Ce samedi 1er janvier 2022, des habitants de l'avenue du Général-Leclerc à Rillieux-la-Pape ont entendu des cris de détresse provenant d'un appartement voisin.
Ils ont alors prévenu la police qui est arrivée sur les lieux aux alentours de 19h. Un homme âgé de 31 ans, visiblement ivre, a ouvert la porte aux agents.
C'est alors qu'une femme a demandé de l'aide. Elle a expliqué que, tout au long de la journée, elle avait été rouée de coups par son conjoint.
Le suspect éméché a été interpellé tandis que les secours sont venus soigner la victime en état de choc. Elle s'en tire avec 6 jours d'ITT.
L'homme violent a quant à lui été placé en garde à vue. Interrogé, il a reconnu les faits et sera présenté au parquet ce lundi.
non aux cadences infernales!!
Signaler Répondresi elle fut frappée toute la journée, est-ce un immeuble de sourds/muets ou un + courageux est rentré chez lui à 19h….?
Signaler Répondretravaux forcés pour mari ou ami !!
C'est peut-être sa façon à lui de souhaiter la bonne année.
Signaler RépondreIl faudrait que dans les maisons on puisse compter les livres, et non pas les bouteilles vides. J'espère qu'on donnera une bonne lecture à cet homme pendant son séjour en cellule.
Signaler Répondreattention à la tendinite,changez de main!
Signaler RépondreQuelle situation désastreuse, il avait raison jean Gabin , quand il disait ( salaut de pauvre , ) et c est réellement la vérité malheureusement.
Signaler Répondre...avec les douze coups de minuit, mais oui, ce serait de mauvais gout.
Signaler Répondrec'est drôle, mais je sais pas si c'est vraiment l'endroit
Signaler RépondreBonjour, souvent, c'est la peur et même la terreur qui fait qu'une femme ne peut se défaire de l'emprise d'un homme. C'est difficilement appréhendable mais c'est ainsi. Bonne journée.
Signaler RépondreQuel courage ! Moi au bout de 10 minutes, je fatigue...
Signaler RépondreSans juger la situation (que je ne connais pas), je pense que nombre de couples ne se supportent plus. Entre l'attitude macho de certains hommes et/ou le féminisme revendicatif de certaines femmes, ça ne matche pas. Le quotidien devient invivable.
Signaler RépondreIl faudrait que les deux conjoints soient capables de discuter et d'exposer leur point de vue se fassent tous les deux des compromis, mais ça se passe rarement ainsi. C'est plutôt l'un ou l'autre qui impose sa loi et pourrit la vie de l'autre.
Il vaudrait être mieux dans ce cas se séparer mais encore faut-il en avoir les moyens. Et que l'un des deux conjoints ne s'accroche pas comme une arapède, à l'autre...
Elle s'exprime sur les mésaventures de Darmanin à moins que je me trompe
Signaler RépondreQue dit Schiappa ? Rien ?!
Signaler RépondreC’est terrible cette violence ! Il faudrait un vaste programme comme en espagne en dehors d’une condamnation il faut suivre et soigner ces hommes, certains sont récupérables. Mais il ne faut rien laisser passer, il faut également faire comprendre aux femmes qu’il ne faut jamais accepter la moindre agression, bref vaste programme qui relève d’une prise en charge psy pour les deux.
Signaler RépondreHeureusement elle l'aime trop et ne veut pas qu'il aille en prison.
Signaler RépondreIl boit, elle trinque. Cela arrive à des enfants aussi, leur vie marquée pour toujours.
Signaler RépondrePrions pour que cela change un jour.
Signaler RépondreQue la justice frappe fort envers ces hommes qui prennent exemple sur d'autres.
La barbarie et la violence n'ont jamais été complémentaires de quoi que ce soit.
Signaler RépondreN'importe quoi
Signaler RépondreLes hommes et les femmes ne sont décidément plus complémentaire.
Signaler RépondreElle l’aurait trompé avec un pangolin et il aurait attrapé à cause d’elle le Covid ? C’est la raison de cette violence.
Signaler Répondre"Il frappe sa femme toute la journée"
Signaler Répondre"la police qui est arrivée sur les lieux aux alentours de 19h"
On dirait le sketch des Inconnus, mais là c'est pas drole du tout :/
Ça devient une habitude à tous niveaux à Rillieux malheureusement...
Signaler RépondreHeureusement que des voisins ont appelé, ce qui n'est pas toujours le cas.