Lancée par 45 maires de la Métropole de Lyon, une pétition a dépassé ce dimanche les 1000 signatures d'habitants en colère contre la gouvernance actuelle de la collectivité. Ce texte intitulé "Métropole de Lyon : défendons nos communes et nos habitants" permet aux grands Lyonnais qui le souhaite d'apporter leur soutien aux élus signataires d'une tribune parue dans le Journal du Dimanche le week-end dernier.
"Les exemples sont nombreux de cette Métropole qui se construit au détriment de ses habitants : zone à faible émission qui va interdire l'accès aux voitures, fin des projets de nouvelles lignes de métro, création d'une régie de l'eau qui va augmenter votre facture, diminution des stationnements et des voiries routières, refus de subventionner les projets communaux votés par les élus municipaux", insiste le texte d'appel.
Si dans notre Ve République les pétitions n'ont jamais vraiment eu d'impact sur la vie politique, elles permettent tout de même d'alimenter un courant de penser protestataire. Après avoir presque ignoré la tribune des maires, Bruno Bernard et ses vice-présidents resteront-ils de marbre face à ce qui est, pour le moment, qu'une petite révolte populaire ?
La tribune des maires :
Métropole de Lyon : et si on arrêtait tout ?
La Métropole de Lyon, créée par la loi MAPTAM en 2015 et présentée comme «l’avant-garde de la métropolisation », constitue une réforme inadaptée et inopérante. Elle se révèle être un colosse aux pieds d’argile, une entité désincarnée sans lien avec les territoires qui la composent, oubliant son histoire et son contrat originel, une organisation incapable d’apporter les réponses aux attentes actuelles des habitants.
Nous, maires, conseillers municipaux, élus et habitants de la Métropole de Lyon, ne sommes pas entendus par Bruno Bernard, Président de la Métropole, et son exécutif métropolitain lorsque nous les alertons et que nous leur tendons la main pour répondre collectivement aux enjeux de ce territoire, fort de 59 communes, qui est le premier pôle économique de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et le deuxième de France. Ce mépris est symptomatique d’une collectivité déséquilibrée, construite à l’envers, dont le modèle institutionnel incite à une gouvernance aveugle et verticale contre les communes et sans les citoyens.
Un « modèle lyonnais », vraiment ?
La Métropole de Lyon, collectivité territoriale unique en France (« à statut particulier » comme le dit la loi), est souvent présentée par ses thuriféraires comme inéluctable, car elle serait l’incarnation institutionnelle du fait métropolitain, irrévocable et irréversible. Dans le prolongement, la Métropole est portée aux nues comme un modèle invulnérable, fort de sa puissance économique qui lui offrirait une forme de résilience à toutes épreuves.
Pourtant, à Lyon comme ailleurs, le phénomène de métropolisation génère de dangereux déséquilibres sur le plan démocratique, territorial, social et environnemental. Elle a pour conséquence directe la fragmentation des territoires entre ces pôles bien accrochés aux dynamiques de la mondialisation et de vastes étendues rurales ou périurbaines où le sentiment qui domine est celui de la relégation et de l’exclusion.
Dans ce contexte, le singulier et inabouti « modèle lyonnais » a tout du contre-exemple : au prétexte d’une mise en adéquation du fait institutionnel avec le fait urbain, il constitue une soumission à un phénomène de métropolisation dont les vertus sont depuis longtemps décriées et dénoncées par de nombreux auteurs et universitaires. D’ailleurs, il n’est pas anodin qu’aucune autre métropole française n’ait suivi ce chemin jusqu’au-boutiste en matière de gouvernance…
Une Métropole construite contre les communes et sans les citoyens
En raison du nouveau mode de scrutin inauguré en 2020 pour les élections métropolitaines à Lyon, fondé sur 14 circonscriptions électorales découpées selon des critères politiciens, seulement 22 maires sur 59 sont également conseillers métropolitains. La Conférence métropolitaine, qui rassemble les 59 maires (ainsi que les maires d’arrondissement), n’est quant à elle qu’une instance consultative – souvent le réceptacle d’informations descendantes de la part de l’exécutif métropolitain. En conséquence, la majorité des communes n’est pas représentée au sein des instances délibératives de la Métropole. Celles-ci ne participent donc pas au travail préparatoire des politiques publiques qui s’imposeront pourtant à elles.
