Dans un communiqué, l’Université Jean Moulin Lyon 3 dit "s’engager à accompagner directement ses étudiants, notamment les ukrainiens, russes ou biélorusses présents à Lyon, dont la vie quotidienne, notamment sur un plan matériel et financier, est rendue particulièrement difficile par les circonstances".
Un fonds d’aide d’urgence permettra ainsi de verser une allocation renouvelable pouvant aller jusqu’à 500 euros par mois aux étudiants concernés.
Ce dispositif est aussi ouvert aux réfugiés du conflit susceptibles d’être accueillis à l’université, "dès lors qu’ils bénéficieront d’une autorisation d’admission dans une formation et qu’ils auront engagé des démarches d’inscription à l’université Jean Moulin Lyon 3", est-il précisé.
L’Université Jean Moulin a également veillé à sécuriser la situation des étudiants de l’université séjournant dans les territoires impactés par le conflit en prenant en charge les frais liés à leur rapatriement. Une cellule de crise a été mise en place et prendra contact avec les étudiants concernés pour leur proposer, en plus de l’aide matérielle, un accompagnement psychologique et un suivi de leur situation.
"Au-delà de la solidarité avec le peuple ukrainien, ce contexte particulièrement difficile nous oblige et nous mobilise. Nous avons à l’égard des membres de notre communauté frappés par l’épreuve de la guerre – et indépendamment de leur nationalité - un devoir de solidarité et de fraternité", a réagi Eric Carpano, le Président de l’Université Jean Moulin Lyon 3.
Toujours à manipuler c'est science po
Signaler RépondreEn France si tu paies ou si tes parents paient ou si tes voisins paient, sache que tu n'as droit à rien
Signaler RépondreDemander à Blinken et à Biden ces deux qui ont "contribué" à ce desordre...
Signaler RépondreUne université qui bouge ? oui mais pour des étudiants ukrainiens, alors que durant cet hiver des étudiants se suicidaient par manque de nourriture, ici à LYON. Que comprendre ? Faut - il être étranger pour pouvoir obtenir de l'aide ?
Signaler RépondreAvec bientôt 3 millions de vrais réfugié.es de guerre, il va falloir faire de la place. Vu l'état dans lequel l'Ukraine va se trouver, nombre de ces femmes et enfants ne vont pas y retourner avant longtemps.. peut-être jamais. Quand aux hommes, pères, maris, frères, amis, amants.. ?
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