Dans la Métropole, l’ordre d’arrivée était le même : Emmanuel Macron était là aussi devant Jean-Luc Mélenchon (environ 30% contre aux alentour de 25%).
Leçon 1 : Les Lyonnais changent de plus en plus souvent de bulletin de vote
Lyon fut capitale de la droite française pendant un demi-siècle. La seule incertitude de pouvoir se résumant à savoir si c’était le RPR ou l’UDF qui prenait la direction de la ville et du Grand Lyon.
Puis Lyon fut dirigée par une alliance des socialistes, d’EELV, de communistes.
Avant, comme son Maire de l’époque Gérard Collomb, de se mettre à voter massivement pour la République en Marche et le MoDem à plusieurs reprises.
Puis pour EELV il y a moins de deux ans tout aussi massivement.
Avant cette fois en 2022 de se partager à parts quasi égales entre Macron et Mélenchon.
Souvent lyonnais change.
Leçon 2 : L’extrême-droite fait son retour dans les urnes
L’extrême-droite à Lyon est plus connue pour son implantation de groupes radicaux allant des Braves de Daniel Conversano aux Jeunesses Identitaires, en passant par l’Action Française ou les Jeunesses Nationalistes que pour ses résultats électoraux réussis. Il n’y a, par exemple, pas d’élu du RN dans aucun conseil d'arrondissement de la ville, pas plus qu’au conseil de Métropole. Deux cuisants échecs pour Agnès Marion et Andréa Kotarac qui en portaient les couleurs aux dernières élections locales.
Là, entre les deux candidats, c’est plus de 16% des Lyonnais et environ 22% des Grands Lyonnais qui se sont tournés vers l’extrême-droite. Dans certains territoires, cela laisse aussi augurer d’une radicalisation de l’électorat LR, certains jolis scores d’Eric Zemmour s’étant déroulés par exemple dans le bastion de droite Limonest ou dans des arrondissements comme Lyon 6e. Laurent Wauquiez n’est d’ailleurs pas insensible à cette tendance lorsqu’il n’est pas aussi clair que Valérie Pécresse quant à son vote du second tour.
Leçon numéro 3 : La guerre en Ukraine ne fait pas recette électorale
Certes l’ensemble de la classe politique française a condamné l’agression russe en Ukraine. Mais de Jean-Luc Mélenchon, qui refuse d’aider les Ukrainiens à se défendre face à Poutine, jusqu’au très pro-Kremlin Eric Zemmour en passant par un Jean Lassalle qui a toujours exprimé sa sympathie pour le régime en place en Russie, nombreux sont les acteurs français à rester sur des ambiguïtés dans cette crise. A proposer en pleine crise de sortir de l’Union Européenne ou de rester sans alliés.
Les viols en masse en Ukraine, les réfugiés, les bombardements, tout cela n’a pas joué dans les votes de nombreux français.
A part Emmanuel Macron, les candidats les plus clairs sur ce conflit, à commencer bien évidemment par Yannick Jadot, mais aussi Anne Hidalgo et dans une moindre mesure Valérie Pécresse, longtemps plombée dans ce domaine par François Fillon, n’ont guère fait recette.
Beaucoup de Français qui ont considéré que l’attitude d’un candidat face à ce drame n’était pas un critère dominant de choix en votant pour Zemmour, Lassalle, Le Pen ou Mélenchon.
Est ce que cela en fait forcément des aficionados de Poutine, des gens qui approuvent massacres et viols en Ukraine ? Non évidemment ce serait bien injuste de le dire ! C’est la volonté de faire barrage au Président sortant et à l’extrême-droite qui a mobilisé les électeurs du chef des Insoumis. Et c’est bien d’autres critères que Poutine qui ont le plus souvent motivé de leur côté les électeurs d’extrême-droite.
Mais tout cela montre une nouvelle fois ce vieil adage comme quoi on ne gagne pas les présidentielles sur les questions internationales…
Leçon numéro 4 : EELV peut-il faire la tête ?
