Cette année, la 13e édition du Festival Lumière retrouve une vie normale ou presque. La jauge des séances sera de nouveau complète, après avoir été fortement réduite en 2020.
D'où l'impatience des organisateurs, des acteurs et réalisateurs, et du public à ce que le festival débute ce samedi. En guise de cérémonie d'ouverture, Thierry Frémaux et ses équipes ont choisi de projeter à la Halle Tony-Garnier le film Le Caméraman de Buster Keaton et Edward Sedwick.
Le reste de la semaine mettra davantage à l'honneur Jane Campion, la réalisatrice néo-zélandaise qui recevra son Prix Lumière 2021 vendredi soir au Centre de Congrès de Lyon.
Malgré les restrictions sanitaires, plusieurs personnalités internationales du 7e art sont attendues entre Rhône et Saône. Les actrices Maggie Gyllenhaal et Rebecca Hall, passées derrière la caméra, présenteront en avant-première leurs premiers long-métrages qui seront ensuite diffusés sur Netflix. Gaspar Noé, Paolo Sorrentino, Edouard Baer, J.A. Bayona ou encore Alain Chabat seront également présents.
Cette édition rendra évidemment hommage à Bertrand Tavernier, décédé cette année. Irène Jacob, qui lui a succédé à la tête de l'Institut Lumière, fera elle ses premiers pas au festival dans ses nouvelles fonctions.
Bonjour
Signaler RépondreAvec la pluie de la partie, heureusement que l'averse de grêle est arrivée plus tard...
J'ai beau lire les médias mais rien sur Laurent Gerra qui insulte les femmes devant Nathalie perrin gilbert en plein repas, sur Edouard Ber drogué qui en rajoute une couche ( et dire que je l'appréciait), sur Poolvooerde rond comme une queue de pèche a une autre table qui insulte les verts devant le président de la métropole sans savoir qui il est et j'en passe...... Seul Alain Chabat a remonté le niveau en partant dignement en plein repas avec un regard dégouté des paroles mysogynes du président du festival....
Signaler RépondreAucun média n'en parle pourtant si je me souviens bien, quelques journalistes étaient présent samedi......
Etrange.......
Faut-il rendre pour autant le rendre aussi clinquant que le Festival de Cannes ?
Signaler Répondrele berceau du cinéma : la honte de lyon, même une fête de village est plus attractive et riche. les étrangers doivent se marrer quand ils découvrent la place et la rue... les frères lumières sont ridiculisés.
Signaler RépondreBelle photo de Meg Ryan, le long de la ligne T1, extraite du film In The Cut 2003 de Jane Campion
Signaler RépondreOn espère une remise de prix aussi raffinée que celle de Won Kar Waî, aussi surprenante que celle de Jane Fonda et une clôture aussi tonitruante que celle de F.F. Coppola,
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