Un arrêté ministériel est paru dimanche au Journal officiel. Il reconnait l’état de catastrophe naturelle pour 38 communes du Rhône et de la Métropole de Lyon « pour mouvements de terrain différentiels consécutifs à la sécheresse et à la réhydratation des sols », indique la préfecture du Rhône.
Cela concerne le territoire des communes de Courzieu, Echalas, Lancié, Savigny et Val d'Oingt pour la période du 1er avril 2020 au 30 septembre 2020 mais également le territoire des communes de Albigny-sur-Saône, Anse, Arnas, Belleville-en-Beaujolais, Bron, Chaponost, Charbonnières-les-Bains, Chassieu, Chazay-d'Azergues, Craponne, Curis-au-Mont-d'Or, Décines-Charpieu, Denicé, Écully, Francheville, Givors, Gleizé, Lachassagne, Limas, Limonest, Lucenay, Marcillyd'Azergues, Meyzieu, Morancé, Poleymieux-au-Mont-d'Or, Porte des Pierres Dorées, Quincieux, Rillieux-la-Pape, Saint-Cyr-au-Mont-d'Or, Saint-Étienne-des-Oullières, Saint-Germain-Nuelles, Saint-Jean-des-Vignes et Saint-Julien pour la période du 1er juillet 2020 au 30 septembre 2020.
Les sinistrés concernés disposent d’un délai de 10 jours à compter de la publication de l’arrêté pour faire parvenir à leur compagnie d’assurances un état de leurs pertes "afin de bénéficier des dispositions de la loi n° 82-600 du 13 juillet 1982, relative à l'indemnisation des victimes de catastrophes naturelles", précise la préfecture du Rhône.
Et la sécheresse politicienne qui dure depuis de nombreuses années, pas de déclaration de catastrophe nationale ?
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