C'est pourquoi le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche avait commandé une enquête auprès de l'Inspection générale de l'éducation, du sport et de la recherche.
Ce mercredi, les enquêteurs ont publié un rapport édifiant en révélant une liste de "27 situations de violences sexuelles et sexistes, dont la première remonte à 2017". Toujours selon l'IGESR, neuf cas "relèveraient de la qualification de viol".
La majorité des personnes concernées sont des étudiants, mais une dizaine d'enseignants et personnels sont également des victimes. À cela s'ajoutent quatre personnes extérieures à l'établissement.
Pour les enquêteurs, la direction de l'ENS est clairement mise en cause. Premièrement, elle n'était informée que de 15 situations. Sur ces 15 cas, "un seul a donné lieu à une procédure disciplinaire". La présidence est donc pointée du doigt pour son "manque de cohérence" et son manque "d'empressement à agir".
Concrètement, le bureau directoire est accusé d'avoir laissé s'instaurer un climat très délétère par son silence, son déni et son inaction.
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Signaler RépondreCitoyens, exigez la fermeture de cette institution composée d'un élite dans leurs têtes de parasites qui coûtent une fortune à financer sur le dos d'un peuple exploité et sous payé. L'ENS fait partie d'une exception française dont on peut facilement s'en passer. Nous attendons un autre Wikileaks et un coup de #balancetonporc pour faire tomber cet dernier avatar de l'Ancien Régime !
Signaler RépondreC’est une gangrène qui ronge toute l’administration de manière de plus en plus décomplexée. Et plus on monte dans l’élite, plus les cooptés s’affranchissent. On dit que le poisson pourrit par la tête…
Signaler RépondreCourage aux victimes et aux associations qui les soutiennent. Que cessent l’impunité et la perpétuation silencieuse de cette barbarie.
On est bien plus en sécurité place Gabriel Péri à la Guillotière que dans cette école mesdames, il faut croire !
Signaler RépondreTiens, les premiers coups en dessous de la ceinture pour prevenir Marion de ne pas rallier Zemmour ...Qqun croit a cette fiction politique ? C'est gros comme une maison LOL
Signaler RépondreAh les progressistes de l'ENS et les belles valeurs qu'ils defendent en public, profs comme eleves, mais en privé c'est autre chose.
Signaler Répondre+ 1000.
Signaler RépondreDes tissus de mensonges pour femens en manques de gibiers ,mdr
Signaler RépondreUn consentement entre adultes responsables ? Mdr , QUELS adultes ?
Des mythomanes et des irresponsables pour l’immense majorité des jeunes français ….
Des Lois qui au départ sont bien faites , MAIS sont utilisées en majorités par des manipulatrices perverses pour prendre de l’argent par le biais de la justice comme aux USA .
Signaler RépondreEn fait , des lois qui ne sont QUE des pièges à cons . Car , les plus intelligents de la gente masculine ont bien compris qu’il vaut mieux PAYER une prostituée à notre époque pour ne pas être attaquée et soudoyés par la suite par des femmes qui sont en fait moins respectables que ses prostituées .
C'est avec ce genre de situations que l'on comprend mieux : tous "les charmes..." de la cooptation, de l'entre soi. Et alors ! si La Direction est mise en cause : "I want my money back"
Signaler Répondredisait M'dame Thatcher. Ou, rendez-moi mon fric !
Un truc de bobo.
Signaler RépondreLa place de la culture du safran est à la campagne, tandis que ce qu'il faut en ville se sont des toitures végétatisées, c'est-à-dire couvertes de vert pour réguler l'humidité, limiter la réflexion de lumière pour faire baisser la température.
Il n'y a pas à transiger : il faut fermer cette école.
Signaler Répondre"Supposés" "releveraient"
Signaler RépondreBref que du virtuel pour l'instant, on verra en bout de course la vraie réalité...
Les études supérieures mènent à tout !
Signaler RépondreLa direction est pourtant payée, non ?
Signaler RépondreEncore une situation bien française : des cooptés palpent l'argent public sans remplir les tâches qui leur incombent. Les lois sont pourtant claires.