
Signaler Répondre"bénévole à la Croix-Rouge" Comme un scout: toujours prêt !
Signaler RépondreEssayer déjà , aujourd’hui de déposer une main courante ou une plainte . Après vous pourrez parler ! Aujourd’hui, c’est plus facile pour les femmes , elles sont solidaires et les commissariats en sont majoritaires.
Signaler Répondreles victimes de 1993 auraient du porter plainte , cela aurait eviter d’autres drames ..
Signaler Répondre1993 à 2016 ? Les fichiers ne se croisaient pas encore? Enfin, si il ne ressort pas pour cause de psychoses indiquant qu'il n'ait pas responsable. Pour les victimes, c'est à vie.
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