Tout d’abord sur le terrain du Groupama Stadium, puisque l’Olympico entre Lyon et Marseille ne s’est pas joué.
Le match a été interrompu dès la 4e minute de jeu après un jet de bouteille sur Dimitri Payet, touché à la tête. L'annonce de la reprise par le speaker du stade, plus de 75 minutes après l'incident, n'a finalement pas été suivie d'actes, les Marseillais refusant de revenir sur le terrain en estimant que la sécurité des joueurs n'était pas assurée.
Alors que les supporters de l’OL commençaient déjà à quitter l’enceinte, une réunion de crise a été organisée, "en présence des arbitres, du préfet, de la vice-Procureure, du DDSP et des présidents des deux clubs" d’après la préfecture. L’arbitre a alors décidé de reprendre le match, toujours selon les services de Pascal Mailhos. Il est environ 22h, les supporters qui patientent dans le froid pensent alors pouvoir profiter du spectacle, les joueurs lyonnais s’entraînent sur la pelouse.
Mais à 22h40 environ, nouveau retournement de situation, les équipes rentrent dans les vestiaires, le match est définitivement arrêté. « L’arbitre a invité les autorités et les présidents de clubs dans son vestiaire pour dire qu’il change d’avis et qu’il stoppe la rencontre » assure la préfecture qui chargera ensuite la LFP dans la prise de décision : "la Ligue se défausse et publie un communiqué disant que la décision de reprise émanait du préfet du Rhône. Faux, la décision a été prise par l’arbitre en présence des autorités et des présidents de club".
La Ligue de football professionnel contre-attaque et affirme dans un communiqué "regretter la décision de reprise de la rencontre Olympique Lyonnais – Olympique de Marseille par le Préfet de région comme c’était déjà le cas pour AS Saint-Etienne – Angers SCO". Les supporters n’y comprennent plus rien et une question se pose dans les tramways du retour : "Qui ment ?".
La LFP a également annoncé une réunion d’urgence ce lundi. Des mesures pourraient être immédiatement prises comme l’instauration d’un huis-clos pour les prochaines rencontres.
L’auteur du projectile a lui été interpellé. Âgé de 32 ans, il était ce lundi matin toujours en en garde à vue, désormais poursuivi pour "violence avec arme par destination dans une enceinte sportive". D’autres arrestations ont aussi été menées pour usage de fumigènes, sans que l’on sache si ces "torches" ont été utilisées dans le stade ou dehors.
Un prefet incapable se securiser le quartier de la gui, de mettre hors d'etat de nuire une bande de blaireaux en scooter....vient se meler d'un match de foot car son arret risque de remettre en cause l'ordre public...de mieux en mieux
Signaler RépondreMalgré des efforts marketing colossaux les véritables valeures du foot resurgissent dans les gradins.
Signaler RépondreLe football institutionalisé est mort depuis belle lurette, jouez entre amis et évitez les clubs qui ne sont que des machines à fric
Le. Foot sport est une anecdote par rapport à
Signaler RépondreFoot fric d Aulas .
Je ne sais plus pourquoi on va au stade .
Ou et le plaisir même un enfant ne voit plus la promotion par le sport .
Achat vente c'est le foot moderne ..
...l'opium des écervelés.
Signaler RépondreQuand on entend les propos tenus par certains journalistes sportifs de 📻 , qui mettent et attise le 🔥 entre divers protagonistes hier au soir, A tel point que D. Riolo a présenté ses excuses, quand Aulas à remis les pendules à l'heure..Vous devriez ecouter par curiosité l'émission de l After foot...d'hier au soir, les propos entendus hier contre un président de club ,ces paroles qui attisent de la haine inadmissibles , bien que le meneur des débats à essayé mollement d'apaiser les tensions . Finalement c'est un Mènes numéro deux..
Signaler RépondreLe foot ? Apologie des simagrées et des mensonges, et aussi de la violence imbécile
Signaler RépondreAulas roi des menteurs et lyon mag pompeuse de Aulas aussi simple que ca
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