La nuit du 4 novembre 2017 avait été marquée par une sordide affaire. Ce jour-là, LyonMag avait révélé que deux jeunes femmes avaient été violées dans une chicha du quai Arloing, le "Time Up", dans le 9e arrondissement de Lyon.
Deux jeunes femmes âgées d’une vingtaine d’années avaient été violées plusieurs fois sous la menace d’une paire de ciseaux dans ce bar associatif. Elles avaient également assuré aux policiers avoir été obligées de consommer de la cocaïne. Les deux victimes avaient indiqué avoir été retenues dans l’établissement durant plus de dix heures, malgré qu’un appel soit passé au 17 vers 6h45 du matin, mais elles n’avaient pas réussi à donner assez de précisions sur l’emplacement de la chicha.
Des SMS avaient aussi été envoyés à un ami des victimes pour lui demander d’alerter la police. Mais le destinataire des messages, qui avait passé un bout de la soirée avec les deux jeunes femmes, ne s’était réveillé que peu avant midi pour alerter les forces de l’ordre.
Les policiers avaient immédiatement foncé en direction du local. Arrivés sur place, les agents avaient interpellé un homme âgé de 46 ans, non sans mal. Sous l’emprise de stupéfiants et braguette ouverte, il avait été placé en garde à vue. Un autre suspect, âgé lui de 39 ans, avait aussi été arrêté par les enquêteurs.
Me Serge Pasta, avocat de ce dernier, affirme que son client n’a pas commis de viol, mais aurait laissé faire "ne trouvant pas le courage de réagir face à un individu sous cocaïne dont il craignait la réaction". Déjà condamné pour recel, vol et trafic de stupéfiants, l’accusé avait été libéré et placé sous contrôle judiciaire en attente du début des débats aux 24 colonnes.
Le procès devait se dérouler en septembre 2020, mais l’un des deux accusés avait été frappé par un malaise cardiaque après la première journée d’audiences. Cette fois encore, l’affaire sera jugée à huis-clos à la cour d’assises du Rhône, sur demande des deux jeunes femmes.
Le verdict est attendu vendredi.
J.D.
Extrait du verset 4.34 :
Signaler RépondreLes hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu’Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu’ils font de leurs biens. Les femmes vertueuses sont obéissantes, et protègent en secret ce qu’Allah a protégé.
Avis aux jurés, il n'a pas d'autre issue que l'acquittement pur et simple et on passe à autre chose. Point barre.
Stop à la stigmatisation. Pas damalgam. Respectez la culture des autres !
Signaler RépondreAffronter leur bourreau, pourquoi faire? On veut un châtiment exemplaire afin de décourager la récidive. Le reste, c'est du théâtre!
Signaler RépondreDans une chicha.
Signaler RépondreÉvidemment.
Quelle surprise !
Tout est dit.
Sans commentaire.
Depuis quand est il autorisé de fumer dans un bar ??? Lieux à fermer !!!
Signaler RépondreL’association des violeurs Lyonnais subventionnée avec nos impôts.
Signaler Répondrey a qu à attendre la prochaine promotion.......
Signaler Répondredéjà connu pour Recel Vol trafic de Stup et là c est Non assistance à personne en danger et Laissé Libre 🙄
Signaler Répondreeuhhhh sans commentaires ..
Le communautarisme fumeux !
Signaler RépondreEn ce moment, leur excuse est la pandémie..
Signaler RépondreChicha n'est-il pas le verlan de hachich !
Signaler RépondreIl est temps de taper du poing sur la table concernant ces bar associatifs et autres amicales sans parler biensûr des peines ultra laxistes. On subventionne ces fléaux qui ne font que pourrir notre société.
Signaler Répondre3 ans ........
Signaler RépondreSérieux, mais c'est quoi cette justice !!!!
Les impôts sont prélevés à la source, donc on paie nos impôts en quasi temps réel, mais ce même Etat n'est pas capable de démarrer un procès en moins de 3 ans !!!!
Bien d'accord avec vous..
Signaler RépondreEspérons que les violeurs, agresseurs, et autres assassins sont bien vaccinés, selon Macron les seuls à emmerder et à considérer comme non citoyens, ils ne risquent pas grand chose et auront toute la considération de Macron et des juges au regard de leur statut d’opprimés
Signaler RépondreQuel est le statut des bars à chichas,. Il cache leur activité derrière une association. Comme le bar associatif, rue Racine à Villeurbanne. Il n'y a que des hommes et ce bar est interdit aux femmes. Il est étonnant de constater que cet établissement n'est jamais contrôlé.
Signaler RépondreViols dans un Bar à chicha associatif culturelle
Signaler RépondreMeurtres à la x rousse
Sale temps pour la jeune garde immigrationiste anti France
Encore une fois la vérité exalte : c'est pas lestreme droate
Association de fumeurs de beuh !
Signaler RépondreSurement l’association VIVRE ENSEMBLE
Signaler RépondreQuel est le statut exact de ces établissements ? Combien y en a-t-il sur le territoire ? Que se passe-t-il réellement à l'intérieur ? Reste-t-il un journaliste en France ?
Signaler RépondreChicha et bar associatif ?
Signaler RépondreQuelle association ?...