Mais certainement pressée par le temps, la Fédération Française de Football a décidé d'avancer la réunion à ce lundi. En effet, les 16e de finale de la Coupe de France auront lieu début janvier et il faut absolument déterminer de la suite à donner à ce match, dont le vaiqueur doit affronter l'OGC Nice au prochain tour.
Le dossier a donc été mis en instruction et les membres de la commission doivent désormais analyser tous les éléments dont ils disposent. Selon RMC Sport, plusieurs supporters du PSG, et plus précisément du groupe "Porte 411", seraient impliqués.
Un défaut du dispositif de sécurité a aussi été noté, malgré l'assurance montrée par le président de PFC sur ce point. Les sanctions devraient tomber en fin de semaine.
L'enquête policière avance, on va vers des surprises, n'est-ce pas M. Ferracci ?
Signaler RépondreCeci est d'autant plus étrange que lors de la réception de kop adverse au Paris FC, par exemple Paris FC - Lens, les kops adverses sont séparés du public par le plexiglas mais également avec une distance de sécurité.
Signaler RépondreOr contre l'OL dont les supporters sont reconnus violents dixit le Président du Paris FC, on s'étonne que le Paris FC a fait sauter les distances de sécurité comme habituellement.
On comprend bien que le Président du Paris FC a privilégié la recette à la sécurité et/ou est effectivement complice des violences exercées contre le parcage lyonnais.
Espérons que les services de police fouilleront les messageries de certains dirigeants du Paris FC, on risque d'en apprendre des vertes et des pas mûres sur les moeurs du foot.
Voilà ce que disent les textes des règlements de la FFF puisque la Coupe de France est organisée par la FFF .....
Signaler RépondreExtrait de l’article 2 du Règlement Disciplinaire de la FFF :
Les clubs et les licenciés pourront être sanctionnés à la suite de « faits relevant de
la sécurité d’une rencontre survenus avant, pendant et après cette dernière ou
susceptibles d’en impacter le bon déroulement.
Le club recevant est tenu d’assurer, en qualité d’organisateur de la rencontre, la
sécurité et le bon déroulement de cette dernière.
Néanmoins, le club visiteur ou jouant sur terrain neutre est responsable des
désordres causés par ses assujettis ou ses supporters. »
Donc , en tant que club recevant , le PFC est responsable de la mauvaise sécurité et du non déroulement de la rencontre ....
Mais en tant que club visiteur , l'OL est responsable des débordements de ses "supporters" .....
Je pense que les 2 clubs vont "manger bon" et je ne suis pas loin de croire que Nice sera qualifié sans jouer .....
Il y avait des complices sur place c'est obligé..les premiers coupables sont les parisiens, plus un manque de sécurité flagrant , c'est pourquoi le président du club Parisien a chargé à mort Aulas en direct, sans même réfléchir, ni regarder plus loin, il savait très bien que les tords lui reviennent a 80%. Quand aux lyonnais fallaient pas qu'ils répondent aux provocs...
Signaler RépondreLe rugby est un sport de voyous, joué par des gentlemen.. le football c'est l'inverse, public compris !
Signaler Répondrenon
Signaler RépondreLe Président du Paris FC semblerait être complice de l'attaque des ultras parisiens sur le parcage lyonnais.
Signaler RépondreSinon comment ces ultras parisiens ont pu pénétrer dans l'enceinte sportive à la mi-temps avec des armes comme on le voit sur certaines vidéos (nunchaku, ceinture cloutée, bombe agricole, ...) pour aller s'en prendre au parcage lyonnais.
D'autant plus que dès le début des incidents, ce Président, manifestement en manque de notoriété, se répandait dans tous les médias possibles pour déverser son fiel contre Lyon et Jean-Michel Aulas niant les faits pour mieux les transformer à charge contre l'OL.
Etonnant !
Pire, dans son verbiage médiatique anti lyonnais quelques minutes après les incidents, il affirmait qu'il avait été informé de l'arrivée des ultras de l'OL et de soit disant incidents pendant le trajet.
Nous avons donc selon les éléments factuels, ce président parisien qui affirme être informé sur les ultras de l'OL mais ne rien savoir sur des ultras parisiens armés qui entrent comme dans un moulin dans le stade dont il avait la charge de l'organisation et de la sécurité pour cette rencontre de Coupe de France.
Etrange, comme c'est étrange !