Ce Tchétchène islamiste radicalisé et âgé de 17 ans était en train de recruter des complices sur les réseaux sociaux pour prendre part à une expédition punitive visant Mila, cette jeune femme lyonnaise régulièrement menacée de mort pour ses prises de position contre l’islam et pour la laïcité.
Comme le rapportent nos confrères d’Actu17, une enquête était menée par la police judiciaire de Reims depuis le 19 juillet dernier. "Ce garçon appelait à mettre en œuvre un plan intelligent contre Mila", a précisé une source policière au média spécialisé dans les faits divers et la justice.
Après son interpellation par le RAID, le suspect, qui bénéficie du statut de réfugié politique, a été placé en garde à vue. En fouillant sa vie numérique et ses effets personnels, les enquêteurs ont découvert que le jeune homme diffusait des vidéos de propagande de Daesh et qu’il échangeait régulièrement avec des djihadistes basés au Moyen-Orient.
Interrogé sur les faits, l’individu n’a plus prononcé un mot et a donc nié de ce fait nié son implication. Il a été mis en examen pour apologie du terrorisme, mais laissé libre par le parquet et placé sous contrôle judiciaire.
"La justice vient d’inventer le pass terrorisme. Ce pays est foutu, ça m’écoeure", s’est ému Mila sur son compte Twitter. Elle appelle désormais à la mobilisation sur la plateforme en lançant le hashtag "#PassTerrorisme". "Sous nos yeux, la Justice laisse un boulevard aux actes terroristes", a-t-elle enfin conclu.
On croit rêver ! Avec une justice comme ça notre pays est foutu.
Signaler RépondreCurieusement les féministes ne disent rien, faudra qu'on m'explique
Laissé libre avec toutes les preuves de soutien au terrorisme contre lui ??? Pas compris....
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