Dans un communiqué, le musée "Lugdunum" annonce ce lundi renforcer sa présence dans le reste du territoire de la Métropole. "Une politique d’itinérance des expositions temporaires afin de toucher au plus près les habitants et les personnes éloignées de la culture".
Les médiathèques, bibliothèques ou encore les structures médico-sociales seront notamment visitées dans certaines communes avec différents ateliers comme des conférences ou des ateliers.
Entre octobre et décembre dernier, la médiathèque et l’Ehpad d’Ecully avaient par exemple accueilli l’exposition "Une salade, César ?", qui explique la cuisine romaine « de la taverne au banquet". L’exposition sera déployée du 1er septembre au 17 octobre à la Maison du livre de l’image et du son de Villeurbanne, dans le cadre de la capitale française de la culture.
De plus, l’exposition "EnQuête de Pouvoir – de Rome à Lugdunum" va aussi circuler également entre l’Hôtel de la Métropole du 2 mai au 24 juin, puis à la médiathèque de Francheville dès septembre.
Cette exposition "met en lumière une période méconnue de l’histoire antique, à savoir la crise politique de 192/197 après J.-C qui fait suite à l’assassinat de l’empereur Commode, qui meurt sans successeur" d’après les experts de "Lugdunum".
Aux yeux de la loi, comme le précise le Conseil constitutionnel, tous ces bulletins "n'expriment pas un choix objectivement clair de l'électeur" et sont ainsi considérés comme nuls.
A quand les courses de chars?
Signaler RépondreEt surtout en 197, la bataille de Lugdunum entre Albinus et Septime Sévère. Vainqueur, Lugdunum a été mis a sac et
Signaler Répondresa population massacrée.
"j'avais toujours cru que les pièces archéologiques devaient bénéficier de conditions de température, d'hygrométrie et de lumière bien précises." Bah ça dépend des pièces en question, faut faire la différence entre un papyrus de 4500 dans d'âge et un chapiteau en granit...... Faut pas être aussi basique dans la vie... Pauvre France...
Signaler RépondreJusqu'à présent, j'avais toujours cru que les pièces archéologiques devaient bénéficier de conditions de température, d'hygrométrie et de lumière bien précises. Je croyais aussi que seul un musée bien équipé était susceptible de remplir les indispensables conditions de sécurité. Je m'imaginais aussi que tout déplacement engendrait un risque.
Signaler RépondreJ'ai été lourdement trompé : les éléments de notre patrimoine ne seront ni volés, ni vandalisés, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles.