!["Je vais t’enterrer [...] sale pédé" : une agression homophobe au cœur de Confluence à Lyon](https://www.lyonmag.com/media/images/thumb/870x489_627e22c382fb3-agresseur-homophobe-ok.webp "\"Je vais t’enterrer [...] sale pédé\" : une agression homophobe au cœur de Confluence à Lyon")
Ce jeudi vers 18h30, une personne a été prise à partie dans le centre commercial de Confluence, dans le 2e arrondissement de Lyon. C’est la victime âgée de 23 ans qui a dénoncé cette agression homophobe, via une vidéo publiée dans la soirée sur Twitter et qui a été maintes fois relayée.
Durant 50 secondes, un individu multiplie les insultes au milieu de passants qui n’oseront pas agir malgré la présence de nombreux témoins. "Je te rétame ta grand-mère ; vieux gay, je te nique ta mère ; j’ai envie de te mettre des droites dans ta bouche" (sic) hurle notamment l’agresseur qui n’hésite pas à suivre sa cible du jour pour déferler sa haine dont l'origine est inconnue.
Pire, et alors que la victime reste absolument calme sans répondre aux provocations, l’homme véhément enchaîne avec des menaces de mort : "Je vais t’enterrer dans le garage, sale pédé" (re-sic).
Contactée par la rédaction de LyonMag, le jeune homme victime de l’agression déplore "l’habitude de ce genre de situation" mais note toutefois que cette dernière "a été plus violente que d’habitude".
Aucune plainte n’a été déposée pour le moment, mais Anthony devrait se rendre d’ici peu dans un commissariat pour lancer la procédure et tenter de retrouver l'individu filmé.
Vous découvrez l eau chaude?
Signaler RépondreDes comportements violents de ce genre, il y en a tous les jours depuis des décennies
Ce délinquants, mulot récidiviste sûrement, ne sera pas sanctionné, et on s excusera même de l
Importuner
Par contre, si cette crotte prend une gifle, elle va crier au racisme et revenir avec ses amis, comme toute racaille qui se respecte
Pendant ce temps la, les flics regardent et ne font rien
Je sais de quoi je parle, je me suis déjà fait agresser par ce genre d individus, et personne ne m’a aidé: ni les passants, ni les flics
Encore un frustré sexuel qui crache sa haine des autres....
Signaler Répondrebientot on va nous dire que c est un enfant de choeur offensé dans ses certitudes
Signaler RépondreLe réel adversaire ? C’est l’impunité de l’enfant roi qui est élevé dans une famille monoparentale par une mère sans éducation et sans père pour le corriger, voilà la réalité !
Signaler RépondreDifficile hélas de dénoncer ces comportements quand on soutient la religion qui les encourage.
Signaler RépondrePour vous c'est donc la victime qui est responsable (puisqu'elle se trompe de quartier).
Signaler RépondreD'autre part, relisez vous, l'accord verbal est encore dans la grammaire française.
Encore un garçon des quartiers qui est refoulé et préfère s'en prendre à un gars qui assume sa vie.. en France on peu être libre d’être ce que l'on souhaite mais certain on encore du mal à comprendre qu'on est au 21iéme siècle. Mentalité archaïque.
Signaler RépondreExact !
Signaler RépondreJ'aimerais avoir la version de l'agresseur car personne n'insulte une personne comme sa gratuitement il doit avoir un déclic avant mais biensur sa ces pas filmé
Signaler RépondrePauvre religieux d'amour qui s'est senti agressé par la présence intrinsèquement raciste de cet individu qui affiche ouvertement son impiété.
Signaler Répondrequel dilemme pour lfi deux types de profils qui font partie de son electorat
Signaler RépondreJe n arrive plus à comprendre ce monde, de plus en plus intolérant voire pourri. J ai grandit de les années 60/70, au dessus des Terreaux, où il y avait bcp d homos et de prostitution. Jamais, ils étaient agressés de la sorte. Ils faisaient leur vie, point barre ! Et nous la notre ! Foutez-leur la paix, à ces gens, car en plus, eux, vs foutent la paix !
Signaler RépondreLa victime a pensée qu’elle etait dans une galerie d’art des pentes.
Signaler RépondrePourtant un quartier inclusif.ve confluence
J'ai écouté la voix de l'assaillant 2s
Signaler RépondreCela suffit pour voir à quel profil on a affaire.
Sans surprise...
Mais les associations continuent de refuser de désigner leur réel adversaire.