Sauf que la suprématie des coéquipières de Wendie Renard n’est plus d’actualité depuis quelques années déjà. D’abord en Ligue des Champions où l’écart s’est resserrée avec certaines équipes. Puis progressivement en France où le PSG l’a fait chuter de son piédestal la saison passée.
La France arrivera-t-elle à suivre le nouveau rythme dicté par Barcelone, club que retrouvera l’OL en finale de Ligue des Champions ce week-end ? Non selon Sonia Bompastor.
La coach de l’OL féminin s’est confiée à RMC Sport et s’en prend directement à la FFF. "Là où il faut qu’on se réveille, c’est surtout au niveau de la fédération. J’étais au match entre Barcelone et l’Atlético ce week-end et il y a une vraie différence culturelle. Là-dessus, on a encore beaucoup de travail. Il faut améliorer les infrastructures, les stades, les conditions de retransmission à la TV", indique-t-elle.
"Si on veut que l’équipe de France aille chercher un titre, il faut que les joueuses internationales jouent des matchs compétitifs tous les week-end. Il y a une urgence, je tire la sonnette d’alarme", poursuit Sonia Bompastor.
L’ancienne joueuse des Bleues et de Lyon aimerait aussi que la FFF s’active sur la possibilité pour les clubs d’ouvrir des centres de formation reconnus par l’Etat. Ce qui n’est pas le cas dans le foot féminin dans l’Hexagone. "Ca fait quatre-cinq ans qu’on est prêts pour avoir un centre de formation. Aujourd’hui, quand il faut prendre des décisions, on n'y arrive jamais. C’est tout le temps repoussé d’une année. À un moment donné, il faut prendre des décisions qui vont en faveur du haut niveau. On a développé la base et c’est une bonne chose. Pendant des années, la Fédération a développé la masse et le nombre de licenciés, c’était important. Maintenant il faut mettre le paquet sur le haut niveau", conclut-elle.
Un discours pas très rassurant à quelques jours de rencontrer le nouveau cador européen…
On se souvient que quelques mois plus tôt, en février, c'était l'attaquante norvégienne Ada Hegerberg qui taclait la FFF. En réaction à la candidature de la France pour l'Euro 2025, elle estimait que les stades franças étaient "à la ramasse". "Organiser des compétitions internationales, c'est bien. S'investir dans notre championnat, c'est mieux", prônait-elle. Un petit séisme à l'époque, à tel point que Jean-Michel Aulas avait présenté ses excuses à la fédération.
Bonne chance à nos championnes
Signaler Répondremais oui !!!!!! c'est uniquement celà !!!!!! quand on entends megan rapinoe totalement inconnue hors usa (et encore) qui veut le même salaire que ronaldo et messi parcequ'elle se croit meilleure que les hommes ça me rend dingue
Signaler Répondrede plus le foot féminin à atteind son pic d'audience on fera pas mieux .........
Très bien réveillé pour ma part camarade.
Signaler RépondreMes propos manifestes sont pour dénoncer l'attitude de la République française et non de la population.
Concernant les bons comportements ou bonnes attitudes dans cette société, je classe et j'approuve largement le modèle des musulmans qui sont très au-dessus des gaulois sur le savoir et le savoir-vivre.
Pour tous ceux , et celles , qui prônent soit-disant la parité dans notre pays, on est bien loin du compte, dans le sports . Sauf au gouvernement sinon ça ferait jaser...
Signaler RépondreEt alors ? Pourquoi d’après vous la France est fracturée ? Parce que même des occidentaux comme moi , regrette la VRAIE société patriarcale, pas CELLE matriarcale dont vous parler qui est au pouvoir . Vous avez Tué la famille, le patriarche et ses valeurs , maintenant vous récoltez la violence de tous les côtés sans HOMMES, de VRAIS HOMME pour la protéger ! Je préfère les valeurs de l’islam aux valeurs décadentes de votre soit disant ´ patriarcat’ qui n’est autre qu’une fumisterie des Pleutres pour cacher ´la femme toute puissante. Les hommes sont féminisés et les femmes se sont masculinisées , une société qui n’est plus la mienne ni celle de millions de français.
Signaler Répondre..... surtout une affaire de pognon ! Tout tourne autour du pognon, encore, toujours , de plus en plus ! Jusqu'à la nausée
Signaler RépondreEn France, la question du féminine est dans tous les secteurs et domaines d'activité de la société patriarcale !encore au XIX ème siècle !
Signaler RépondreLa France n'accepte pas encore au XXI ème siècle le pouvoir féminin et le féminisme.