On apprend ainsi que 48 témoignages de victimes ont été recueillis, dont 19 à Lyon. Un collectif de victimes de l'ancien prêtre, décédé en 1994, a également été créé et organise des rencontres pour libérer la parole.
Les diocèses précisent également que toutes les œuvres de Louis Ribes ont été déposées. "Une seule, monumentale, n'ayant pu encore être déposée, est provisoirement recouverte", est-il précisé. Ces œuvres sont désormais stockées dans des locaux diocésains non accessibles au public, et "clairement identifiées comme étant l’oeuvre d’une personne pédo-criminelle, et ne devant pas être exposées, par respect pour ceux qui ont été agressés".
En ce qui concerne les vitraux dans les églises du diocèse de Lyon, des courriers ont été adressés aux huit maires concernés pour leur exposer la situation. Les communes étant propriétaires des églises, c’est à elles que revient de prendre une décision.
Dans le même temps, un livre sur une trentaine de prêtres artistes, dont Louis Ribes, édité en septembre 2020, a été retiré de la vente.
Quant aux photos et croquis d'enfants réalisés par le prêtre pédophile, "ils ont été trouvés à sa mort, en 1994, dans son appartement au séminaire des aînés de Vienne-Estressin puis brûlés par un prêtre et une personne laïque, comme cela a été signalé à la justice. Par ailleurs, il peut exister des photos, peintures et croquis qui relèvent de la responsabilité de leurs propriétaires privés", précise aussi le Diocèse.
En ce qui concerne les demandes de reconnaissance et de réparation, les Diocèses de Lyon, Grenoble et St Etienne redisent "leur désir d'accompagner les victimes dans leurs démarches". Les évêques de France ont mandaté et financé une Instance nationale indépendante de reconnaissance et de réparation (INIRR) qui sera opérationnelle dès la fin du mois.
Il va falloir désormais prendre ce type d'information avec de très longues pincettes, car les chiffres sont totalement remis en cause.
Signaler Répondrehttps://www.lefigaro.fr/actualite-france/abus-sexuels-dans-l-eglise-le-chiffre-de-330-000-victimes-du-rapport-sauve-questionne-par-des-experts-20220210
Dans les années 90 Jean Paul accusait l'URSS d'être responsable des affaires de pédophilie, on commence aujourd'hui à mesurer l'ampleur de ces erreurs.
Signaler RépondreQui a écrit ce livre ? Comment est ce possible ? Effrayant…
Signaler RépondreIl faut interdire toute cette pédophilie.
Signaler RépondreIl ne faut surtout pas que les diocèses accompagnent les victimes. Quelle horreur ces religieux qui n'apportent rien de bien au monde, il y a en a très peu mais certainement dans ce es diocèses qui laissent faire des atrocités.
Signaler RépondreBeur beurk 🤮🤢
Le sang du Christ
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