Taha Bouhafs sera donc le représentant de la Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale dans la 14e circonscription du Rhône couvrant Venissieux, Saint-Priest, Saint-Fons, Feyzin, Corbas et Solaize.
Le jeune homme dont la candidature est l’une des plus clivantes à gauche a publié un communiqué ce samedi soir pour expliquer ce qui l’a poussé à candidat pour un poste de député. Outre la volonté de porter Jean-Luc Mélenchon et son projet jusqu’à Matignon, Taha Bouhafs espère représenter les habitants "qui peinent à finir le mois et subissent les discriminations au quotidien".
"J’ai grandi dans un quartier populaire (Echirolles dans l’Isère, ndlr), j’ai vécu dans ma chair la précarité, le racisme et les violences de l’Etat", poursuit-il en assurant que cette candidature n’est qu’une prolongation de son travail de journaliste social lors de ces cinq dernières années.
Il rappelle ensuite que Venissieux et le quartier des Minguettes sont à l’origine de la "marche des beurs" de 1983. Il déplore cependant que le territoire "est malheureusement toujours dénigré pour ses quartiers populaires".
Et pour contrer les accusations de parachutage incohérent, affirme qu’il a "vécu et travaillé en banlieue lyonnaise" et qu’il "connait bien les problématiques de ce territoire" dans lequel il a des "attaches familiales".
Avec cette déclaration de candidature, la campagne de Taha Bouhafs est officiellement lancée. Reste à savoir si celui qui est déjà "écœuré et épuisé" mènera cette campagne sur le terrain.
"Il rappelle ensuite que Venissieux et le quartier des Minguettes sont à l’origine de la "marche des beurs" de 1983. Il déplore cependant que le territoire "est malheureusement toujours dénigré pour ses quartiers populaires"."
Signaler RépondreLe seul endroit où on m'a demandé de justifier mon identité et c'était pas la police mais les mecs qui traîne en bas, mais c'est sûr y'a pas de problème... Depuis je ne postule plus à aucun poste à Vénissieux et à Vaulx où y'a trop de retards dans les transports en commun à cause des incivilités qui force la police à tout arrêter pour arrêter...
""J’ai grandi dans un quartier populaire (Echirolles dans l’Isère, ndlr), j’ai vécu dans ma chair la précarité, le racisme et les violences de l’Etat""
Les réfugiés espagnols du franquisme aussi et eux vivaient souvent dans des bidonvilles quand ils n'avaient ni famille ni argent, et ont les entend pas beugler de 00h à 9h et vu que ça continue, pas impossible que ça dure jusqu'à 12h... J'ai presque pas dormi....
encore une preuve de ce qui nous attend avec melanchon
Signaler RépondreObjectifs: Developper l’islamo gauchisme qui rend la vie insupportable dans notre pays
Signaler Répondrecombattre le racisme ah ah c est l hôpital qui se fout de la charité.
Signaler Répondrepourquoi il ne reste plus que des médiocres en politique. et les média qui sont des entreprises commerciales ont besoin de matière premières ne vont chercher que des médiocres. peut être parce que le franchouillard moyen ne comprend que la médiocrité.