Les diocèses de Lyon, Grenoble-Vienne et Saint-Etienne ont révélé en fin de semaine dernière des faits d’agressions sexuelles présumées commis entre les années 1970 et 80 par le père Louis Ribes décédé en 1994. Des faits aujourd’hui prescrits mais qui font réagir depuis leur révélation.
Dernière réaction en date : celle de l’archevêque de Lyon qui tenait ce mercredi matin une conférence de presse sur cette affaire qui secoue à nouveau l’Eglise après celle du père Preynat. Olivier de Germay s’est dit "profondément bouleversé par la souffrance des victimes" qui seraient "probablement très nombreuses". "Même lorsqu’il s’agit de cas anciens, dont on peut se dire personnellement innocent, nous souhaitons assumer le fait que l’Eglise n’a pas su se démarquer de la culture de l’époque, qui était une culture du silence ou du déni, et où on cherchait avant tout à protéger l’institution. En tant que membres de l’Eglise, nous nous sentons concernés par ce qui s’est passé, et souhaitons porter le poids de la faute de quelques-uns", a-t-il poursuivi.
Comme évoqué dans leur communiqué de presse commun de la semaine dernière, le primat des Gaules encourage les victimes à se faire connaître des différents diocèses concernés. Des réunions publiques, comme celle qui s'est déroulée mardi soir à Grammond dans la Loire, devraient également être organisées dans le Rhône et en Isère.
L'Eglise prévoit enfin de monter un fonds d'indemnisation des victimes, mais entend d'abord recenser un maximum de personnes qui auraient subi les agressions sexuelles voire les viols du père Ribes.
Les oeuvres du prêtre artiste-peintre, des tableaux et des vitraux, seront progressivement retirées des églises de la région où elles trônent depuis des années. "Certaines personnes victimes nous ont dit que l’exposition publique de ces oeuvres était pour elles insupportable. C’est pourquoi nous avons décidé, avec les trois diocèses concernés (Grenoble, Saint-Etienne et Lyon) de retirer des églises les oeuvres qui nous appartiennent. La dépose a déjà commencé, en particulier dans le village de Pomeys, où le Père Ribes passait ses vacances. Lorsqu’il s’agit de vitraux d’églises appartenant aux municipalités, il revient aux maires de prendre une décision. Nous sommes en train de les contacter pour les en informer", a précisé Olivier de Germay.
La paille dans le nez, quel est le rapport avec Zemmour, c'est une obsession chez vous,
Signaler RépondreCes cas là sont dans tous les milieux malheureusement, si vous saviez ce qui se passe dans les camps djiadistes vous seriez très surpris.
Comme dans beaucoup de cas ce affaires là étaient tues qu'il s'agisse de Notables, de personnes ayant un certain statut social,
Signaler RépondreCes prêtres ont trahis leur fonction, terrible pour ces jeunes enfants, il est bien pour eux
Que la vérité éclate enfin.
" les secrets sécrètent..." étonnant que ces crimes n'aient pas été connus avant ?
Signaler RépondrePas spécialement connus publiquement mais évoqués ou clairement ou à demi-mots dans le milieu catho où il les a commis...
non aux cadences infernales!!
Signaler Répondredes p tits trous ,des p tits trous ,encore des p tits trous............
Signaler RépondreC'est pas normal de retiré ses œuvres. Si c'est un pédophile faut le punir mais si ses tableaux sont jolies c'est pas pareil c'est de l'art et sa n'a rien à voir. En plus il est pas encore jugé et ça va coûté de l'argent surtout pour les vitrails. Faut le punir lui mais pas ses tableaux. J. M
Signaler RépondreRelisez et voyez que c'est au second degré !
Signaler RépondreL'emballement médiatique ou individuel actuel montre une nouvelle fois ses limites.
Sachons raison garder.
Olivier de Germay s’est dit "profondément bouleversé par la souffrance des victimes"....
Signaler RépondreC'est t'y pas mignon, il pense vraiment qu'avec les casseroles que son institution trimbale, on va le croire??
Carrément 🤣
Signaler RépondreMême au paléolithique.
il est mort en 1994 et Barbarin est arrivé en 2002….
Signaler RépondreRéfléchissez lautre Marc avant d’écrire n’importe quoi et de passer, vous, pour une quiche….
Si on commence à déterrer on n'a pas fini
Signaler RépondreIl va falloir remonter à Marie Madeleine, Mahomet et tous leurs copinous
Ça fait des dizaines d'années qu'on sait que l'église abuse d'enfants, il ne se passe rien.
Signaler RépondreRien a changé depuis le moyen âge, l'église et la noblesse font ce qu'ils veulent et vivent sur le dos du tiers état
une fois de plus Barbarin l’a laisse en poste ! quel salaud !!!
Signaler RépondreAh non … cette fois personne ne pourra etre tenter de l’ecrire … sauf à passer pour une quiche 😂
Encore un coup des islamistes, ça. Pas vrai Zemmour?
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