Après avoir quitté avec fracas la campagne présidentielle de Yannick Jadot, la militante écoféministe a appris avec surprise que sa candidature n'était finalement plus considérée par EELV pour les élections législatives en Ile-de-France. La faute au probable accord à venir avec l'Union populaire de Jean-Luc Mélenchon.
"Les partis évacuent de manière un peu systématique les personnes qui dérangent", a réagi Sandrine Rousseau pour Mediapart, demandant à ce qu'EELV en termine avec "les petits réglements de comptes qui ne sont pas à la hauteur de l'enjeu".
Pas de circonscription à Paris pour l'ex-candidate à la primaire écologiste. Et si elle rebondissait à Lyon ? "Franchement, je suis loin d'être favorable aux parachutages, mais Sandrine Rousseau peut avoir sa place entre Rhône et Saône", a réagi sur Twitter Bertrand Artigny, vice-président de la Métropole de Lyon chargé des Finances.
Les quatre circonscriptions lyonnaises ont pourtant déjà leurs candidats écologistes : Sophia Popoff, Hubert Julien-Laferrière, Marie-Charlotte Garin et Benjamin Badouard. Ces derniers apprécieront la remarque, mais se réconforteront en se rappelant que Bertrand Artigny peut le rêver très fort, il n'a pas le pouvoir d'offrir une investiture lyonnaise à Sandrine Rousseau.
Quelle honte pour la nomenklatura bureaucratique PARISIENNE EELV !
Signaler RépondreC'est une femme très capable, elle sait se battre pour la cause des femmes, faire bouger les choses pour le respect de la planète et du vivant et pourra redonner vie à la démocratie.
Sa venue à Lyon se fera SANS AUCUN DOUTE et ce sera notre future députée pour mettre Lyon à la pointe de l'écologie en France
Bon
Signaler RépondreVu que l on retourne à l air du charbon
La mine l attend
Elle va finir par se taire la Ségolène des escrolos ?
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