Selon Le Progrès, l’affaire avait débuté en aout 2020, quand une femme résidante de la région s’était rendue à la gendarmerie de la commune du Grand-Lemps, en Isère. Elle avait alors affirmé aux militaires avoir subi une tentative de viol en réunion, sans manquer d’évoquer des détails glaçants.
Il s’agissait en fait d’un subterfuge pour se rendre auprès des forces de l’ordre afin d’alerter sur les violences conjugales qu’elle subissait de la part de son ex-mari. Mais ce dernier, père de deux de ses enfants, l’avait accompagnée au poste. La mère de famille avait alors préféré s’enfoncer dans son mensonge.
L’auxiliaire de puériculture avait désigné deux individus, des connaissances, qui seront placés en garde à vue. Mais grâce au travail des enquêteurs, les deux hommes originaires de Lyon et de l’Isère avaient été mis hors de cause. D’après nos confrères, c’est lors d’un tapissage mené en janvier 2021, moment ou les victimes doivent reconnaitre leurs agresseurs, que la vérité avait éclaté puisqu’un policier avait été désigné par la femme.
La mère de famille, aujourd’hui habitante de Givors, a été condamnée à trois mois de prison avec sursis. Elle devra également verser 2000 et 1500 euros aux deux hommes accusés à tort. Par ailleurs, une plainte avait été déposée contre son ex-conjoint qui a écopé d’un rappel à la loi.
Rappel à la loi, quand mème! Le juge a agité son index et lui a fait les gros yeux. Gageons que cette brute ne recommencera jamais.
Signaler RépondreA ceux qui sont prompt à la juger, elle voulait porter plainte contre son mari violent! E
Signaler RépondreElle n'a pas pu car elle a craint pour sa vie. Elle est sous l'emprise d'un homme violent.
Les deux hommes sont certes et malheureusement des innocents qui ont pris pour rien. Mais elle risque sa vie et vit des violences régulières.
Elle a été condamnée à du sursis ce qui est normal au vu de ce qu'elle a fait vivre au deux hommes.
Mais son mari il a quoi? Rien!
Pour rappel, le faux témoignage ayant entraîné la peine de mort était lui même puni de la peine de mort.
Signaler Répondre" Tu ne porteras pas de faux témoignage contre ton prochain " (Exode 20:16).
Signaler Répondreexpulsion test ou pas test
Signaler RépondreRemarquable travail des enquêteurs pour discréditer les mythomanes qui sont aujourd’hui devenues légions dans les commissariats de France et bien connue des tribunaux.
Signaler RépondreEt les enfants de cette belle famille ?
Signaler Répondren'est-il pas normal que la dénonciation calomnieuse d'un crime ait une peine qui soit différente du crime ?
Signaler Répondresi elle avait inventé une histoire de meurtre vous l'enverriez en prison à vie ?
Eux risquaient 15 ou 20 ans... sans compter les soufrances qu'ils ont endurées et qu'ils endurent certainement encore et elle prend 3 mois avec sursis... Belle justice à la française!
Signaler Répondrerappel à la loi pour la mari violent .... comment avoir confiance en la justice
Signaler Répondrecette condamnation donne raison à cette femme, pas simple de porter plainte quand vous n'êtes pas entendu et soutenu, et que votre conjoint menaçant peut passer à l'acte ....
Ça me mets en colère de tels agissements, elle peut bousiller la vie de ces hommes innocents, d’autre part elle porte préjudice aux femmes qui ont été réellement violées. Encore une espèce d’égoïste irresponsable qui a mon avis a été condamnée très légèrement il faut comme pour le reste des peines qui dissuadent les ordures irresponsables :-(
Signaler Répondre"une plainte avait été déposée contre son ex-conjoint qui a écopé d’un rappel à la loi."
Signaler RépondreAu final, c'est celui par qui tout est parti qui s'en sort le mieux...
C'est pas cher payé elle a failli foutre en l'air 2 vie quand même sans compter le regard de leur famille qui ont du les prendre pour des violeur une honte cette justice
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