Elles ont été constatées ces dernières semaines, les chenilles processionnaires font leur retour dans l’agglomération lyonnaise. Plus précisément sur les arbres, car les nids apparaissent généralement sur les branches de pins.
Ces chenilles aux poils urticants, dangereuses pour l’homme et les animaux, peuvent entraîner des démangeaisons, des allergies, des inflammations, des maux de gorge voire des problèmes respiratoires.
Les chiens sont souvent victimes de ces poils urticants. Il convient alors de restreindre l’accès aux pins à ses animaux de compagnie et aux enfants.
La vigilance est donc de rigueur afin d’éviter tout contact avec les chenilles, leur nid et les zones potentiellement infestées.
Cet insecte pourrait par ailleurs être bientôt classé au niveau national comme "organisme nuisible à la santé humaine". Des arrêtés préfectoraux pourraient donc être mis en place pour lutter contre ces infestations.
Bonne nouvelle pour les adultes non sportif, vous ne risquez rien !
Signaler RépondreSaloperie de bestioles qui me provoquent allergies et des problèmes respiratoires, sans être en contact direct avec ces chenilles les poils urticants se dispersent aisément…. Pour certains les conséquences peuvent être plus graves. Ne pas prendre à la légère.
Signaler Répondrehttps://www.anses.fr/fr/system/files/Toxicovigilance2020SA0005Ra.pdf
Décidément jamais 2 sans 3 les catastrophes . Covid, Ukraine, à présent les chenilles , tous ça ! nous filent des allergies. Quand es que toutes ces catas vont elles s'arrêter....
Signaler RépondreVotre chenille d'illustration n'est pas une Thaumetopoea pityocampa et son support est un Mélèze qui n'est pas la plante hôte...
Signaler RépondreLe danger réside dans le contact le plus souvent avec la chenille au sol avec les chiens et les sportifs ou en procession sur les troncs de pin par les enfants qui jouent avec. Le risque réside également dans la contamination des espaces par les soies libérées par les chenilles en procession (création d'un ennemi invisible soies microscopiques). Les soies forme de micro harpon se plantent dans les tissus humains ou animaux et libère la protéine irritante thaumatopeine pouvant conduire à une nécrose tissulaire locale.