Voté en décembre dernier, le document réduisant drastiquement la place de la pub dans l'agglomération est actuellement soumis aux votes des 59 communes que compte la collectivité.
Or, un certain nombre s'y oppose farouchement, et d'autres émettent des réserves.
Un constat suffisant pour plusieurs professionnels et syndicats de la publicité pour réclamer à Bruno Bernard un entretien. Les dirigeants de Light Air, Charvet, Sovilec ou de la SNPE souhaitent obtenir du président écologiste de la Métropole "une nouvelle concertation où les professionnels et les syndicats auront l'assurance d'être écoutés et que leurs propositions soient prises en compte".
Dans leur communiqué de presse, ils estiment que le RLPI est "bien loin du consensus qui nous a été annoncé". Et de rappeler que la CCI de Lyon a voté contre, et que la Commission départementale de la nature, des paysages et des sites (CDNPS) a également émis 11 votes défavorables sur 14.
Selon eux, ce nouveau règlement de la publicité qui prévoit notamment l'interdiction des écrans numériques et des publicités sur les bâches de chantier, l'extinction des publicités de minuit à 6h du matin ou la réduction du nombre de panneaux publicitaire et de leur taille à 4 m² maximum aura des "conséquences économiques importantes pour 200 entreprises et 2500 emplois du secteur".
Métropole ceci, metropole cela
Signaler Répondrependant ce temps des gens ne pourront pas se reloger sous pretexte de lutte contre une certaine gentrification...
Quel foutage de gueule. Il y a déjà eu plusieurs concertations, les professionnels du secteur étaient des dizaines à chaque fois et n'ont pas mâchés leurs mots ni leurs menaces pour amoindrir le plus possible ce règlement.
Signaler RépondreVraiment y en a marre. Le RLPI pourrait être tellement plus ambitieux et cohérent (un peu comme si y avait une urgence environnementale et qu'il fallait de vraies mesures voyez-vous) mais non, il faut pinailler sur la moindre bâche dégueulasse ou des pubs lumineuses à la con. Déplorable.
Bruno Bernard nous trouveras a tous un poste éphémère à la métropole de Lyon.
Signaler RépondrePuis dans 4 ans nous sauterons en même temps que lui.
Que lui restera t'il? Rien un mandat parsemé d'échecs ... Rien d'autre !
Et ouais le secteur ne fait pas rêver, entre la corruption au greffe et au tc bien connue de la mairie et qui a donné le champs libre aux grosses boites contre les petites, dont la plupart ne font que vivoter, maintenant ça, la rentabilité des boites dans ce secteur s'est effondrée depuis les années 90... Avant un afficheur gagnait très bien sa vie et pouvait espérait être facilement proprio, maintenant celui-ci gagne en général le smic et sera bien heureux d'être à temps plein dans un hlm à vaulx ou vénissieux...
Signaler RépondreVu la très forte mortalité que j'ai connu à l'entrée du millénaire, que ce soit chez les gérants que les employés qui ont perdu leur niveau de vie, je suppose qu'à nouveau...
Publicités : cahier des charges obligatoire ! = bbblgbqt (Black, Blancs, Beurs, lgbtqt). De nos jours cela donne obligatoirement : une blanche avec un black, une black avec un blanc, des homos, c'est l'image pour l'éducation et l'élévation intellectuelle des nouveaux enfants français !!! La majorité doit s'écraser et penser à la pièce de théâtre : " Pauvre France ! une comédie de Sam Bobrick et Ron Clark adaptée en français par Jean Cau. La pièce originale (Norman, Is That You?) est créée à Broadway le 19 février 1970 une adaptation de la pièce est jouée en 1971 dans une mise en scène de Michel Roux au théâtre Fontaine avec Jacques Fabbri et Bernard Giraudeau. La pièce rencontre alors un succès populaire et sera reprise en 1982 au théâtre du Palais-Royal avec Jean Lefebvre, Georges Beller, François Duval, Annick Alane, Nadine Capri. Vivement Zemmour !!!!!!!!!!!!
Signaler RépondreVous pouvoir crever et fermer boite, Bernard fournir vélo gratuit pour toi monter activité indépendante livraison repas à mairie et domicile des bobos
Signaler Répondre"réclament une nouvelle concertation à la Métropole de Lyon", ouaf ouaf ouaf ;-)
Signaler RépondreLe chef Bernard décide un point c'est tout... Pas de temps pour lui de concertation.