Conseiller municipal de la commune de Luzinay en Isère mais à la frontière avec le Rhône, il est accusé par trois femmes d’avoir eu des gestes et des comportements déplacés à plusieurs reprises.
Après un an d’enquête, le parquet a décidé de retenir le chef d’inculpation d’agressions sexuelles "par personne abusant de l’autorité que lui confère sa fonction". Le suspect était effectivement 1er adjoint au maire durant les faits présumés qui se seraient produits sur les lieux de travail et aux domiciles des victimes.
L’affaire avait éclaté en pleine campagne des élections municipales 2020, à quelques jours du premier tour du scrutin. Le maire sortant, Christophe Charles, n’avait eu d’autre choix que de conserver André Chapat sur sa liste déposée et validée en préfecture. Mais il ne l'a ensuite pas reconduit dans ses fonctions d'adjoint.
Le futur prévenu âgé de 73 ans, exploitant agricole, nie catégoriquement les faits et estime être victime de rumeurs de personnes jalouses de son pouvoir et de sa réussite dans le village isérois. Une version qu'il a déjà expliqué aux gendarmes et qu'il pourrait redonner au tribunal viennois dans deux mois.
"aux domiciles"? Il a forcé leurs portes ?
Signaler RépondreSacré Dédé !!!
Signaler RépondreAh aucun commentaire ?
Signaler RépondreAh oui c'est vrai tout l'monde s'en fout des conditions de vie des femmes dans notre pays . Un femme tué tous les 3 jours souvent par son conjoint.
Salaire plus bas pour le même travail...
Ah si! Plus important ! J'avais oublié....
On doit avant leur enlever leurs voiles pour que tout cela s'arrange.