Yannick Jadot avait tout pour réussir à Lyon, plus grande ville à direction EELV de France. Sa modération, son ancrage pro-européen, ses propositions sur l’urgence climatiques pouvaient être un atout réel. Il pouvait faire synthèse dans une ville où les deux forces principales (même si on l’a vu, les Lyonnais changent souvent de bulletin de vote) sont EELV et LREM malgré l’entre-soi de ces deux partis politiques locaux accrochés à leurs rentes. Le mauvais score du candidat écolo a montré la volatilité de l’électorat de gauche lyonnais et aussi appelle sans doute son parti à réfléchir localement et nationalement, notamment sur un certain entre soi.
Le Maire Grégory Doucet peut certes se rassurer en disant à juste titre que sa majorité dans sa diversité est largement en tête dans la ville en additionnant les voix des insoumis, des socialistes, des communistes, d’EELV etc… En cela il a raison, ce bloc est largement en tête. Même si 42,03% tout ça cumulé ce n’est pas la majorité… Et de se dire que le rapport de forces interne à gauche avait été celui-ci il y a de cela même pas deux ans, il n’aurait pas forcément été Maire de Lyon….
Reste que, l’élu insoumis lyonnais, Laurent Bosetti a reconnu à juste titre et modestie sur le plateau de BFM-TV ce que chacun sait, que le score des Insoumis est pour beaucoup un score de vote utile à gauche. Qui n’est pas forcément une adhésion pour Monsieur Mélenchon.
Leçon numéro 5 : Les macronistes peuvent-ils faire la fête ?
Oui certains de ses dirigeants locaux sont pris dans les schémas de clanisme et de guéguérre des dernières municipales même si ils s’en défendent. Mais les représentants de la majorité présidentielle, à commencer par nombre de cadres marcheurs et par le MoDem de Fouziya Bouzerda et des députés macronistes comme Thomas Rudigoz, Jean-Luc Fugit ou Anne Brugnera ont mené une campagne qui s’est avérée payante, même si ce n’est plus aujourd’hui l’appareil politique qui fait l’élection. La majorité présidentielle est en tête sur la ville de Lyon et la métropole.
Mais il est à noter que la structure de vote macroniste a évolué dans sa physionomie lyonnaise. Cette fois, Emmanuel Macron, s'il a gardé de très larges segments du vote social-démocrate et des actifs, a aussi beaucoup eu les faveurs du centre droit et des seniors, en témoignent ses scores dans des villes comme Ecully ou Lyon 2e tout en maintenant de bonnes positions dans des endroits plus à gauche. Cela est-il suffisant pour gagner les présidentielles? On peut espérer que face au très grave danger de l’extrême-droite tout cela soit suffisant pour gagner avec l’aide de la gauche et de la droite républicaine. Mais pour les amis du Président de la République à rééditer l’exploit d’obtenir la totalité des circonscriptions de la Métropole aux législatives comme en 2017 ?
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Romain Blachier
Faudra expliquer pourquoi on retrouve plusieurs personnes s'"entraînant" dans ce "club" de sport faire des saluts nazis ou plus sobrement le signe "3" avec les doigts sur internet. C'est sans doute par nationaliste en effet. Vous prenez clairement les gens pour des débiles..
Signaler RépondreJe vous laisse faire vos recherches, bien que la plupart sont de toute façon au courant.
Le premier durera cinq ans. Le deuxieme craquera en moins de dix-huit mois, voire semaines.
Signaler RépondreEdito intéressant, même si on pourrait y voir un p'tit cirage de pompe de Macron et EELV (des fois qu'il y ait un retour d'ascenseur sous forme de poste intéressant à venir, qui sait?) ;-)
Signaler RépondreJe dirais surtout que la situation anxiogène du moment (2 ans de covid et confinements/restrictions, incertitudes liées à la guerre, grosse crise économique à venir, inflation, industrie automobile en plein marasme, ...) font que les électeurs se tournent soit vers des candidats extrêmes plutôt que du lyophilisé, soit vers Macron par réflexe "il est en poste continuons ainsi". LR et PS pschht terminé.
Si (probablement) Macron est réélu, et que les légistatives donnent beaucoup de sièges à l'extrême gauche et quelques-uns (par principe c'est fait pour ne presque pas leur permettre d'en avoir) à l'extrême droite, ça va être une belle pagaille à gouverner.
On peut donc s'attendre à ce que Macron continue à faire le gentil (comme en ce moment... méconnaissable...) jusqu'aux législatives, avant de retrouver son vrai visage.
