L’occasion pour eux d’alerter sur le manque de places en Master, qui avait conduit deux étudiants à entamer une grève de la faim il y a quelques semaines.
"Depuis ce matin, les "sans-facs" et leurs soutiens occupent les bureaux de la présidence de Lyon 2, après nous avoir fait miroiter une commission interne qui permettrait de résoudre les inscriptions restantes en master, mais qui s'est révélée être une chambre d'enregistrement de refus d'inscription", précise l’UNEF Tacle sur les réseaux sociaux, qui regrette que des étudiants soient toujours sans solution à la rentrée de la Toussaint.
Ils seraient 16 à avoir été recensés et donc l'inscription a été réclamée à la présidente de Lyon 2, Nathalie Dompnier.
Un rassemblement plus large était organisé à 18h mais les étudiants déterminés comptaient également passer la nuit sur place.
Toi l'anonyme qui critique tous les commentaires, a-t'on le droit d'avoir un avis différent du tien ??
Signaler RépondreTu change de pseudo mais on te reconnait à ton style d'écriture acerbe et "ya que moi qu'à raison"
En l'espèce, si certains étudiants n'ont pas été acceptés en Master, c'est parce qu'ils n'ont pas le niveau !
Signaler RépondreVous avez vu l'énorme faute d'orthographe ("les bureau", sans X) dans le premier tweet de l'UNEF...et l'écriture inclusive, théoriquement interdite en France, dans leur second tweet? Que ces étudiants- là retournent vite en CM2! C'est là leur place plutôt qu'à la fac...
Signaler RépondreLes sciences humaines ou sociales fournissent de nombreuses corporations, si ce n'est qu'une question de débouchés et d'utilité... mais à la limite peu importe, ce qui compte c'est le chiffre qui va derrière "Bac+".
Signaler RépondreDissolution de l'UNEF en vertu de la loi contre le séparatisme.
Signaler RépondreVotre commentaire montre une intelligence hors du commun !
Signaler Répondrelyon 2 = usine à fabriquer des chômeurs. que ces abrutis qui n'ont pas été assez intelligents pour être pris en master aillent bosser, c'est pas le travail qui manque.
Signaler RépondreEt çà sert à quoi d'être bardé de diplomes qui ne servent à rien et qui n'offrent aucun débouchés?Surtout en "sciences humaines ou sociales" .
Signaler RépondreSi ces étudiants sont éligibles au master c’est qu’ils en ont le niveau.
Signaler RépondreNe suffit il pas d’avoir réussi ses partiels ?
Sinon sans ironie de ma part expliquez moi
Il faut se mettre à leur place, c'est la fac ou le pole emploi. On a un tel chômage qu'une licence ou rien c'est pareil. Et à force de décerner des diplômes, c'est à peine si leur master vaut un bac de 1980.
Signaler RépondreIl est devenu crucial pour les jeunes d'être bardés de diplômes, parce qu'après c'est fini.. si on quitte l'école avec un niveau bac, on reste en bas de l'échelle. C'est la loi du tout-diplôme, c'est leur vie entière qui se joue avant d'avoir 22 ans, après les jeux sont faits.
Pour ceux qui prennent le métro, regardez les publicités... est ce que vous voyez autre chose que des écoles, des formations, des diplômes ?
Tout ça n est que l'aboutissement du manque d'exigence de certains diplômes à commencer par le bac, et surtout de l'approche dogmatique orchestrée depuis une 40aine d annee par une partie du corps professoral qui explique qu on est un raté si un s oriente dans une voie professionalisante. Résultat : engorgement des filières généralistes où sortent chaque année bon nombre d étudiants "généralistes" qui ne représentent pas toujours beaucoup d'intérêt pour les entreprises , et de l'autre : 950 000 emplois non pourvus. Quand aux étudiants de très hauts niveaux : eux ils ont tendance à se barrer à l étranger.
Signaler RépondreFaux ! encore faux! allez parler aux professeurs à l'université ou aux maitres de conférence sur le niveau des étudiants (1-0 )Aussi je ne s'avais que l'UNEF avait un poids si important dans la politique universitaire nationale .(2-0 ) on continue ou vous continuez à dire n'importe quoi?
Signaler RépondreDepuis la rentrée 2017 et la réforme Belkacem, la sélection des étudiants se fait à l'entrée du master, et non plus entre la première et la deuxième année du cycle, c'est tout.
Signaler RépondreDonc évidemment en 2021 on se retrouve avec pléthore d'étudiants qui n'ont pas le niveau pour intégrer un master...
A l'image de tout le niveau scolaire en France, de plus en plus déclassée, le niveau de la fac est un champs de ruine bien entretenu par la très politique Unef.
juste augmenter le budget des université , c'est simple , étonnant ,non?
Signaler RépondreIl est colère ! il n'admet pas que des gens se mobilisent pour les autres ,gratuitement, par conviction ,sans échange ,sans rien en contre partie et surtout sans xénophobie ou autre racisme !
Signaler RépondreJe n'ai jamais lu autant de fausses informations.
Signaler RépondreChampion, vous êtes un champion soit soyez vous venez prochainement pour un diner chez moi soit vous allez lire les "Que sais-je" ( au mieux pour vous ) sur l'assurance maladie+ les universités +la fonction publique ...et dans 8 ans on pourra avoir un débat sérieux,
Bien au contraire, ! baisse du budget des université ,augmentation du nombres d'étudiants, les 2 courbes s'inversent........et voilà l'université ne joue plus son rôle.
Signaler RépondreJ'ai beau relire, je ne n'en sors rien de bien ou d'intéressant de votre commentaire.........Bizarre
Signaler RépondreA mon époque, on donnait pas le bac a tout le monde. A mon époque quand on allait en fac, on savait quel métier on voulait faire.
