Dans la nuit du 6 au 7 novembre dernier, une dispute avait éclaté dans la boîte de nuit du 8e arrondissement de Lyon entre trois protagonistes : un homme, sa compagne et son ex-petite amie.
Trois videurs de l'établissement avaient tenté de s'interposer. Mais l'individu âgé de 28 ans s'était montré particulièrement violent et déterminé à faire mal aux agents de sécurité qui se mêlaient de l'histoire.
Selon le Progrès, il était revenu à plusieurs reprises armé d'une chaîne, d'un cric, d'une barre de fer... Et même accompagné d'un complice. Durant près d'une heure, scindée en plusieurs épisodes, les videurs avaient essuyé des coups et n'arrivaient pas à calmer le jeune homme.
Devant la justice, le suspect et son complice n'avaient pas beaucoup d'arguments pour se défendre. D'autant que la vidéosurveillance du NH Club retraçait leurs "exploits".
L'homme de 23 ans qui avait aidé son ami n'a écopé que de 10 mois de prison avec sursis car il n'avait pas exercé de violences. Par contre, le principal intéressé au casier déjà bien rempli va retrouver la prison. Il a été condamné à 2 ans dont 6 mois avec sursis, assortis d'un mandat de dépôt.
seulement quand y zont des moumoutes!
Signaler Répondrey a les juges aussi
Signaler Répondrefaites comme mon coiffeur qui dit souvent que "les faux -tifs ne sont pas toujours coupables"!
Signaler Répondreles commentaires toujours plus fachos chez lyon mag: appel au meurtre, à l'esclavage, et hors sujet complet en prime.
Signaler RépondrePendant qu' Agnes Buzin , mise en examen pour « mise en danger de la vie d’autrui » par Cour de justice de la République, reçoit sa légion d'honneur, ce pauvre type, qui s'est fait insulter par 3 videurs est condamné à 2ans de prison, deux poids ,deux mesures , pathétique!
Signaler RépondreHeureusement qu' il était sans papier, en situation irrégulière et demande d'asile sinon la sentence aurait été encore plus dure.
Qu'il fasse ses gestes criminels en Chine,Corée du nord,Russie,et il verra la sentence :PEINE DE MORT !
Signaler RépondreLa France devrait incorporer cette peine du Sud des États-Unis, obligeant ces sangs chauds de bosser sur les chantiers en canicule ou en plein hiver.
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