Ah et pour EELV... ils se sont pris une claque, sans doute parce que les Français en ont marre des Sandrine Rousseau et équivalents, et de l'écologie répressive-punitive-emm..dante. Doucet avec le tout-vélo, les pissotières, les 30km/h en ville, l'insécurité galopante, qui peut avoir envie de ça.
Sauf que LFI et le RN, c'est la même chose.
Signaler RépondreLe fascisme et la violence sont autant chez LFI que chez le RN ou les Zemourriens.
Ce n'est en rien une preuve, juste une démonstration auto entretenue de votre vision des choses.
Signaler RépondreSi on considère que MLP représente un danger pour le pays, alors le positionnement de LFI représente une défense du pays face au danger du sabotage du RN.
Il suffit de changer votre postulat de base (qui n'est en rien démontré) pour arriver à une conclusion radicalement différente.
et des deux pieds!!
Signaler RépondreLes " IDENTITAIRES " ne sont pas fascistes mais nationalistes, ce qui n'est pas la même chose. Eux, bien ou mal croient au respect du sol, au respect du pays , tandis que les anarchistes sabotent pour le plaisir de saboter la nation. La preuve ? MELANCHON qui préfère donner son obédience à MACRON, JADOT, idem, je ne parle pas des socialistes qui ne sont que des épouvantails s'habillant de vestes souvent retournées au gré des sens du vent, car eux vendent du vent, mais il ne fait pas tourner les éoliennes car il est contraire au vent existant de la nature.
Signaler Répondrece n’est pas parce que zelinsky dit qu’il y a eu des viols que vous pouvez reprendre cette declaration et l’erriger en information. Cela s’appele du journalisme d’opinion et non pas d’information. Bref vous participez à la propagande des mass medias sous couvert d’analyse digne de n’importe quel comptoir de bar.
Signaler RépondreN'empêche, si on additionne Le Pen + Melenchon + Zemmour, ça fait beaucoup de gens à Lyon et dans la Métropole qui ont voté pour des partis extrémistes... Pas de quoi se réjouir pour l'avenir
Signaler RépondreEt sinon un commentaire sur les nervis d'extrême gauche ultra-violents qui ont attaqué la mairie du 1er et agressé les assesseurs en plein dépouillement? (alors que les résultats n'étaient d'ailleurs même pas connu, donc rien à voir avec d'éventuels résultats de votes).
Signaler RépondreBref, vomissant leur haine de la Démocratie et de la République.
Mais je suppose que vous applaudissez des 2 mains...
Pour l'épargne c'est déjà le cas vu que les taux sont inférieurs à l'inflation. Quant à une guerre civile... peu importe qui sera au pouvoir, un jour ou l'autre tout finira certainement en régime autoritaire (au mieux).
Signaler RépondreEn attendant, à Lyon EELV s'est pris une belle raclée...
Signaler RépondreLes écolos vont devoir faire une grande remise en question sur la façon dont ils ont traité les gens depuis 2 ans
Même à Grenoble souvent cité en exemple par les écolos, les verts sont 4eme.
La leçon qui me saute aux yeux quant aux resultats locaux, c'est un très net clivage sur la question sociale.
Signaler RépondreAvec 31% vers la droite ultra-libérale et 30% vers la gauche anticapitaliste.. d'entrée de jeu le grand écart, le ton est donné pour une lutte des classes en direct.
Si ca se confirme aux legislatives, municipales, metropolitaines.. je vois pas bien comment les macronistes pourraient feter ça au passage, une opposition antilibérale dans la métropole pour eux c'est la catastrophe. Et géographiquement on retrouve dans l'espace ce clivage social.. toutes les grandes villes tendent vers cet opposition très marquée.
Et comme pour le second tour ils n'ont aucune reserve de voix ou presque, pas "d'alliance naturelle", Macron est totalement dépendant du barage, alors ça doit être panique à bord.
Y'en a une autre pas mal qui y fait echo, mais c'est valable pour la France entière, la radicalisation politique.
Les candidates des partis de gouvernement traditionnaux, LR et PS, ne font pas 7% à elle deux. Les deux plus proches du centre se sont faites balayer, et tous les autres sont "l'extreme" de qq'un. A croire qu'on n'existe plus sans ennemi.
