Côté sanitaire, les masques tombent et la jauge à 75% disparaît, seul le pass vaccinal reste obligatoire pour entrer dans ces établissements. Bien que voté à l’Assemblée nationale, le pass 2G+ (pass vaccinal + un test négatif datant de moins de 24h, ndlr) n’entrera pas en vigueur, en raison d’une négociation par les gérants du monde de la nuit auprès du gouvernement. “C’est une bonne nouvelle,” confirme Thierry Fontaine, président du Rhône de l’Union des métiers et des industries de l'hôtellerie et dirigeant du Loft Club dans le 7e arrondissement de Lyon.
Côté organisateurs, l’attente a été longue. Même si par rapport aux seize premiers mois de fermeture, ces dix semaines sont bien plus dérisoires, “cette deuxième fermeture a été plus dure psychologiquement, explique Thierry Fontaine. On a vu que la fête se passait partout sauf en discothèque,” regrette le dirigeant du Loft Club pointant du doigt l’explosion des soirées privées sans la moindre mesure sanitaire.
Le gérant de la discothèque rapporte à LyonMag un autre argument : la fermeture ciblée de ce type d’établissements. Alors qu’à la fermeture de seize mois, les bars, les restaurants et les cinémas étaient dans le même sac que les boîtes de nuit, cela n’a pas été le cas face à l’émergence du variant Omicron. “Ce n’était pas une fermeture sanitaire, c’était une fermeture politique avec un message : vaccinez-vous sinon on continue à fermer,” reproche Thierry Fontaine.
L’impact sur le personnel aurait également pu être amoindri d’après lui : “On était dans l’inconnu, on ne savait pas quand on allait pouvoir rouvrir. Donc les collaborateurs sont partis plus rapidement que la première fois. Ils avaient besoin de travailler donc ils se sont réorientés. Si on avait eu une date précise de réouverture dès le départ, on aurait perdu moins d’effectifs.”
Thierry Fontaine reste toutefois confiant quant à la réouverture : “Je pense que ça va être comme la première fois, on va avoir un retour massif, comme ça aura manqué aux jeunes. Je ne suis pas du tout inquiet pour le retour de nos activités. Il y aura du monde, ça fonctionnera, c’est certain.”
N.S.
Certains établissements de la nuit ont déjà recommencé pour le Saint Valentin....
Signaler RépondreTout est permis n'est-ce pas.
Ne vois inquiétez lorsque vous renaitrez ce sera certainement dans un bon pays dictature avec l'ordre et loi ah vous serez servi et je vous souhaite que ce soit exaucé votre désir d'ordre et de loi.
Signaler RépondreVous serez en très bonne santé.
Vous allez adorer de ne pas pouvoir bouger un cil sous peine de lapidation à coup d'épines en acier.
🙂🙂🙂
Gros gros bisous
Les discothèques c'est révolu !
Signaler RépondreLes jeunes préfèrent les pubs ou les teufs à domicile.
C'est devenu ringard les discothèques et trop chers pour ce que c'est.
Tant mieux !! Très bien les discothèques...
Signaler RépondreMais bon il y aura du monde Vendredi soir et Samedi soir, pas pour celles qui ouvrent qui ouvrent un jour de semaine...
Je confirme, les discothèques étaient en perte de vitesse bien avant le COVID.
Signaler RépondreAujourd'hui, cela est plus " in" de faire des fêtes privés. Les discothèques c'est "ringard".
Le souci est principalement le manque de sécurité dans les discothèques. C'est embrouille sur embrouille
Pas si sur : les jeunes ont pris l'habitude de faire la fête à domicile, et les autres n'ont ni le cœur ni le portefeuille à la nouba...
Signaler RépondreBagarre et violence gratuite en vue...
Signaler RépondreC est kiki qui va être content
Signaler RépondreCondamnable. Les taux de violence, contamination par le sida, et l'ivrognerie vont tous s'exploser.
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