Signaler RépondreOn ne faisait pas des études pour faire des études.
Et à l epoque, quand on ratait ses partiels ou son année parce on a préférer faire la fête au lieu ee bosser, on venait pas chialer après.
Et me sortez pas le refrain que les jeunes doivent bosser a côté, car à l epoque on faisait de même et même plus car beaucoup moins d aide.
Donc desolee mais commence en avoir assez des jeremiades des étudiants comme d autres d ailleurs.
Que les gens apprennent a vivre avec ce qu ils ont, salaire, aide que la société nous donne et si pas, assez qu' ils se bougent le cul pour améliorer leur quotidien
Idem pour ceux qui font des gosses, si avec un gosse vous vous en sortez paz, fates en pas un deuxieme,
Battez vous ou cassez vous de ce pays , et des gouvernements à suivre , qui vous attendront au virage , pour rembourser la dette abysalle envers la Banque Centrale Européenne , ceci du a la crise COVID , et donc tout l'argent emprunté et balancé à tous les vents , sans se soucier du futur .....
Signaler RépondreDonc, la solution ?
Partir de France et éviter cet enfer.
Étudiants, fonctionnaires... même combat ! pas de cotisations sociales ( hormis celles pour leur retraite ! ) et toujours des revendications....
Signaler Répondrepensons aux jours de carence des fonctionnaires en cas d’arret maladie et à leurs indemnités journalières ( payées par nos impôts uniquement), aux nombreuses semaines de congés des enseignants éternellement vindicatifs, a la sécurité sociale des étudiants trentenaires ou étrangers qui pour une modique cotisation annuelle peuvent prétendre à bien plus de soins que beaucoup de modestes retraités qui ont cotisé toute leur vie...
R.I.P ma France.
il aurait peut etre mieux valu pour eux qu’ils bossent leurs partiels l’an dernier…. je me trompe ?
Signaler Répondreallez... je vais faire réagir le forum.... il y a encore quelques années la sélection se faisait au niveau du bac, voire plus tôt. Depuis que certains politiques ont voulu 80 % de bacheliers, sans mettre en place les infrastructures nécessaires à la poursuite de leurs études.... forcément cela bloque. Et même quand leur niveau est reconnu insuffisant pour être accepté dans un cursus aux places limitées, il suffit à ces étudiants d’une petite grève de la faim, et c’est réglé !
Signaler RépondreMerci qui ??
apres le bac donné à tout le monde les masters de bons a rien sans débouchés distribués à qui en fait la demande
Signaler RépondreC'est toujours le cas. Et à l'époque les moins bons n'avaient pas forcément une place assurée également...
Signaler RépondreLe droit à poursuivre ses études est réel... à condition d'en avoir les capacités (niveau...).
Signaler RépondreIl y a toujours eu une sélection pour entrer à l’université et pour passer au niveau supérieur, ça n’a rien de nouveau. Une licence ou un master avec 10 ou 12 de moyenne, ça ne permet pas de passer automatiquement au niveau au-dessus. Pourquoi ? Parce que c’est une perte de temps pour tout le monde : les étudiants eux-mêmes et les profs. On devient pas juriste ou linguiste par la simple délivrance d’un diplôme au rabais.
Signaler RépondreMme la présidente de Lyon 2, filez-leur tout de suite un doctorat, ça sera plus simple…
Signaler RépondrePourquoi ne vont ils pas voir Lyon 3 ?....
Signaler Répondre:D
A quand la dissolution de l'Unef ?
Signaler RépondreGI a été dissous pour bien moins que ça.
S'il n'y a pas assez de places on devrait créer un système d'années de césure, avec des points en fonction des activités exercées (par exemple, bourse d'étude à l'étranger et remise à niveau linguistique, formations diverses, mac-do à mi-temps avec mémoire de fin de stage, stages bios chez un paysan ardéchois..). L'objectif étant de reprendre les études en cous de cursus.
Signaler RépondreC’est incroyable !
Signaler RépondreTout est compliqué de nos jours, même s’inscrire à la fac.
A l’époque l’université était l’occasion de poursuivre ses études quand on n’avait pas les moyens d’une école privée et aujourd’hui même ce droit est bafoué.
L’égalité des chances, la bonne blague !
Battez-vous les jeunes…
Il vont aussi tous se mettre en grève de la "fin" ?
Signaler RépondreVu les températures ils auraient intérêt à attendre le printemps ;-b
Ah, ben, c'est l'UNEF, tout s'explique ! Le nivellement par le bas ....
Signaler RépondreDonc la solution dorénavant pour avoir une place dans école ou un diplôme est d'envahir les bureaux de la présidence ?
Signaler RépondreEh les gars, les filles si les autres ont trouvé une place et pas vous, c’est peut-être que vous étiez moins bons, donc pas au niveau, non ?
Signaler Répondre« Génération sacrifiée », pffff… C’est plutôt l’inverse : faut-il sacrifier le niveau des études universitaires ???
L'Unef c pas le syndicat étudiants d'extrême gauche ?
Signaler RépondreNaturelle est la sélection en dépit de...
Signaler RépondreL’unef devrait trouver la solution virer les blancs privilégiés, réunions en non-mixité, lynchage de profs etc etc donc pourquoi étudier :-)
Signaler RépondrePetites phrases pour mémoire
« Je m’en fiche de Notre-Dame car je m’en fiche de l’histoire de France. On s’en balek objectivement c’est votre délire de petits blancs »
Oh les belles pancartes bien professionnelles... C'est pas du spontané ça ! On sent les étudiants bien manipulés par les syndicats gauchistes. D'ici peu ils vont rajouter l'intersectionnalité à leur discours...
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