Or, la dilution progressive et à bas bruit des communes par la confiscation des pouvoirs aux maires et des compétences aux municipalités ne peut conduire à terme qu’au blocage institutionnel. Plus que cela, la Métropole de Lyon évolue à contre-courant de la volonté des citoyens pour qui les communes constituent l’espace démocratique le plus authentique, voire le dernier berceau de la citoyenneté active. Car c’est dans les communes que s’expriment la vitalité associative, les solidarités de proximité, l’engagement désintéressé au service de l’intérêt général. Les maires sont souvent les derniers relais d’une République qui s’étiole. À vouloir laminer les communes qui ont construit cette Métropole pendant plus de 40 ans, à vouloir déposséder les élus municipaux de tout moyen d’action, alors même que ce sont les seuls qui sont au contact avec les habitants au quotidien, c’est la démocratie de proximité que l’on atteint.
Six ans après sa création, la Métropole n’est toujours pas comprise par nos concitoyens alors qu’ils font très largement confiance à leurs maires et à leurs conseils municipaux. La « citoyenneté métropolitaine » est un doux rêve qui n’a aucune traduction dans la réalité de nos territoires. Nos concitoyens sont bien loin de cette Métropole construite en antichambre et aux compétences exorbitantes (urbanisme et aménagement du territoire, action sociale et solidarité, collège, transport, logement, développement économique, voirie, lecture publique, sécurité civile, tourisme, enseignement supérieur, déchets, eau potable, assainissement…).
Bruno Bernard, président fossoyeur de la Métropole de Lyon ?
D’autant plus que les belles promesses de campagne sur le renforcement de la place du citoyen métropolitain se sont envolées dans les limbes d’un début de mandat qui ne cesse d’imposer des dogmes au lieu de consulter, débattre et bâtir des compromis. Les nombreuses déclarations de Bruno Bernard où il exprime tout son dédain pour les maires ne viennent qu’alimenter ce constat. En vérité, le président de la Métropole est devenu le parangon d’une gouvernance métropolitaine ultra-verticale, ultra-centralisée et ultra-segmentée à mille lieues des élus municipaux et des citoyens. La gestion de la Métropole est le fait d’un exécutif sûr de lui-même, qui agit pour des intérêts partisans et une vision dogmatique sans chercher à comprendre les besoins réels des habitants et les attentes des populations de nos communes.
Les exemples sont aujourd’hui légion de cette Métropole qui se construit au détriment de ses communes et de ses habitants : zone à faibles émissions (ZFE) qui risque de devenir une zone à forte exclusion tant elle se construit à rebours de tout principe de justice sociale (puisqu’elle repose sur la capacité financière des habitants à se doter de véhicules propres) ; mise en place à marche forcée d’une régie de l’eau avec un vrai risque d’augmentation des tarifs pour les usagers ; révision majeure du PLU-H déguisée en modification qui risque de limiter le développement économique et de contraindre les habitants dans le choix de leur lieu d’habitation ; abandon des projets de nouveaux métros sous couvert de consultations biaisées pour imposer la construction de téléphériques refusés par les territoires concernés…
À cela s’ajoutent les coups portés aux communes pour leur retirer des capacités financières : baisse des budgets de voirie de proximité qui permettaient de financer des aménagements et des équipements du quotidien à l’usage des habitants, refus de prendre en compte les projets portés par les maires sur leurs communes dans la programmation pluriannuelle d’investissements métropolitains…
Un appel salutaire
Face à ces constats, nous, maires, conseillers municipaux et élus de la Métropole de Lyon, alertons aujourd’hui sur le risque majeur de blocage de l’institution métropolitaine voire de décomposition métropolitaine.
Et nous lançons solennellement un appel :
D’abord, mettons réellement et dès aujourd’hui la Métropole au service des communes et de leurs habitants. Cela demande de renverser la logique de la gouvernance centralisée et autoritaire qui nous est imposée. Cela réclame de ré-ancrer la collectivité dans ses territoires en faisant confiance aux maires.
