Dans un communiqué discrètement publié la semaine dernière, les diocèses de Lyon, Grenoble-Vienne et Saint-Etienne ont révélé de nouveaux faits choquants au sein de la communauté catholique : "Plusieurs personnes se sont adressées pour révéler qu’elles ou leurs proches avaient été agressés sexuellement par le père Louis Ribes, décédé en 1994. Nous avons acquis la certitude, en octobre dernier, de la véracité des faits" écrivent les trois circonscriptions ecclésiastiques. Les agressions sexuelles présumées, voire les viols, se seraient déroulés entre les années 1970 et 80. Ils sont aujourd’hui prescrits.
Annick, âgé de 9 ans à l’époque des faits, raconte ainsi à nos confrères de France Bleu des moments seuls avec le père Louis Ribes alors qu’il était prêtre sur la commune de Pomeys, un village du Rhône à la frontière avec la Loire : "Il nous faisait poser nus, pour servir de modèles, pour faire des croquis. Une fois le dessin terminé, c'était des attouchements".
Les responsables des diocèses expriment aux personnes victimes du père Ribes "leur profonde compassion, leur honte qu’un prêtre ait pu commettre de tels actes. Par respect pour les victimes, les œuvres du père Ribes qui appartiennent au diocèse de Lyon, Grenoble-Vienne et Saint-Etienne, seront progressivement déposées et remisées". Dans l’agglomération, des toiles de Louis Ribes restent encore visibles, par exemple à Caluire-et-Cuire dans l’église Saint-Côme-et-Saint-Damien, à Lyon et Charly avec des vitraux de l’église Sainte-Catherine ou Saint-Antoine, ou encore aux Sauvages au sein de l’église Notre-Dame-de-la-Roche.
Dans le communiqué publié par les diocèses, le personnel de l’église "invite les personnes victimes à se faire connaître auprès des cellules d’écoute mises en place par les diocèses" pour "être reçues, si elles le désirent".
Pour rappel, le diocèse de Lyon avait déjà été secoué par le scandale de l’affaire Preynat. Bernard Preynat avait été condamné en mars dernier à cinq ans de prison ferme pour agressions sexuelles sur mineurs. Il avait décidé de faire appel, avant finalement de renoncer. Le cardinal Philippe Barbarin avait lui été condamné en première instance à six mois de prison avec sursis en mars 2019, avant d'être relaxé en appel. Les victimes du prêtre pédophile Bernard Preynat reprochaient à l'ancien patron du diocèse lyonnais d'avoir été au courant de ses agissements et de ne pas avoir prévenu les autorités.
Suis partisan des artistes du coin..... quand est-ce que Orlan fera de l'art catholique ?
Signaler RépondreVos fautes de français constituent une agression à mes yeux et à mes sensibilités.
Signaler RépondrePeut-on jugé une œuvre par les crime de son créateur ?
Signaler RépondrePeut-on jugé un enfant par les crime de sont père ?
Vous avez 4 heurs !
Comme disait Coluche
Signaler RépondreSi vous ne voulez plus de pédophiles supprimez les curés.🤭
Tartuffe c'est légal vu qu'un élu l'a utilisé à l'assemblé.
Signaler RépondreMdr quelle époque de m****
Tout le monde a peur de la justice, du coup seul les riches et ceux qui dépendent d'organisations pouvant se payer de bons avocats osent dire les choses.
Les américains, avec tous leurs défauts, ont le 1er amendement garantissant la liberté d'expression
Voici le côté Pigalle de l'église, mâtiné du laissez-aller éthique thaïlandais et philippin....
Signaler RépondreMalades de l’église et église de malades … Là c’est affreux …
Signaler Répondrepréjudice ?
Signaler RépondreComparer ce père pervers avec Picasso porte préjugé au grand peintre espagnol.
Signaler RépondreBarbarin Santo subito!
Signaler RépondreEn bon latin cela s'appelle coitus interruptus.
Signaler RépondreAvec l'interdiction d'images pour ne pas offenser l'être suprême, d'autres religions be sont pas atteintes par ce genre de vice. Allez à Rome : festival pornographique de corps dénudés dans l'art là bas.
Signaler RépondreEncore un?? décidément c'est de l'élevage intensif !!!
Signaler RépondreOui
Signaler Répondreil faut toujours se retirer avant que ce soit trop tard