Ce week-end, Eric Favre s'est confié à la chaîne The Rob et revient sur ses six mois et demi de prison, ainsi que sa "descente aux enfers", ce "coup de massue" qui a brisé sa success-story.
Et c'est en plutôt bons termes qu'il narre son expérience derrière les barreaux. Même si la nuit de son arrivée, il entend des prisonniers promettre de le "défoncer" le lendemain matin.
"J'ai été un prisionnier modèle", raconte Eric Favre, qui évoque même une "très belle expérience humaine". "Au bout de 2, 3 mois, les mecs avaient tous des T-Shirt Eric Favre. (...) J'ai entraîné des boxeurs", poursuit le Lyonnais.
Lorsqu'il a appris qu'il allait quitter Corbas en novembre 2019, Eric Favre a fondu en larmes.
Puisqu'il lui est interdit d'entrer en contact avec ses fils et sa compagne, également interpellés dans cette affaire, il était assigné à résidence chez sa tante âgée de 75 ans. "Il me restait 200 euros sur mon compte, ils m'ont tout saisi. (...) J'ai dû réorganiser ma vie en repartant à zéro car tout le monde s'est barré", explique Eric Favre, qui dévoile ainsi la dure réalité qui se cache souvent derrière ce genre de faits divers.
Aujourd'hui, l'enquête est toujours en cours, et Eric Favre est sous contrôle judiciaire, visé par dix chef d'inculpations. "J'ai confiance en moi et en la justice, mais je suis face à une bombe atomique. Tout est 100% à charge. (...) Il faudrait être complètement débile mental pour rentrer dans ce créneau qui est dangereux, qui ne rapporte pas autant de pognon que ça et qui demande d'organiser un réseau mafieux. (...) Il n'y a rien de tout ça. (...) Je n'ai jamais vendu un produit à qui que ce soit", conclut l'entrepreneur.
encore un innocent
Signaler RépondreMediator, depakine, sang contaminé etc tout cela connus par les vendeurs et administrations de santés combien de mois de prisons pour eux ? Laurent Fabuis pour lui c.est même le jackpot Président du Conseil constitutionnel de France depuis 2016 ! Qui dit mieux ?
Signaler RépondreBla-bla-bla bla-bla-bla bla-bla bla-bla-bla bla-bla-bla
Signaler RépondreLe problème n'est pas que cette personne ait été incarcéré, car la justice s'est prononcée. Le problème c'est que cette même justice, ferme les yeux sur tous les traffics des racailles qui dealent de la beuh, et tout autre drogue.
Signaler RépondreMais bon comme ça, la justice peut faire la belle auprès de ses protégés des quartiers !
Pendant qu'on incarcère des non violents, les teignes sont tranquille dehors à nous empoisonner la vie ! Merci la justice de gauchos.
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