Ensuite, bâtissons dans la durée une Métropole des communes et des citoyens en révisant au plus vite la loi MAPTAM, dont on ne cesse de dénoncer les insuffisances, les angles morts et les absurdités.
À défaut, le contrat léonin infligé aux communes ne peut conduire qu’au démantèlement progressif de la Métropole de Lyon devenue un monstre technocratique hors sol.
Les maires signataires :
ARAUJO Olivier, Maire de Charly – BARRAL Guy, Maire de Solaize – BARGE Lucien, Maire de Jonage – BERRUCAZ Gérard, Maire de Fleurieu-sur-Saône – BLACHE Pascal, Maire du 6e arrondissement de Lyon – BREAUD Jérémie, Maire de Bron – CALVEL Jean-Pierre, Maire de Sathonay-Village – CARDONA Corinne, Maire de Poleymieux-au-Mont-d’Or – CHADIER Sandrine, Maire de Craponne – CHARMOT Pascal, Maire de Tassin-la-Demi-Lune – CHIPIER Yves, Maire de Albigny-sur-Saône – COCHET Philippe, Maire de Caluire-et-Cuire et Président du groupe Rassemblement de la droite, du centre et de la société civile à la Métropole de Lyon – COHEN Claude, Maire de Mions – CRETENET Didier, Maire de Saint-Genis-les-Ollières – DAVID Pascal, Maire de Quincieux DECHAMPS Véronique, Maire de la Mulatière – ENDERLIN Angélique, Maire de Cailloux-sur-Fontaines – EYMARD Gérald, Maire de Charbonnières-les-Bains – FAUTRA Laurence, Maire de Décines-Charpieu – FOURNILLON Rose-France, Maire de Dardilly – GASCON Gilles, Maire de Saint-Priest – GERMAIN Alain, Maire de Collonges-au-Mont-d’Or – GOUVERNEYRE Pierre, Maire de Curis-au-Mont-d’Or – GUILLOT Patrick, Maire de Saint-Cyr-au-Mont-d’Or – MATHIEU Marie-Hélène, Maire de Saint-Didier-au-Mont-d’Or – MICHEL Sébastien, Maire d’Ecully – MILLET Marylène, Maire de Saint-Genis-Laval – MONNIER Damien, Maire de Sathonay-Camp – MOROGE Jérôme, Maire de Pierre-Bénite – ODO Xavier, Maire de Grigny – OLIVER Pierre, Maire du 2e arrondissement de Lyon – PILLON Gilles, Maire de La-Tour-Salvagny – POULAIN Virginie, Maire de Fontaines-Saint-Martin – POUZERGUE Clotilde, Maire d’Oullins – POUZOL Thierry, Maire de Fontaines-sur-Saône — QUINIOU Christophe, Maire de Meyzieu – RANTONNET Michel, Maire de Francheville – SARSELLI Véronique, Maire de Sainte-Foy-lès-Lyon – SUCHET Gilbert, Maire de Montanay — VERGIAT Eric, Maire de Rochetaillée-sur-Saône – VERON Patrick, Maire de Couzon-au-Mont-d’Or – VINCENDET Alexandre, Maire de Rillieux-la-Pape – VINCENT Max, Maire de Limonest – VUILLEMARD Julien, Maire de Vernaison
Absolument pas.
Signaler RépondreLe maire représente la Commune (il signe des documents au nom de celle-ci, par exemple),
mais il ne représente pas les administrés, il ne représente pas les citoyens de la commune.
Question. Qu'est ce que le pouvoir politique en démocratie? Allez Je vous le donne, c'est un pouvoir de représentation. On représente ses administrés y compris ceux qui ne votent pas pour vous.
Signaler RépondreCes maires sont de mauvaise foi, il y a eu de belles realisatinos dans cette Métropole:
Signaler Répondrehttps://www.lyonmag.com/article/109366/vote-de-la-hausse-des-indemnites-a-la-metropole-de-lyon-cette-decision-ne-devrait-pas-nous-revenir
Ben si, justement, ils demandent de la démocratie, de l'écoute, du respect pour leurs communes et leur habitant.e.s.
