Pour Christophe Bouvier, "laisser réaliser un tel projet sans production d'études d'impact sur la qualité de l'air, au moment même où un nouveau PPA ambitieux est lancé, décrédibilisera totalement ce plan et tuera dans l'œuf les objectifs fixés en matière de réduction de la circulation et de la pollution".
Dans un communiqué, l'élu de gauche dénonce "l'incompatibilité des objectifs de réduction de la circulation routière et des pollutions émanant des transports avec le projet d'élargissement de l'A46 Sud". La Ville de Chasse-sur-Rhône demande donc "que soit rajouté dans le PPA la production systématique d'une étude d'impact sur la qualité de l'air de tout projet routier ou autoroutier avant leur réalisation".
Cet avis a été adopté à l'unanimité lors du conseil municipal de la commune nord-iséroise qui dépend de l'unité urbaine de Lyon. Il sera adressé au préfet, Pascal Mailhos, dans les prochains jours.
La méthode mao tous aux champs est en route.
Signaler RépondreCircuit court
On produit
On mange .
Plus d intellectuel qui ...
M'enfin, chère Eva Jolio, l'homme n'avait pas encore inventé les 90 degrés, il y a 1,5 million d'années.
Signaler RépondreVous parlez de traces de feu comme phénomènes naturels : Votre grand père de cette époque, ou le mien, s'est tout au plus contenté de récupérer un bout de bois enflammé naturellement, mais par un hominidé.
Il faut massivement monter les taxes sur TOUTES les énergies fossiles!
Signaler RépondreSeul Le doublement du prix de l'essence à la pompe obligera tous pollueurs à revoir leur comportement écocide.
L'autoroute n'est plus compatible avec le cycle naturel de la vie!
Les plus anciennes traces de feu comme phénomène naturel remontent à plus d’1,5 millions d’années. Elles ont été découvertes en Afrique, en Éthiopie et au Kenya.
En frottant deux silex ensemble ? Non, la vraie technique derrière le cliché consistait à frotter un silex contre un minerai de fer ou bien à poser un morceau de bois sur un autre, à 90 degrés, et à le tourner jusqu’à ce que le feu prenne.
IL nous faut donc retourner vers des choses plus naturelles et seule la décroissance pourra sauver la planète!
Le monsieur ou la madame dit, à juste titre, que les distances entre le lieu de résidence et le lieu de travail ou de consommation augmente. Raison pour laquelle, beaucoup de personnes utilisent un véhicule pour se déplacer.
Signaler RépondreLà où il était possible il y a encore quelques temps de vivre + travailler + se nourrir + divertir sur un espace raisonnable pour le faire à pieds / vélo / charrette, ne l'est plus forcément de nos jours.
Je rajouterai qu'il y a certainement un lien avec la surpopulation des villes.
?
Signaler RépondreQuand vous êtes pauvre, comme tous les ouvriers et employés désormais, vous ne pouvez faire autrement que d'habiter loin. Vous avez en tête les prix de l'immobilier à Lyon ou pas ? Ou bien êtes-vous cynique ?
Donc il faut se déplacer, et plus il y a de vois mieux ça roule, moindre est la pollution.
Il va falloir que l'époque des responsables qui emmerdent les Français délibérément cesse. Et donc celle des faux verts au premier chef.
Vous ne comprenez pas la nature humaine. Regardez l'obésité qui augmente, si vous voulez une analogie.
Signaler RépondreC'est parce qu'il y a des voitures qu'il faut des routes.
Signaler RépondreEt il faut des voitures puisqu'en France on s'ingénie à éloigner lieux de travail, résidences et commerces-services.
Autre chose ?
Ca va se solutionner tout seul, quand le prix du baril dépassera les 150$.
Signaler RépondreDe toute façon, le fonctionnement de la société est basée sur la croissance économique, et quelques camions posés sur des trains ne feront guère illusion...
Signaler RépondreC'est insoluble...
C'est vrai que le centre de Bron est très mignon avec son tram et ses deux voies de circulation, mais la circulation s'est dispersée dans tout Bron...
Signaler RépondreIl faut bien protéger les quelques centaines d'emplois générés localement par le carburant.
Signaler RépondreC'est curieux, à chaque fois que ce sujet revient (et c'est souvent) on n'aborde pas le vrai et le seul problème
Signaler RépondreIl ne sert à rien d'élargir les autoroutes, ni de les multiplier, puisqu'on finit dans tous les cas dans des villes déjà sursaturées
Il y a d'autres solutions dont la plus simple consiste à réorienter le budget de l'infrastructure routière sur le ferroviaire
Autrement dit, ce n'est pas l'autoroute qu'il faut doubler, mais la voie ferrée et ceci sur tout l'arc alpin élargi : de Clermont à Genève en passant par Lyon Grenoble Chambéry
On sait ça depuis au moins 50 ans mais on continue encore et toujours à élargir les autoroutes tout en fermant les villes
Pourquoi ? Lobby, politique à court terme, Shadoks sous le bitume ?
Sais pas
Et vous avez un souci avec le factuel : plus y'a de route, plus y'a de voitures. Ce n'est pas une opinion, c'est un fait, observé historiquement.
Signaler RépondreC'est l'évidence mais certains faux verts ont un problème de compréhension.
Signaler RépondreExactement, les axes sont saturés, alors essayer de fluidifier le trafic en augmentant le nombre de voies pourrait nuire à notre confort paisible de privilégiés. Que faire ? Interdire de venir s'installer en région lyonnaise, et ainsi éviter aux nouveaux d'essayer de se déplacer (le vélo n'est pas possible pour tout le monde, ne serait ce que les familles qui déposent les enfants à l'école et/ou crèche) ? Peut être tenter de proposer des offres de transports en commun en cohérence avec la demande (fréquence, maillage, sécurité, et tout ça quoi) ... ah non en fait on en a rien à foutre des "gueux" de l'est lyonnais.
Signaler RépondreOn va certainement encore proposer le grand contournement Est Lyonnais, en passant par l'Ain et l'Isère... que personne ne prendra (coût péage, augmentation kilomètres, ...) et ne changera en rien les déplacements des travailleurs qui doivent se rendre au boulot. Encore une fois le vélo ne fonctionne pas lorsque le trajet en question est (au hasard) Décines => Corbas, là on ne parle pas de faire les 500m qui séparent les Terreaux de la Confluence !
Mais bon, c'est les autres de l'Est Lyonnais on s'en fout.
(précisions : je ne suis pas et ne travaille pas dans l'Est Lyonnais, c'est un simple constat)
On ne roule pas plus parce qu'il y a plus de route, mais on va naturellement vers les axes les plus rapides. On oublie que la congestion des grands axes entraine une augmentation du trafic vers les axes secondaires qui ne sont pas prévus pour ça. A l’inverse lorsque l'on créé une nouvelle voie rapide, les voies secondaires alentours se vident.
Signaler RépondreArrêtons de tergiverser, construisons le contournement ouest de Lyon, tant pis pour quelques vignes et bourgeois...
Signaler RépondreIls auront l'autoroute devant eux pour exporter leur vin, et pour les autres l'entrée directe à l'autoroute pour aller à St Trop en Ferrari ;-)
Ne vous inquiètez pas! Nous avons prévu de planter des framboisiers et des laitues bio, ainsi que l'installation de composteurs sur l'autoroute, pour apaiser la circulation.
Signaler RépondreL'Histoire le prouve : plus on élargit l'offre routière, plus ça roule. Le coup du "C'est pour fluidifier!", on nous l'a déjà fait, merci bien mais non merci.
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