Pour LREM on dit "ultra", pour les verts on dit "bio extra-fin", "l'extremisme" se sophistique mais 93% des voix vont vers "l'extreme" d'un autre.
Sur Lyon "l'extreme-droite" a des résultats en hausse(avec Zemmour car Le Pen fait un score identique à 2017), mais insuffisants pour peser localement et très inférieurs aux resultats nationaux. Ce qui confirme que Lyon n'est pas son bastion et que la question sociale occupe davantage l'esprit des lyonnais, mais avec pour revers que si ca se confirme au second tour ca pourrait lui profiter, ou ne pas profiter à Macron.
C’est malheureusement exact. Nous avons le choix entre deux virus, le premier est dur à vivre , mais le second sera mortel .
Signaler RépondreLes nostalgiques et petain et les amis de pouvoir sont en erection rien a qu’à l’idée de leur victoire. Une victoire que si , ses militants fêtent aux champs Élysée à paris sera la première boucherie de la guerre civile à venir . Triste mais réaliste . Sans compter le lendemain avec l’effondrement des Bourses, de l’euro ,de l’inflation et des intérêts de la dette française qui vont exploser . Pour les français qui ont dès livret A et un peu d’argent de côtés , ils n’aura plus de valeur . Les actions aussi vont dégringoler pour TOUT les français sans étiquette politiciennes. Bref, que du bonheur, un retour de 30 ans en arrière comme en Russie.
Signaler RépondreCha_de_l vous parlez des fachistes d'extrême gauche ?
Signaler RépondreEffectivement, tous les analystes en ont fait état : le vote Mélenchon était majoritairement un vote d'adhésion.
Signaler RépondreDésolé, les mots ont un sens. Le fascisme ne s'est pas limité à l'Italie de Mussolini ou à l'Allemagne nazie, croyez bien que j'en serais rassuré.
Signaler RépondreLa Traboule et l'Agogée, le bar et la salle de sport (de combat) des "identitaires", sont bel et bien des locaux accueillant des fascistes et servant leur projet.
L'écologie c'est luiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Signaler RépondreAh bon! Le 5e arrondissement héberge des locaux facscistes??? Je ne savais pas que Mussolini était locataire là-bas... Vous êtes vraiment ridicule avec ce vocabulaire d'un autre âge...
Signaler Répondre"C’est la volonté de faire barrage au Président sortant et à l’extrême-droite qui a mobilisé les électeurs du chef des Insoumis."
Signaler RépondreEt peut-être aussi une certaine adhésion au programme porté par l'Union Populaire. Voter pour un programme écologiste dans une ville qui a élu des écologistes à sa tête, ça n'est pas si incohérent !
Jean-Luc Mélenchon est arrivé en tête dans le 1er, le 4e, le 7e, le 8e et le 9e arrondissement.
Même dans le 5e, qui héberge pourtant des locaux fascistes, il fait près de 25% – loin devant l'extrême-droite.
Si le président élus n'a pas la majorité de députés élus , il devra pour gouverner négocier avec d'autres partis politiques. Il devra comme en Allemagne néguo cier un gouvernement de compromis.
Signaler RépondreSi les néguociations n'aboutissent pas nous auront une cohabitation tel que la vécu Miterand ou Chirac
Pour les abstentionnistes du second tour, une seule solution : quelque soit le résultat, voter en Juin pour l'opposition la plus farouche afin, je cite, d' "emmerder" pendant 5 ans l'occupant ou l'occupante de l'Elysée!
Signaler RépondreNon, mais si votre ressenti est que l'article n'est qu'une opinion/ressenti personnel, c'est qu'il a bien fait son travail vu que c'est ce qu'on attend d'un éditorial, donc je ne vois pas bien pourquoi vous le lui reprochez.
Signaler RépondreEt je ne dis pas que vous devez être d'accord avec lui sur le fond.
Bizarre personne ne se pose la question: si MACRON ou LEPEN sont élu président de la république combien auront t'ils de députés dans le Rhone.
Signaler RépondreMACRON avait en 2017 une majorité de députés élus. Combien d'élus aura t'ils en 2022.
