Une trentaine d'accompagnants d'élèves en situation de handicap de Lyon, Villeurbanne ou encore Vaulx-en-Velin, Saint-Fons et Givors sont attendus dans les rues de la capitale pour dénoncer leurs conditions de travail.
Selon le syndicat FNEC-FP FO, "depuis la rentrée scolaire, avec la généralisation des pôles inclusifs d'accompagnement localisés, les conditions de travail des AESH continuent de se dégrader", en évoquant les mutations arbitraires, le non-remplacement des démissionnaires et arrêt maladie mais aussi la diminution du nombre d'heures d'accompagnement.
Le syndicat, qui appelle à la grève aux côtés de la FSU, la CGT Educ'Action ou encore SUD Education, demande un "vrai statut et un vrai salaire" pour les AESH.
Le cortège défilera jusqu'au ministère de l'Education Nationale.
Faut arrêté avec cette histoire, on veut mettre les handicapés dans la même école que tout le monde mais on n'a pas l'argent pour le faire, à force de cumuler les différentes aides visant à égaliser au final on ne réussit rien dans cet objectif, faut donc faire des économies en faisant des écoles spécialisées et là les aesh pourront y bosser à plein pour un vrai salaire et les enfants handicapés auront une vraie formation, bon ils n'auront probablement pas un job, car quand vous dites à un recruteur que vous avez une maladie vous empêchant de manger sans vous faire perdre votre sang et que vous voudriez faire sauter la pause de 12h, c'est next....
Signaler RépondreJe suis d'accord. Je suis Aesh accompagnant 4 élèves en primaire et maternelle. Et je vous la détresse des enseignants ( certains démissione), du personnel éducatif, des enfants accompagnés que l'on aide et accompagné comme on peux en s'adaptant à chaque enfant. Et je vois aussi la détresse, parfois la peur des enfants de la classe. Et je ne sais plus quoi faire. Sans soutien, nous avons le rôle d'éducateur sans aide, sans moyens. Avec un salaire de misère, une précarité, sans mutuelle. Il faudrait comme soit au même statut que les ATSEM pour que ce métier attiré. Le nombre de d'émissions souligné bien tout cela. Bref l'inclusion a quel prix de souffrance, de découragement. Nous sommes la solution pauvre de l'inclusion. Pour ces enfants ont fait croire aux parents que la solution est l'école, et on met à mal tout le système éducatif, les écoles sont au plus mal.. Que faire ????
Signaler RépondreJe prends le pari que Macron va nous refaire le coup du "je vous ai compris" comme il l'avait déjà fait lors des précédents débats télévisés pour l'élections présidentielle quand il voulait apparaitre du coté des aidants AESH et des élèves en situation de handicap.
Signaler Répondreau risque de choquer , il faut arrêter de faire croire aux gens que TOUS les élèves porteurs de handicap ont réellement leur place dans une classe!!! les aesh ne sont pas formés correctement et on leur demande de remplacer les soignants, les enseignants, les mamans, les papas, les réeducateurs.......cherchez l erreur
Signaler RépondreUne enquête à faire : l'attribution des places ULIS en. collège 2 mois après la rentrée scolaires.
Signaler RépondrePeut-être plus interessant que la rubrique "chiens écrasés".
Les handicapés et les invalides sont toujours les grands oubliés de tous les gouvernements de tous bords.
Signaler RépondreExemple, revalorisation de 0.1 pour les invalides et 0.4 pour les handicapés en 2021...
Ces personnes ont vraiment du mal à vouloir voter, ce n'est jamais dans les promesses de campagne.