Souvenez-vous, la semaine dernière, le Maire de Francheville Michel Rantonnet signait un arrêté pour la fermeture administrative de l’hôtel “Le grand Barnum”, situé au sein de l'ex-hôpital gériatrique Antoine Charial, le plus grand centre d'hébergement d'urgence temporaire de la Métropole de Lyon.
L’élu s’offusquait du refus des associations sur place de prendre en charge une trentaine de familles réfugiées ukrainiennes par manque de place.
Ce lundi, c’est son opposante politique, Hélène Dromain, Vice-présidente de la Métropole de Lyon chargée de la Coopération européenne et internationale et du Tourisme qui prend la parole. Elle dénonce son “opposition à l’occupation de cet ancien hôpital sous tous les prétextes possibles.” La politique EELV rappelle également dans son communiqué que “l’installation de réfugiés pendant la phase d’inoccupation du bâtiment est une décision du préfet temporaire, et qu’elle ne retarde pas les projets futurs.”
Le maire de Francheville, lui, avance trois arguments à la fermeture administrative du grand Barnum. D’abord, Michel Rantonnet énumère les problèmes d’autorisations administratives, la possible concurrence avec les commerces existants, et le fait qu’il n’était lui-même pas au courant.
Hélène Dromain contre le raisonnement de ce dernier, et explique que la concurrence n’est pas possible sous prétexte que Francheville ne possède plus d’hôtel, ou encore que Michel Rantonnet ait voté pour au projet de schéma de développement du tourisme responsable de la Métropole, en tant qu’exemple vertueux d’insertion professionnelle dans le secteur hôtelier.
La conseillère municipale de Francheville ne mâche pas ses mots : “Dès le début de la crise ukrainienne Michel Rantonnet a voulu faire le buzz en demandant que les réfugiés soient hébergés à Charial sachant pertinemment que le Centre d’Hébergement d’Urgence était complet. Voulait-il qu’on substitue aux occupants actuels des réfugiés plus “acceptables” à son goût ?”
“J’espère que le maire finira par adopter une attitude positive et travaillera enfin avec les occupants du tiers lieu dans l’intérêt général plutôt que d’utiliser ce prétexte pour un énième coût politique comme il les affectionne,” poursuit l’élue. Le groupe écologiste Francheville Respire dénonce également “ces opérations de communication aux détriments des réfugiés et personnes en grande précarité pour lesquelles le maire semble n’avoir aucun égard.”
ça doit etre impossible à traduire en braille
Signaler RépondreDe toute façon, il arrivera un moment où les capacités seront saturées et où cela sera bonnet blanc et blanc bonnet quelles que soient les origines et la légitimité des "migrants".
Signaler RépondreLes bien-pensants pourront toujours s'outrager de voir des gosses à la rue et occuper des écoles, cela ne changera pas grand chose.
comment font ils pour tenir avec conviction et flegme de tels propos...et...... sans rire?
Signaler RépondreCette démagogie et ce racolage vis à vis des réfugiés (des vrais, pour une fois) est consternant. Et on ne peut que constater que les populations, Francheville par exemple, est de plus en plus étrangère (c'est visible !) : ils ont l'air de très bien vivre sans être bien occupés: de plus ils sont majoritaires dans les envahissantes pub !
Signaler Répondrememe le pauvre peut etre instrumentalise à des fins politiques.......chacun les "siens"?..pauvre de gauche et pauvre de droite!
Signaler Répondre"développement du tourisme responsable de la Métropole, en tant qu’exemple vertueux d’insertion professionnelle dans le secteur hôtelier". Langage de la gôche caviar !
Signaler Répondrebravo pour votre prise de position j'ai laissé un commentaire qui n'a pas été publié dénoncant les 475 etrangers de cet hopital pendant que les français etaient dehors sans assistance ils vont les dispatcher dzns craponne et francheville tout doucement dans nos ecoles des appartements neufs et de partout dans les bus c'est une catastrophe il a été dit qu'ils etaient SDF des sdf ave des beaux vetements des telephones portables derniers cris des poussettes a 800 euros? que des mensonges pour nous obliger a les accepter
Signaler Répondredans cet ancien hopital il y a 475 personnes je veux dire 475 etrangers pas un seul français, les français etaient dehors quand il faisait si froid et encore maintenant ils ont envahis craponne et francheville ils ne paient pas le bus ne mettent pas leur masque ne respectent pas la france ces soi disants SDF possèdent de gros telephones portables ont de tres beaux vetements, cette élue verte habite trés certainement une belle maison et se trimballe en voiture moi je prends le bus avec des gens sales qui se mouchent dans leur doigts qui crache dans le bus français reveillez vous nos freres dehors ne sont aidés par personne on leur prefere des etrangers
Signaler Répondre"Vice-présidente de la Métropole"... sérieux ils sont combien à être vice présidente(e)s à la Métropole?? J'ai l'impression qu'à chaque fois qu'un(e) eelv prend la parole il ou elle est vice-présidente de la Métropole!
Signaler RépondreElle ne doit pas y passer souvent...
Signaler Répondretoujours la bouche ouverte pour débiter des insanités ces écologistes..
Signaler RépondreCe que dit cette élue EELV est malhonnête, 1) un ERP en plus locaux à sommeil ne peut ouvrir avant passage de la commission sécurité et aval par le préfet de la décision de cette commission. 2) elle sous entend que ce maire «choisi » quels réfugiés accueillir oubliant que les centres d’accueils sont saturés de migrants NON réfugiés de guerres ou politiques, et qu’ils occupent de fait des places réservées à ceux qui fuient réellement les guerres ou menaces sur leur personne. Moins de 5% des déboutés d’asile en France sont expulsés, il va falloir choisir qui on veut sauver réellement, et pour ce faire il faut arrêter de faire n’importe quoi, et arrêter les politiques dogmatiques, il faut du pragmatisme et de l’efficacité. A force d’abuser, de constater que de nombreux migrants illégaux se comportent en ordures il n’y a plus de consentement à l’accueil des vrais réfugiés. C’est l’argent des travailleurs qui financent le tout, la moindre des choses est d’avoir des réfugiés qui s’intègrent qui vivent dans de bonnes conditions qui travaillent et non des clandestins qui nous coûtent de l’argent et qui en plus se comportent très mal.
Signaler RépondrePriorité aux français dans le besoin d'abord .
Signaler RépondrePetit rappel des faits
https://www.lyonmag.com/article/121680/un-hotel-3-etoiles-mais-pas-de-place-pour-les-refugies-ukrainiens-le-maire-de-francheville-en-appelle-au-prefet