Si LEPEN est élue qui n'a aucun députés élus ni d'élus à LYON ou à la METROPOLE combien de députés en 2022.
Rappel le Rhone c'est 14 députés à élire en Juin 2022.
RBlachier me reprochait d'exprimer un ressenti personnel ...
Signaler RépondreSerait-il donc le seul à pouvoir le faire ?
Cet article est un éditorial, donc, par nature un sentiment personnel. C'est ce qu'on attend d'un éditorial. Et c'est une catégorie qui existe dans tous les journaux.
Signaler RépondreEditorial : article de fond qui reflète l'orientation générale du journal ...
Signaler Répondre... Ca confirme l'idée que Lyon Mag devrait ranger ce genre de brouillon dans une rubrique à blagues.
Parce que votre article n'est pas un "ressentiment personnel" ... Lyon Mag devrait créé une rubrique à blagues pour ranger vos tentatives d'articles. Cheers
Signaler RépondreVous devriez lire la définition d'un éditorial avant de reprochez à un édito d'être un édito.
Signaler RépondreBref vous ne répondez pas à par par du ressentiment personnel. Bel journée à vous
Signaler RépondreComment argumenter à la lecture d'une information non sourcée et comme à chaque fois orientée politiquement ... chose que vous assumez pleinement en allant même jusqu'à illustrer ces quelques lignes par une photo* ... de vous ... magnifique.
Signaler Répondre* Une photo à l'image de l'article ... pixelisée
vous avez déjà fait le même commentaire sous la même adresse IP et avec un pseudo différent à plusieurs reprises...fatiguant.
Signaler RépondreAnalyse rudimentaire, simpliste et larvaire.
Signaler RépondreAllez chercher un étudiant en sciences Po et vous aurez mieux pour moins cher !!!
La prochaine présidentielle ça sera LFI sur et certain EELV avec leur zone à faible émission c'est la fin politiquement et LREM avec 5 ans de plus les gens comprendront qu'ils se sont fait avoir.
Signaler RépondreUn commentaire pas très argumenté... mais content que vous ayez pris le temps de commenter mon papier de social-démocrate européen de toujours....
Signaler RépondreJe n'en manque pas de responsabilités diverses. Et vous? A moins que vous passiez trop de temps à commenter sous pseudo?
Signaler RépondreUne analyse grossière écrite par une girouette politique
Signaler RépondreBen oui, en fonction des personnages et de leur politique, les gens changent d'avis...
Signaler RépondreUn article bien plus modéré que le précédent caricatural à l’encontre de Mélenchon, à la limite de la diffamation et d’un niveau digne du pire scribouillard d’extrême droite.
Signaler RépondreC’est pas de la faute des girouettes si le vent change de direction…
Premier paragraphe.
Signaler RépondreTout est dans le titre.
Signaler RépondreLes votants pour LREM sont d'une même et homogène communauté.
Aucun mot sur le score de melenchon qui est a égalité avec macron à lyon?
Signaler RépondreLFI a instauré ce qui va se payer dans la prochaine présidentielle, le vote communautaire.
Signaler RépondreC'est totalement irresponsable que cette campagne communautaire qu'a fait LFI.
La prochaine fois, le vote communautaire aura son propre candidat grâce à LFI.
Et le vote communautaire n'aura pas besoin de LFI et ses vieilles lunes... à moins que ce soit une demie lune.
Pourquoi analyser, ce qui devient maintenant difficilement analysable dans les grandes villes de ce Pays : Nantes, Toulouse, Bordeaux, Grenoble et forcément nôtre bonne ville de Lyon. Ca fait quand même plusieurs décennies que les "décideurs locaux, de Pères en Fils"" ont déménagé des murs. Ils auront laissé (sans s'en rendre compte dans le temps) leurs places aux "apprentis politiciens" pour leur permettre de rentrer dans la Carrière (leur carrière...) comme l'on dit. La grande bourgeoisie : dans leVal de Saône, et la petite dans la plaine de l'Ain. La colline qui travaille n'existe plus, celle qui prie encore moins...
Signaler RépondrePauvre homme perdu mais où va t'il bien pouvoir quémander une quelconque responsabilité ?
Signaler RépondreRetrouvez Romain Blachier tout les jours en spectacle à la Guillotière.
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