Signaler RépondreMais bon, respect, écoute, ça ne parle pas trop aux bobos écolos lyonnais ça.
Eh non ce ne sont pas tous des maires LR ou de droite.
Signaler RépondrePrenez la liste et regardez si tous ce sont présentés sous des étiquettes de droite ou LR.
Par contre ils ne sont pas écolos c'est vrai
Dans les communes peu peuplées il est rare que les élus se présentent sous une étiquette faute de trouver assez de personne pour constituer une liste.
Je me trompe ou ce sont uniquement des maires de droite (LR pour la plupart) ? Et oui les Verts, élus au suffrage universel, ont moins besoin des élus de droite qu'à l'époque de Collomb. Et ils n'apprécient pas.
Signaler RépondrePour signer la pétition :
Signaler Répondrehttps://www.change.org/p/habitants-de-la-métropole-de-lyon-métropole-de-lyon-défendons-nos-communes-et-nos-habitants?recruiter=false&utm_source=share_petition&utm_medium=facebook&utm_campaign=psf_combo_share_initial&utm_term=share_petition&recruited_by_id=a29a4950-1639-11ec-9987-05338ce44962&utm_content=fht-30676456-fr-fr:3
tous ces maires ont été élus avec la même abstention que celle qui - selon vous - a permis aux verts d'arriver en tête...
Signaler RépondreJ'ai toujours dit que cette métro en mode fédérale était absurde c'est scientifiquement, organisationnellement et historiquement défaillant, fallait agrandir la ville par absorption création d'arrondissement, quand sur une carte vous ne faites plus la différence entre les villes, c'est que la ville principale c'est agrandie et du coup on fusionne, même les devs de jeux l'ont compris. Et puis le coup du "le maire est dispo pour nous", ouais ouais bah vu le taux d'abstention et le fait que personne ne va à la mairie régulièrement, j'aimerai bien savoir qui a besoin des services de mairie régulièrement à un niveau micro-aide.
Signaler RépondreMacron passera tranquille en 2022. Puisqu'il n'y a aucun candidat qui lui arrive à la cheville.
Signaler RépondreAlors il n'est pas grandiloquent, il ne fait pas de moulinets avec les bras, mais dans l'ensemble il est pragmatique et fait des choix coherents . Ca fait pas bling bling, mais ca tient la route. Donc il passera car c'est le moins mauvais ou le meilleur , ce qui est pareil. L'election se fait par comparaison entre candidats. Et quand on voit ou est le FN et Le Pen par rapport à Macron, et que c'est elle , Le Pen , qui est au second tour, ca en dit long sur le niveau des autres concurrents....
Je me rappelle encore de la mine atterrée des journalistes lors du débat entre les deux tours en 2017, devant les énormités , les incoherences et les aberrations flagrantes des beaux discours de Le Pen... C'etait pathétique . A l'arrivée 2 fois plus de voix pour Macron (20 millions) que Le Pen (10 millions) . Le gap est immense.
A moins d'un evenement d'actualité qui retournerait le faible mental de certains électeurs (choisir un président pour 4 ans sur la base d'un evenement d'actu, désolé mais c'est etre faible mentalement) deja bien atteints par les médias sociaux, je ne vois pas comment Macron pourrait etre battu.
qui disait que le brexit ne se ferait pas ? rigolez bien pendant qu’il est encore temps lol
Signaler RépondreJ'ai lu le texte de cette pétition. Du pur verbiage, aussi long que la visée est courte.
Signaler RépondreCe qui se conçoit bien s'énonce clairement... et de façon concise ; sinon il y a un loup. Les maires ne représentent pas plus le citoyen que n'importe quel élu : la plupart ne sont là que pour manger une partie du gâteau de l'argent public.
Les ZAD ça ne fonctionne qu'avec des armes et des explosifs. (cf: Notre dame des landes )
Signaler RépondreÇa se voit sur la photo et sur la répartition géographique des maires signataires (en majorité de l'ouest lyonnais) que c'est un mouvement profondément populaire... Mille bourgeois qui s'agitent, c'est rigolo quand même. Ils se rendent compte qu'ils sont minoritaires, mais pas de souci on fait comme si. Par contre on retiendra bien que le respect du jeu démocratique, ça les arrange quand ils gagnent, mais c'est autre chose quand ils perdent.
