Peu avant 16h, un immeuble de deux étages s'est partiellement effondré au 178 route de Genas, faisant deux blessés légers alors que cinq appartements étaient occupés. Ces deux femmes avaient respiré des fumées denses, chargées en poussière. Elles avaient été transportées à l’hôpital pour des examens.
Rapidement, des dizaines de sapeurs-pompiers se sont rendus sur place. Jusqu’à 80 secouristes étaient présents au plus fort de l’intervention, notamment pour rechercher d’éventuelles victimes sous les décombres. Fort heureusement, aucun corps n’a été découvert dans l’amas de béton tombé au sol. Les soldats du feu sont repartis peu avant 20h dans leurs casernes, laissant la place aux experts techniques.
Ces derniers participeront à une réunion ce mercredi matin pour faire le point sur la situation avec les différents services. Un arrêté de péril pourrait être décidé par crainte de nouveaux effondrements dans le bâtiment déjà meurtri. Il s’agira aussi de commencer à chiffrer le montant des possibles réparations.
Enfin, une enquête a été ouverte pour tenter de déterminer les circonstances exactes de l’incident. La piste du chantier qui jouxtait l’immeuble reste privilégiée puisque des ouvriers travaillaient justement sur la façade qui est tombée au moment des faits.
au pif,ça coutera bien moins cher de tout foutre par terre ,de refiler le terrain au promoteur immobilier,avec contrainte pour lui de reloger gratos les sinistres dans les nouveaux logements construits au meme endroit pas ses soins,en les rendant proprietaires!(precium doloris)....en plus!si l on fait abstraction de l inconfort? (mais...passager:2 ou 3 ans) pour les sinistres ,ces derniers auront fait une "bonne affaire" ...........au final!!
Signaler RépondreLa "vaste opération immobilière", maintenant que le mal est fait, c'est peut être la meilleure façon de faire pour que les gens jetés à la rue retrouvent sans tarder de l'argent pour se reloger ?
Signaler RépondreTandis que le promoteur du chantier à côté refait ses plans en plus grands et amortit sa dépense supplémentaire.
Oui, c'est ça le béton de mâchefer. Economique, pas très solide mais moulable, mieux que du pisé, bien plus facile à utiliser que monter des murs en pierres taillées.
Signaler RépondreA noter qu'une construction en parpaings ou en brique thermique (comme on voir sur les maison à la norme RT2020) n'est guère plus solide... par contre les fondations en béton armé procurent une meilleure stabilité à l'ouvrage.
Revenons au sujet, on aimerait surtout des explications du chef de chantier de démolition de l'immeuble mitoyen...
https://www.cerema.fr/fr/actualites/renovation-du-bati-ancien-cerema-appuie-conseil-architecture
Signaler RépondreEn fait vous, vous servez à rien !
Signaler RépondrePour ceux que ça intéresse, la google car est passé devant le chantier juste avant l'incident. Sur google street view, il y a une photo daté de février 2022.
Signaler Répondrehttps://www.google.fr/maps/@45.753887,4.8935622,3a,75y,280.67h,94.58t/data=!3m6!1e1!3m4!1sijRmxDvyErme_eGEBjQl-g!2e0!7i16384!8i8192
Merci Mr l'ingénieur pour les informations 😟
Signaler RépondreEn fait c'est simple, le mur écroulé correspond précisément à la portion qui était en mitoyenneté avec un autre immeuble démoli récemment. Démolition qui a forcément fragilisé le mur et les fondations, il aurait fallu étayer de suite.
Signaler RépondreEt bim!
Par ailleurs il ne semble pas que ce soit du pisé, mais du béton de mâchefer comme on a fait à une époque dans la région. Béton non armé, pas très solide, et qui craint l'humidité.
L'avenir du site, on l'imagine bien: démolition du 178 et une vaste opération immobilière à la place de tout ça. On parie?
;-)
Il faut d'urgence détruire ce bâtiment dangereux et construire une mosquée car nous manquons de lieux de cultes à Lyon
Signaler RépondreOn ajoute des murs en pisé qui ne résistent pas à l'humidité sur une fuite d'eau et bam, tout s'écroule.
Signaler RépondreJe ne suis pas du tout un soutien d’EELV, mais là c’est ridicule… Vous discréditez votre cause.
Signaler RépondreEncore UN LAISSEZ ALLER de la part de Doucet et sa bande de malfrats communistes, qui ne fait rien pour notre ville!
Signaler RépondreIl faut réagir vite avant que tout s'effondre !
La route de Genas est le lieu des premières constructions villeurbannaises, en dehors de quelques demeures bourgeoises éparses. C'était des logements pour ouvriers et gens très modestes, comme on dit, donc la qualité n'était pas trop présente.
Signaler Répondreune chance inouïe qu’il n’y ait pas eu de morts.... dégâts impressionnants.... et le chien ne semble pas trop traumatisé vu qu’il a retrouvé son maître !!!
Signaler RépondreOn découvrira que les ouvriers n étaient pas qualifiés (peut être non déclaré, voire même sans papier)
Signaler RépondreOn mettra en avant le fait qu aucun contrôle n est jamais effectué
…. Et après? Ça changera quoi?
Personne ne sera condamné, personne ne sera juger responsable des mal-façons qui ont détruit ce bâtiment! Et ça recommencera plus loin, avec les mêmes!!!!
C est moi, ou c est souvent dans cette rue que les immeubles ont des problèmes?
On va voir si la mairie de Lyon se bougera pour des gens qui payent un loyer. A suivre !
Signaler Répondre"Chéri passe moi le sel"
Signaler Répondre"Je peux pas l'escalier s'est effondré et je ne peux pas aller récupérer le sel qui est parti en bas avec le salon".
Là c'est encore un procès qui va durer 10 ans... Je n'aimerai pas me retrouver dans cette situation, par contre j'attendrai vite une indemnisation conséquente pour me reloger à l'identique et des explications.
Cela aurait pu être dramatique, je ne comprends pas qu'il n'y ait pas eu plus de précautions de prises.
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