Après un an et demi de crise sanitaire, les professionnels exposant au Salon International de la Restauration, de l'Hôtellerie et de l'Alimentation se sont bousculés pour s'entretenir avec le chef de l'Etat dans les allées d'Eurexpo.
Un véritable bain de foule, aux allures parfois de Salon de l'Agriculture et aux airs de campagne présidentielle, lors duquel Emmanuel Macron a enchainé selfies, poignées de main, cadeaux et dégustations. Rien n'aura entaché la bonne humeur ambiante de cette visite, pas même le jet d'œuf reçu au début de la visite.
Le chef de l'Etat a ainsi pu rencontrer des membres de l'école Ducasse, découvrir un distributeur de vin made in France qui sert le breuvage à la bonne température, ou encore se rendre sur le stand de Duralex : "On vous remercie pour le soutien de l'Etat, pour notre présence au sein de la boutique de l'Elysée", a-t-on lancé à Emmanuel Macron alors que la marque a été reprise par la maison-mère de Pyrex.
Dans la cohue, le chef de l'Etat, souvent remercié pour sa gestion de la crise sanitaire, est allé de stand en stand, goutant tour à tour des biscuits St Michel, de la compote Andros ou encore du foie gras "délicieux" au stand de l'interprofession du foie gras. Pas question de partir toutefois sans découvrir les quenelles lyonnaises "magnifiques", selon Emmanuel Macron, qui finira par se rendre sur le plateau du concours du Bocuse d'Or où a été entonnée une Marseillaise.
Avant cela, le chef de l'Etat a pu échanger de manière plus formelle avec des professionnels triés sur le volet. A Romain Vidal, maitre restaurateur à la tête du Sully à Paris, qui l'interpelle sur l'importance des pourboires, Emmanuel Macron a annoncé la publication prochaine d'un texte permettant "d'avoir des pourboires défiscalisés et sans charge". Les clients pourront ainsi payer leur pourboire en carte bancaire, en arrondissant la note. "Ce sera sans impôt pour celui qui le reçoit. Ce sera du pouvoir d'achat en plus", a expliqué le président.
La transmission des entreprises familiales a également été abordée, tout comme les questions d'alternance et d'apprentissage.
"Vos métiers apportent une réponse aux défis de demain. La France de 2030 sera la France de l'alimentation et du goût français. On peut bâtir un nouveau modèle d'alimentation, il y a des emplois", a enchainé Emmanuel Macron. "Alors, engagez-vous" !
F.L.
Tenez les gueux,vos petites pieces seront defiscalisés,mangez mes miettes et votez pour moi!
Signaler RépondreContent de remarquer que le Covid, c'est de l'histoire ancienne !
Signaler RépondreEt si les journalistes nous parlaient à nouveau des affaires politiques bien étouffées durant ce temps-là ?
Toute la journée il y avait des CRS partout autour de Lyon. J'ai pris la rocade depuis Caluire et l'A43 jusqu'à Saint-Priest : des dizaines des cars garés à plusieurs endroits et deux policiers perchés sur CHAQUE PONT. Je suppose que c'était pareil en centre-ville. Je me suis demandé ce qu'il se passait car je ne savais pas que notre bien-aimé Président était à Lyon. Mais je ne comprends pas l'intérêt de mobiliser des centaines de personnels des forces de l'ordre pour surveiller tous les ponts surplombants les voies rapides de la métropole. Était-ce pour empêcher des opposants de jeter des pierres au passage (éventuel) du cortège ? Ou qu'ils accrochent des banderoles que sa Majesté pourrait voir en passant ? Ces policiers ne pourraient-ils pas être plus efficacement utilisés pour rétablir l'ordre à La Guillotière ou à Vaulx-en-Velin (par exemple) ?
Signaler RépondreTiens ? Et le masque , c'est pour les chiens ???? Les sans dents ?
Signaler RépondreA tain, ce n'était pas une gifle mais une Tarte !
Signaler RépondreUne tarte à Tain ... humm que c'est bon, surtout avec une boule de glace au oeuf frais !
Le CSA il dit quoi de ces frais et de ce temps passé pour sa campagne ? et ce, sans s'être encore déclaré candidat ?
Signaler RépondreUn gifle à Tain-l'Hermitage, un œuf à Lyon: le cuisiner, c'est Macron !
Signaler RépondreLe meilleur dans ce style de prestation était Jacques Chirac...
Signaler Répondre