Mais cela devrait permettre de mieux identifier les sujets contagieux et ceux à risque de développer une forme grave après leur infection par le SARS-CoV-2.
Pour ce faire l’équipe qui a travaillé sur cette question a utilisé une version ultra moderne des fameux test PCR qui permet de montrer à la fois la présence du virus dans le nez de la personne infectée et en même temps la présence de protéines très utiles au corps humain pour se défendre contre le virus : les interférons de type I. Un défaut de production de ces protéines est retrouvé chez une personne sur 5 admise en réanimation..
Dépourvus de ces protéines, acteurs majeurs de la réponse immunitaire innée, les patients se trouvent souvent en situation difficile pour lutter contre les attaques du virus puisque l’interferon I est responsable de leur élimination. On sait maintenant que la présence d’auto anticorps venant inhiber l’action de cette protéine est notamment responsable de ce défaut de réponse en IFN-I.
C’est un partenariat avec bioMerieux (qui est entrain de développer ces test PCR multiplex pas encore vendus sur le marché) qui a permis cette étude en estimant la quantité de virus et la réponse Interféron à partir du même écouvillon que celui servant au diagnostic par PCR.
Ainsi il est possible de détecter les sujets infectés par le sars cov 2 qui présentent un défaut d’interféron et qui sont donc à risque de développer une forme grave de covid-19 et ainsi d’améliorer leur prise en charge.
"Il nous reste encore beaucoup de travail à faire avant une large utilisation de ce test" reconnait Sophie Trouillet-Assant, mais la voie est prometteuse.
Ca vaut pas le Vicks de Raoult dans les narines.
Signaler RépondreD'ailleurs j'espère que tout les antivax ont garnis leurs armoires à pharmacie de Vicks, haha!
Un médicament c'est pas big pharma ?
Signaler RépondreVous pensez qu'un labo qui aurait LE medoc ne le dévoilerait pas ?
Surtout que vu le prix du vaccin, un médoc pourrait être vendu bien bien plus cher... Et oui quand t'es malade plus facile de te vendre un produit curatif qu'un produit préventif (vaccin)
Ou alors tous ces petits spécialistes de la santé se sont focalisés sur un vaccin au lieu de pister le registre des médicaments plus simplement, qu'ils ont volontairement verrouillés, cela serait plus plausible comme réaction :)
Signaler Répondrehttps://www.leparisien.fr/societe/sante/covid-19-loms-teste-lartesunate-limatinib-et-linfliximab-comme-traitements-potentiels-11-08-2021-H33GPYEIKBERRK6ZYB3U6LVR5M.php
Il est vrai qu'un médicament reviendrait bien bien moins cher à notre pauvre sécu, mais les pontes du gouvernement décident pour les autres et leurs potes du système big Pharma.... mais jusqu'en 2022 seulement :)
Heureusement que les labos étrangers ont été là pendant cette crise car les scientifiques français sont complètement à la ramasse. On aurait jamais eu de vaccin et beaucoup plus de victimes de ce satané virus de malheur.
Signaler RépondreEt si c'était un coup des écolos ce virus, pour éradiquer ces vilains humains qui polluent la belle planète Terre ?
Signaler RépondreEt que vont devenir les fabricants de vaccins ?
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