"Des milliers de places de crèches fermées dans toute la France, des horaires d’accueil des enfants fortement réduites, des professionnels à bout de souffle pour pallier les postes vacants constatés dans presque toutes les structures du pays, des familles mises en grande difficulté vis-à-vis de leurs activités professionnelles car laissées sans solution. L’extrême tension constatée sur le recrutement dans nos crèches ne disparaîtra malheureusement pas à l’issue de la crise sanitaire en cours. Cette pénurie de personnels est devenue structurelle, s’amplifiant depuis plusieurs années.", commence par affirmer Steven Vasselin avant de mettre en avant "la raréfaction des candidats aux postes proposés" dans le secteur de la petite enfance.
L’adjoint chargé de la petite enfance à la Ville de Lyon en appelle notamment à "un véritable "Duquesne de la Petite Enfance" qui doit être organisé avec une ambition et des moyens au moins comparables à ceux qui ont été posés récemment pour la filière Santé".
"La Petite Enfance est restée trop longtemps le parent pauvre des politiques publiques alors même qu’elle est la filière qui apporte le plus de retour sur investissement pour notre société", ajoute l’élu qui lance un appel aux régions de France pour obtenir plus de quotas de formation aux métiers de la petite enfance. "La réalité aujourd’hui est que notre pays manque cruellement de professionnels diplômés : éducateurs de jeunes enfants, auxiliaires de puériculture, agents de crèches… Pourtant les écoles de formation laissent à leurs portes des milliers de candidats faute de places disponibles. Des milliers de jeunes qui trouveraient un emploi, des milliers de postes non pourvus dans nos crèches partout en France !".
Cette tribune est signée par une dizaine d’élus d’autres villes françaises, à l’exemple de Cristina Martineau, adjointe au maire de Villeurbanne, chargée de la petite enfance, des familles et des personnes âgées.
La courbe démographique fait qu'il va y avoir moins de places à garder en petite enfance qu'en grande vieillesse, aujourd'hui il manque du perso pour garder les gosses, dans 10 ans il y'en aura trop.
Signaler RépondreTout à fait d’accord. Les salaires sont dérisoires. Les responsabilités sont énormes et si jamais il y a un problème, tout le monde te tombera dessus. Surtout les élus.
Signaler RépondreLe contraire d'un élu , c'est ça ?
Signaler RépondreUn salaire dérisoire pour des responsabilités monstrueuses. Aucun intérêt.
Signaler RépondreConstat Français :
Signaler RépondreApres la SPA et les EHPAD , le Français nombriliste souhaite maintenant se séparer de ses chiares .
Si je n ai plus envie de mon chien je le rends,
Si je n ai plus envie de mon conjoint , je m en sépare .
Si je ne peux plus supporter Mamie , je la mets a l Ehpad
Si mes enfants me gênent , je demande a la société la prise en charge
(Je ne supporte pas la cause ; 3 mn de plaisir et 20 ans d'emmerdement: ça c etait pour mes parents )
Si l ecole de mes enfants ne va pas : je la prends , je la jette ( avec au passage une petite claque à la maitresse)
Je suis la génération Nombril ou Kleenex : Je consomme et je jette