Avec une dizaine d'élues et collaboratrices lyonnaises, Vinciane Brunel-Vieira a signé dans Le Monde un appel à écarter de la vie politique les hommes auteurs de violences sexuelles et sexistes. "On ne va pas assez loin, il faut des engagements fermes des partis", martèle l'élue métropolitaine EELV.
Dans cette tribune, il est notamment réclamé que les candidats à la présidentielle accusés de ces faits ne puissent pas se présenter. A savoir François Asselineau, Eric Zemmour et Jean Lasalle. "On a un devoir d'exemplarité. Il y a une accumulation de témoignages qui pose question. Il faut un signal fort", poursuit Vinciane Brunel-Vieira, qui se félicite de voir que chez EELV, "on a mis en place des commissions internes" sur le sujet, notamment depuis l'affaire Denis Baupin.
"On se retrouve avec des personnalités qui avancent dans leur vie politique sans être inquiétées malgré des témoignages qui s'accumulent", regrette-t-elle.
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Dans l'affaire Baupin tout le monde savait chez EELV ... personne n'a rien dit pour "protéger" le parti, idem pour les prêtres pédophiles protégés par les évêques ... " je le savais mais j'ai rien dit ".... il faut se BATTRE contre les gens qui mettent en danger les autres en fermant les yeux !
Signaler RépondreCes gens-là n'ont pas peur d'utiliser toutes les hypocrisies pour pouvoir faire taire Zemmour, car c'est cela le vrai but qu'ils recherchent. Ils se sont fait élire sur une liste "écologie", car personne n'en n'aurait voulu ailleurs et ils prétendent ensuite régir la société dans toutes ses composantes, même celles à laquelle ils ne comprennent rien. Triste époque!
Signaler RépondreLe monde politique a besoin d'un grand reset. Les partis doivent faire une plus large place aux personnes honnêtes et désinteressées.
Signaler RépondreJe suis ok est ce que lrem va commencer à faire son propre ménage avec Depute Yves Blein?
Signaler RépondreJe rebondis sur l expression , certainement volontairement reprise par le journaliste:
Signaler Répondre"On ne va pas assez loin, il faut des engagements fermes des partis", martèle l'élue (qui ne s'appelle pas Charles )
Ce n est pas un hasard ...et cela prete a sourire .
Je me souviens d'une pub de la SNCF a l a fin des années 80: "laissez vous prendre par le train"
Tout est dans la formule. Honnis soit qui mal y pense .
ben voyons
Signaler Répondre"LA JUSTICE, çA NE SUFFIT PAS"
ce que dit cette femme, élue de la République, est très grave.
Mais est elle capable de s'en rendre compte ?
Et ils osent nous parler d'exemplarité, on peut aussi créer le #MYTHO ? C'est pour dénoncer les ingrats qui nous traite d'indigne car on souligne leur inaction !
Signaler Répondre... des hommes.. et des femmes peut-être ? Non ?
Signaler RépondreJ'ai déjà perdu des boulots juste après avoir repoussé les "avances" de supérieures... deux fois, et dans la fonction publique.
C'est pas une question de sexe mais de pouvoir.
faudrait aussi s'occuper du "harcèlement global" vers la guillotiere....
Signaler RépondreTout comme EELV à tout de suite dénoncé et pris les mesures immédiates pour mettre fin au harcèlement et agressions sexuelles de Baupin, et le harcèlement moral de Benbassa bien connus de tous pendant des années, bravo a défaut de réagir lorsque c’était nécessaire de prendre le train en marche et de récupérer la lutte des vraies guerrières pacifiques de véritables coucous ces verts 😁
Signaler RépondreEt d'ailleurs, Eric Piolle qui a violemment bousculé Sandrine Rousseau lors des université d'été des verts doit démissionner. Nous nous devons d'être exemplaire.
Signaler Répondrehttps://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/isere/grenoble/video-bousculade-violente-entre-e-piolle-et-s-rousseau-les-images-de-france-3-ne-montrent-aucune-collision-2224867.html