Ce soir-là, un cambriolage s’était déroulé à l’institut thérapeutique, éducatif et pédagogique de Givors (ITEP) pour un préjudice de 43 000 euros. Trois véhicules avaient été volés, l’un avait fini par être détruit par incendie volontaire. De nombreuses dégradations avaient aussi été relevées au sein de l'établissement d'éducation spécialisée pour les enfants qui souffrent de problèmes mentaux.
Quatre jours après, l'un des véhicules volés a été repéré par un équipage de policiers qui patrouillait sur la commune de Bron. Les individus à bord avaient pris la fuite mais le conducteur avait perdu la maitrise du véhicule, deux individus de 15 et 16 ans avaient été interpellés après une course-poursuite à pied achevée à Chassieu, dans le hall d'un hôtel. Auditionnés, les suspects originaires de Vaulx-en-Velin et Bron avaient nié leur participation au cambriolage de Givors ainsi que le refus d'obtempérer. Le conducteur avait pris la poudre d’escampette.
Mais les enquêteurs avaient d’autres cartes dans leurs manches. En effet, ils avaient fait un rapprochement avec un autre vol de véhicule survenu début juin, là-encore sur le parking de l’institut thérapeutique, éducatif et pédagogique de Givors. La voiture avait été revendue, après avoir été dérobée par troisième jeune âgé de 16 ans, originaire de Bron.
Ce mardi, après plusieurs mois d'investigations notamment de la police technique et scientifique, trois mineurs ont été placés en garde à vue. Il s’agit des deux interpellés le 23 juin à Bron lors de la course-poursuite, et celui arrêté début juin suite au premier vol.
Grâce à de nouvelles auditions, les policiers ont compris que l'un des mineurs qui était un ancien élève de l'ITEP. Il a reconnu sa participation, en expliquant qu’il avait profité de sa connaissance des lieux pour réaliser les cambriolages. Le trio est convoqué devant un juge pour enfants, en vue d'une déclaration de culpabilité.
En effet, après ça, ils vont rejoindre leurs petits camarades au pied des immeubles à admirer les rodéos, pendant que d'autres de leurs clones vont prendre leur place.
Signaler RépondreJe m'étais même étonné lors du "chahut" d'apprendre que des "éducateurs" étaient parmi eux, particulièrement discrets..
L'argent public gaspillé dans ces structures me donne envie de gerber.
"La dernière chance", c'est celle qui arrive après les 56 rappels à la loi ?
Signaler RépondreLes fameuses racailles déséquilibrées qu'il faut dédouaner de tout même quand ça tue des innocents dans la rue ? Ah oui, des handicapés qui ne feraient pas de mal aux oiseaux.
Signaler RépondreAujourd'hui, il fait bon être handicapé, mineur, SDF, isolé, déséquilibré... etc. Mais surtout, il ne faut pas dire musulman !
« Institut thérapeutique, éducatif et pédagogique » pour ces racailles aucun objectif n’a été atteint, on ne sauve pas les gens malgré eux, nous perdons du temps et de l’argent avec certains, il faut accepter parfois que ce soit une cause perdue pour pouvoir envisager d’autres solutions. Que ce soit des délinquants au boulot dans nos familles parfois certains sont irrécupérables 🤷🏻♀️
Signaler RépondreCambrioler une école, c'est déjà lamentable, mais là...
Signaler RépondrePas très handicapé, l'handicapé et ses potes de Vaulx et de Bron !
Signaler RépondreÉvident
Signaler RépondreIls sont handicapés, mais pas pour tout, revendre une voiture volée, cambrioler l'endroit où ils sont accueillis et aider.
Signaler RépondreC'est un sacré remerciement.
manger le bras de celui qui te rend la main.
Le pire c est que c est fort probable
Signaler Répondretoujours les mêmes
Signaler Répondre"convoqué devant un juge pour enfants, en vue d'une déclaration de culpabilité", c'est quoi cette nouvelle foutaise ?
Signaler RépondreEn taule les gamins, ou travail gratuit pour cet institut qu'ils ont dépouillé jusqu'au remboursement de la totalité des préjudices.
Ah non ? Pas en France ce genre de sanction ? Pourtant ce sont les seules choses qui les feraient réfléchir, en dehors de toute violence bien sûr....
Bon ben, rappel à la loi alors.
Pour avoir travaillé dans un ITEP, je ne qualifierais pas vraiment le public "d'handicapés mentaux", sinon, cela reviendrait à qualifier une large frange de la "jeunesse en difficulté" d'handicapés mentaux.
Signaler RépondreC'est plutôt à voir comme un établissement de la dernière chance qui coûte un pognon de dingue, sans que les intéressés ne comprennent vraiment qu'après cette ultime proposition, ce sera un autre type d'établissement qu'ils fréquenteront, l'article illustrant bien la chose...