Aujourd’hui, 43 familles sans abris sont obligées de recourir à la solidarité, notamment celle du collectif Jamais Sans Toit dans la Métropole.
“Un enfant à la rue est un enfant privé du droit à l’instruction, déclare Marie Plassart, membre du collectif. C’est pourquoi Jamais Sans Toit travaille à partir des droits des enfants, et va symboliquement aider à trouver des hébergements dans des écoles, des collèges ou des lycées."
“Notre collectif demande simplement aux pouvoirs publics de respecter la loi. C’est-à-dire d’offrir un hébergement d’urgence inconditionnel à toute famille qui en a le besoin”, poursuit-elle. L’activiste s’indigne des solutions proposées : malgré la bonne volonté des acteurs et des terrains de service, le nombre d’hébergements d’urgence sont insuffisants, voire dérisoires.
À ce jour, Jamais Sans Toit aide les familles qui ne peuvent pas prétendre à une aide de la préfecture, de fait qu’elles soient trop nombreuses. Comme par exemple une famille composée d’une fratrie de 4 enfants, dont deux scolarisés au collège Jean Macé. Soutenue par Jamais Sans Toit, et par un collectif de parents d’élèves, d’enseignants et d’habitants de Villeurbanne, la famille a passé sa première nuit dans le gymnase de ce même collège.
“La première nuit a été difficile, surtout pour ma femme et pour mon petit garçon, témoigne le père. On a dû retourner dehors à 6 h 30 ce matin”. La famille doit également faire face à la séparation : pour privilégier le bien-être des enfants, les deux collégiennes sont logées chez des parents d’élèves.
Marie Plassart souhaite le faire rappeler : les hébergements de dernière minute fournis par le collectif ne sont que des derniers recours. “Il ne s’agit pas d’un véritable logement, mais d’un endroit très sommaire qui mène à des situations d’insalubrité, et du strict minimum.” Mais Jamais Sans Toit se concentre à aider les familles nombreuses comme la volonté du collectif est de protéger les enfants. C’est de cette initiative qu’est né Jamais Sans Toit pour faire changer la donne de ces familles dans le besoin, en attendant une meilleure efficacité des pouvoirs publics.
N.S.
Ils ont raisons réquisitions de toutes les écoles delà raie publique pour les sans abris . L’école à là maison fera faire des économies de plusieurs milliards à l’état .
Signaler Répondresi vous violez aure chose que la loi!!
Signaler Répondrevioler une loi (en occupant un bâtiment) pour demander à l’Etat de respecter une autre loi ..... cela me laisse perplexe.
Signaler RépondreHélas oui je doute à vrai dire. Quand je vois les intentions de votes de Zemmour, Le Pen , les résultats à la primaire de Cioti ou les chroniqueurs ou animateurs télé comme Pascal Praud , Ivan Rioufol ou Eugénie Bastié qui ont pignon sur rue, j'ai envie de pleurer ou de vomir, tout dépend
Signaler RépondreÉvidement je ne parle même pas des commentaires des lecteurs de Lyon Mag qui dans leur grande majorité me dégoûtent.
Malgré cela j'espère encore un peu ...
..heuu.........grand timide!!vous ne faites "qu oser"?commenceriez vous donc à douter?
Signaler RépondreComment pouvez-vous prétendre cela?
Signaler RépondreVous êtes la majorité?
Moi j'ose espérer que vous vous vous trompez
En quoi c'est donner des leçons d'appeler à l'humanité, de respecter la loi? Vous vous sentez coupable pour ètre sur la défensive comme ça?
Signaler RépondreCombien en hebergez-vous chez vous ? Aucun je suppose... Donc "Vous n'avez pas honte" ??? Donneur de leçon.... mais seulement pour les autres, Solidarité... mais seulement aux frais et aux dépens des autres.. Vachement crédible ! En fait, vous avez le cœur des autres sur votre main 🙄
Signaler RépondreLes humains ne sont pas des bagnoles, merci de valider.
Signaler Répondreoui il faut respecter la loi et reconduite ses personnes dans leurs pays
Signaler Répondreen avant,enthousiastes ! sur la voie bienheureuse de la collectivisation vantee par mao tse toung..........
Signaler Répondre......."liliane ,prepare les valises" ,..........on fourgue les momes dans le privé!
Oui, et une fois que l'on aura complètement saturé toutes les possibilités d'accueil, que les finances seront exsangues et qu'il y aura encore du monde dehors, on fera quoi ?
Signaler RépondreLa notion d'appel d'air, les écolo' la comprennent bien quand il s'agit de bagnoles, en revanche, ils sont dans le déni quand il s'agit d'humains.
J’aimerais avoir plus d’informations. Qui sont ces familles nombreuses pourquoi sont-elles à la rue ? Pourquoi ne peuvent elles prétendre à un logement social ? Une information partielle c’est frustrant, j’ai pour principe de me méfier des dires des activistes et avant de m’offusquer ou pas avoir une vue d’ensemble d’une situation, s’il faut monter au créneau un minimum d’info non ?
Signaler RépondreBien sùr, laissez des gamins sans toit, quel progrès! Vous n'avez pas honte?
Signaler RépondreUniquement des droits, sans aucun devoir ! La majorité des français ne soutiennent pas les actions de ces associations.
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