Signaler RépondreMontez une ZAD s'il vous plait, on aimerait être diverti !
Etre Republicain c'est respecter la LOI et le SUFFRAGE UNIVERSEL....quand vous faites un rappel à la loi avec des jeunes et leurs familles vous devez être exemplaires !!!! Alors un peu de tenue Honte à vous, gardez votre énergie, la Métropole ne vous appartient pas, on vous demande de travaillez et non de contester ! Visiblement vous n'avez pas de projets pour reduire notre pollution ! Oui il faut moins de voiture Monsieur Cochet ! Et si vous vous déplaciez à pied,ou à vélo avec votre equipe, vous êtes à 5 minutes à pied de la mairie... vous verriez l"importance de créer des pistes et voies cyclables sur Caluire ! Alors roulez autrement ! On voudrait voir les elus parler de leurs PROJETS ! Exemple sur Caluire : 3 mandats et aucune piste cyclable, heureusement que la Métropole est là pour rectifier et avoir une politique globale sur tout le territoire !
Signaler RépondreOn a voté non pas par choix, mais pour dégager ces apparatchiks corrompus qui sévissaient à Lyon
Signaler RépondreA trop tirer sur la corde, ça fini par rompre
Comme toujours , cette fausse opposition, basée sur des intérêts personnels et non au profit de la collectivité, ne fait que brasser du vent pour exister!
Allé hop! Encore un dernier mandat avant des les voir disparaître! En 2022, ce sera un vote contre Macron (mais pour qui?), et surtout un degagisme certain de ces faux députés qui nous ont trahit, menti, manipulé
Covid ?!
Signaler RépondreL'ouest arrosé par Colomb, c'est une blague ?
Signaler RépondreIn suffit de cliquer sur le mot "petition" ecrit en rouge dans l'article
Signaler RépondreEncore un coup de com....ils ne representent qu eux memes et leurs manigances politicardes..et une petition signee par 1000 personnes ce n est pas representatif de la population comme les anti vacc a qui l on donne beaucoup trop d importance.
Signaler RépondreBonjour, trouvé sur Change.org. Bien à vous
Signaler RépondreTous des maires de droite ????
Signaler RépondreComplétement d'accord.
Signaler RépondreAvec cette secte on va devant les ennuis et la multiplication des altercations en ville entre Vélo Made in China et auto.
METROPOLEXIT et DOUCEXIT
Pour signer une petition faudrait il encore que l'on saches où la trouver !
Signaler RépondreHalte à ses fous de verts pastèques !
1000 signataires je ne vois pas trop ce que cela signifie. L'ouest lyonnais qui était arrosé par Collomb a bien du mal à s'approprier les armes des luttes légitimes. Une ZAD pour le téléphérique avec les bourgeois dans des cabanes de fortune j'aimerais bien voir ça. Maintenant une pétition qui réunion 5 fois moins de personnes que la marche pour le climat alors qu'il suffit de faire un clic...
Signaler RépondreNon ! Ils sont les maires de 500 000 personnes, mais ils ne les représentent pas.
Signaler RépondreTout comme les élus EELV de Lyon et de la Métropole ne me représentent pas
Bien que j'ai voté pour eux, et suis satisfait de leur action.
A L’échelle de la métropole 1000 pétitions ne représentent RIEN.
Signaler Répondrele ridicule d'une petition est deja fort, mais la petition a 1000 signataire!, de quoi faire tomber l'etat
Signaler RépondreCes 44 maires sur 59 ne représentent que 1/3 de la population de la METROPOLE.
Signaler RépondreOù signer cette pétition svp?
Signaler RépondreLe nombre de voix pour EELV sur le total de la population en âge de voter fait tout aussi frémir. Mais ça ne les gêne pas d’être aussi peu représentatifs. Ils s’en satisfont, c’est dire leur haut degré de probité et d’intelligence politique. À leur place, je ferais preuve d’humilité et je la ramènerais pas trop…
Signaler Répondrecourant de penser protestataire. -> courant de pensée protestataire.
