L’appel à soutien a été lancé.
Ce vendredi, devant le tribunal judiciaire de Lyon, une mobilisation sera organisée en marge d'une audience concernant la possible évacuation du squat de la rue de Bourgogne dans le 9e arrondissement.
La Métropole de Lyon, qui est propriétaire du bâtiment au niveau du numéro 35, avait demandé en janvier dernier à pouvoir le récupérer. D'où la colère de plusieurs acteurs associatifs qui réclament a contrario un logement et des papiers pour ses occupants.
Dans un communiqué, les organisateurs de la manifestation dénoncent ainsi la "pseudo "gauche écolo" au pouvoir qui montrerait "son hypocrisie et son mépris des personnes précaires et demandeuses d’asile".
Pour rappel, ce bâtiment avait été réquisitionné à l’automne dernier par des personnes sans-abri suite à "l’expulsion surprise et sans relogement du squat de Feyzin", qui était situé en face de la raffinerie de Total.
Les anciens squatteurs de Feyzin ont erré de lieux en lieux avant de se stabiliser rue de Bourgogne en octobre dernier. Ils ont d’abord été expulsés du gymnase Clémenceau dans le 7e arrondissement de Lyon, puis d’un immeuble vide rue Dedieu à Villeurbanne avant d’être de nouveau expulsés d’un immeuble vide rue Spreafico, toujours à Villeurbanne.
Ces deux derniers bâtiments appartenaient à la Métropole de Lyon dirigée par les écologistes et qui a systématiquement demandé leur expulsion.
Honteux de proposer plus qu’à ceux qui bossent et se privent qu’ils accueillent à leur domicile😱
Signaler RépondreL'arroseur arrosé !
Signaler RépondreÇa c'est bien vrai , car ayant vécu au Brésil : allez essayer de squatter des maisons ou autre : pas besoin d'appeler la Police Militaire !
Signaler RépondreLes gens , se font respecter !
Et vous le font savoir en live , avec des instruments à balles réelles.
C'est très violent , mais ça se passe tel quel .
En France, c'est open bar .
Les pays ne sont pas les mêmes.....
Rhoooonos étudiants, nos vieux nos travailleurs pauvres, les vaches à lait qui ne peuvent faire de l’optimisation fiscale sont heureux d’arroser tt le monde et de se priver ! Sur la base d’un coût moyen annuel de 50000 euros par personne chiffre 2016 (page 39) on n’arrive plus à suivre et on aimerait profiter un tout petit peu de notre argent au lieu de se serrer la ceinture.
Signaler Répondrehttp://www.senat.fr/rap/r16-598/r16-5981.pdf#page=23
Vivement la secession
Signaler RépondreCarrément...
Signaler RépondreTrop facile la spoliation sur fond d'humanisme
Surtout quand c'est chez les autres
La légalisation des squats quel génie de nos élus
Il faudrait aussi leur donner 1500€ pour les frais du quotidien.,. Pfff...
On a le pays qu’on merite, c'est pas tout de pleurnicher
Signaler RépondreD'accord avec vous.
Signaler RépondreEt c'est ainsi que les électeurs de gauche devinrent des électeurs de droite hihihi
Signaler RépondreFaut virer tous ces délinquants qui s'installent comme si les lieux leur appartenaient .... Je sais très bien qui peut 'hanter' ces lieux ...
Signaler Répondreque chaque manifestant heberge gratuitement un squatter
Signaler RépondreLes gauchistes sont vraiment des collabos
Signaler RépondreDes mineurs isolés...mon œil !! Venez également voir ceux qui squattent l'immeuble place Chardonnet, ils sont loin d'être mineurs ! Ils n'ont rien à faire en France. À expulser !
Signaler RépondreDes papiers et un logement pour ces "mineurs isolés" dont les actes pas du tout isolés montrent combien ils enrichissent culturellement notre ville !
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