Le Groupe d’échanges et culture (GEC) organise la résistance face à cette vente de tableaux d’art contemporain. Plusieurs membres du collectif ont écrit une lettre à la municipalité mais également à la Direction régionale des affaires culturelles pour s’opposer au souhait de la Ville de Saint-Priest de céder plusieurs œuvres, notamment une huile sur toile du peintre allemand Gerhard Richter estimée entre 2,5 et 3 millions d’euros par un expert.
"On ne vend pas une œuvre comme on vend un vélo. On ne veut pas que ces œuvres soient vendues et partent à l’étranger. Cette collection, propriété de la Ville, donc des citoyens, devrait être mise en valeur dans un lieu public, et visible par tous, accompagnée d’actions", explique Marie-Paule Cerino, la présidente du GEC, dans les colonnes du Progrès.
Le Groupe d’échanges et culture pourrait organiser d’autres actions dans les prochaines semaines afin de s’opposer à cette vente.
Merci Bruno Polga merci à toi l'adjoint à la culture d'avoir créer l'arthotheque de la ville d'avoir œuvré pour l'art et bien choisis les œuvres pour permettre à tous l'accès à l'art
Signaler RépondreComme au Louvre ces œuvres devraient être inaliénables et rester le bien immatériel de la ville...
Les pisses froids qui. ne pensent qu'aux fric n'ont pas le sens des vrais valeurs politiques
Republiquaines et humanistes
Ahahahahah mais pourquoi vous dites n'importe quoi ? C'est pas un crime de ne rien y connaître en art contemporain...
Signaler RépondreRichter artiste autoproclamé on aura tout vu.
Voulez-vous mettre le nez dans le bilan comptable et traquer les gaspillages ou préférez-vous être des pigeons et nous augmentons vos impôts comme d’habitude et vous fermez votre clapet ? Ça le fait aussi dans ce sens :-)
Signaler RépondrePourquoi ne pas vendre ce tableau et avec cette argent acheté une centaine de Tableaux a des peintres professionnel ( valeur 1000€ par oeuvre)
Signaler RépondreOn reste dans la même idée et on se crée une collection nouvelle ( artothèque pour les habitants par exemple) la culture devient un avantage pour tout le monde.
Richter c'est bien côté. Bon investissement semble-t-il. C'est rare avec l'argent publiC.
Signaler RépondreSi la vente de ces tableaux appréciés par quelques personnes elitistes peut servir a financer des actions pour lutter contre la précarité et la grande pauvreté la mairie de St Priest doit passer outre les pleurnicheries de ce groupe d individus.
Signaler RépondreLes autres feraient bien de s'en inspirer, car la cote de ces "chefs-d'œuvre" auto proclamés risque bien de dégringoler rapidement...
Signaler RépondreDes tableaux que plus de la moitié de saint priest non pas vue et ne veulent pas voir ils ont cas les vendre si sa peut aider à investir ailleurs bon débarras
Signaler RépondreJe ne connais aucune police municipale ni aucun agent technique qui porte 11 000€ de vêtement !!!!
Signaler Répondresi pas de revenus de vente, alors endettement
Signaler RépondrePar contre l'alternative qui viserait à diminuer les frais de fonctionnement quelqu'un y a pensé ?
Et alors c'est un costume de fonction. comme la municipale, les agents techniques.
Signaler Répondrereferendum: voulez-vous qu’on augmente les impots locaux de plusieurs millions d’euros ou voulez-vous qu’on vende les tableaux ?
Signaler RépondreAvec ce genre de "réflexion" on aurait du démonter la tour Eiffel en 1890 !!!
Signaler RépondreEn plus d'avoir fait voter dès sa première élection la hausse de ses indemnités, les dépenses du cumulard Gilles Gascon sur le dos des contribuables ne sont pas justifiées.
Signaler Répondrehttps://www.lyonmag.com/article/105366/costumes-chaussures-la-garde-robe-a-11-000-euros-du-maire-de-saint-priest-payee-par-les-habitants
mieux vaut la vendre à un musée que la garder a st priest ou elle n'attirera certainement pas beaucoup de visiteurs
Signaler RépondreQuand on parle d'art contemporain, la notion "d’œuvre" est toute relative ! :) :)
Signaler RépondreRenseigne toi sur la politique qui est menée par Gascon à St Priest. Ce n'est plus la gauche caviar d'il y a quelques années .....
Signaler Répondre« on ne veut pas que ces oeuvres partent à l’étranger « ..... Euh.... il est français le peintre du fameux tableau ? Non ! Donc une ville française aurait à l’époque « pillé » le patrimoine culturel d’un autre pays ?
Signaler Répondreoeuvre achetee moins de 100000 francs (15 000€) il y a 30 ans et revendue aujourd’hui plus de 100 fois son prix d’achat. Je félicite la mairie pour ce placement judicieux. D’autant que le Maire a déjà annoncé que l’argent de la vente serait reversé au budget de la culture ( budget qui avait servi a son acquisition ). La municipalité gagne plus de 2 millions € au passage, c’est toujours ça de moins en impôts à payer pour les habitants. Félicitations !!
Signaler RépondreToujours la même méthode des politiques : On vend pour payer les charges du jour sans se soucier du lendemain...
Signaler RépondreMais d'ou vient cette toile ? Donateur ?
Signaler RépondreIl faut bien financer les notes de frais, les costumes (+ leur nettoyage) et les belles chaussures du maire les ripoublicains Gilles Gascon
Signaler RépondreJe suis pour, il faut trouver de l'argent pour arriver à 10 000 kms de pistes cyclables dans le grand lyon, bon sang de bonsoir !
Signaler RépondreLa possession d'oeuvres d'art n'est peut-être pas la priorité d'une Mairie. Elle a d'autres prérogatives plus proches de ses compétences habituelles.
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