Signaler RépondreIl faut lire le lire "Le vert à moitie vide" qui démontre à quel point, avec l'exemple de Piolle, EELV met d'abord en oeuvre la politique de l'UE et gouverne comme n'importe quel parti au pouvoir en essayant de vendre de la technocratie comme de l'écologie avec tout un tas d'artifices pour faire illusion. En fin de compte ils se conduisent tous de la même manière y compris le RN à quelques choix près. La centralisation est une maladie française herité du catholicisme. D'autres pays ont préféré avoir plus de villes moyennes.
Signaler RépondreMille sur un million quatre, ca fait fremir !
Signaler RépondreLe problème ce n'est pas la Métropole, qui est un formidable outil, mais l'usage qu'en font les écolos pour imposer une dictature verte.
Signaler RépondreLyon a toujours fonctionné et réussi sur le pragmatisme et l'intelligence de ses élus....avec les écolos c'est fini.
Tout le monde aurait oublié que cette métropole particulière a été édifiée par le Gérard Collomb, l'ex baron local ? Il voulait tous les pouvoirs mais voilà, le peuple l'aura éjecté avec fracas et il nous reste ce monstre métropolitain en héritage. Alors oui, les maires ont raison de s'attaquer maintenant aux statuts de cette métropole et d'en modifier les textes pour une vraie justice territoriale.
Signaler RépondreAu lieu de se plaindre faire des pétitions...
Signaler RépondreIl fallait y penser avant et surtout allé voter !!!
qui représentent 500 000 personnes au bas mot. Alors, à moins de vous tirer une balle dans le pied en rappelant à tout le monde le taux d'abstention dramatiquement haut qui a permis aux verts d'accéder au pouvoir à Lyon, je pense que vous devriez les prendre au sérieux.
Signaler RépondreTiens, on retrouve beaucoup de membre de la cours du précédent baron !
Signaler RépondreMaintenant qu il n y a plus les petits avantages de la la low-corruption, alors là ça gueule!!!!
Mes chers élus, regardez vous en face!!!! On pourrait déjà se passer de l avis des membres de Synergie qui ont accepter des postes à la métropole en échanges de certains petits votes, « compromis »….
Bref, ce ne sont que les agitations d une opposition qui ne ciste que dans le conflit, sans proposition
Elle subit exactement ce qu elle a fait subir quand elle était aux manettes
Je note que c est la porte ouverte à la fin des collectivités locales…. Comme la région!!!!!
On s en réjouira ou pas, mais ces gogos œuvrent pour le retour de la centralisation, de la verticalité
@re entièrement d'accord avec toi car lorsque Gégé les protégeait et envoyait toutes les choses merdiques à l'est de l'aglomeration ils ne se plaignaient pas temps que ça.Les gens ont voté et vous verrez au prochaine metropolitaine ces gens la reviendront au pouvoir et ils seront bien moins démocrates.
Signaler Répondredéjà 1 000 signatures !
Signaler Répondreplus que 698 447 pour avoir une majorité des habitants de la métropole !
En français, que cela veut il dire ?
Signaler RépondreEt si le mouvement "MétropolExit" faisait PSHITT ?
Signaler RépondreSécession.
Signaler RépondreLe problème n’est pas de nature récente mais remonte au temps où Collomb accoquiné avec Mercier et le gouvernement d’alors ont enfanté le monstre qu’est la métropole. C’est un problème structurel. Il en est de même - en pire - pour Aix-Marseille. A un niveau plus réduit, les communautés de commune sont un échec.
Signaler RépondreDe toute façon si l'autre veut bannir les diesels ect y le fera malgré qu'on lui dit l'inverse a faire
Signaler RépondreIls sont forts les écolo, réussir à se mettre tant de gens à dos !!!!!!
Signaler RépondreChampions du monde !
Les 45 pleurnichards ah c'est dur la démocratie...
Signaler RépondreSuper le Maire D’ECULLY négocie avec Bruno BERNARD et il lui fait un petit dans le dos.
Signaler RépondreBravo la politique
Le déjeuner était bon c’est le plus important…