Une enquête publiée par La Tribune de Lyon révèle la passivité de l’administration de l’Université Lyon 3 pour venir en aide aux victimes d’oppressions et de harcèlement. Un article révèle l’existence de harcèlement moral et de violences sexuelles au sein d’une association reconnue par l’Université. De plus, la position du président, Eric Carpano, ne passe pas. Pour les étudiants c’est à l’image "du manque de considération total vis-à-vis de la parole des victimes." Eric Carpano a en effet déclaré qu’il y a "tendance à se dire victime très facilement."
Les étudiants rappellent "que la reproduction des oppressions dans l’Enseignement supérieur est un frein à l’égalité, au droit à la réussite et à l’émancipation de tous". Selon eux, "au-delà de l’obligation légale, la cellule de veille et d’écoute est un outil indispensable pour permettre à la libération de la parole des victimes et leur accompagnement psychologique." Ils dénoncent également que le dispositif mis en place ne doit en aucun cas émettre un jugement sur le discours de la victime ni remettre en question les violences qu’elle a pu subir.
L’UNEF revendique ainsi la mise en place d’une réelle cellule de veille et d’écoute qui dispose à la fois de compétences pour accompagner juridiquement, socialement et psychologiquement les victimes. "L’Université Lyon 3 ne peut pas se targuer d’avoir un dispositif d’accompagnement et d’écoute des victimes, quand son président assume publiquement que la parole des victimes est remise en question lorsqu’elles demandent de l’aide et souhaitent être écoutées", alerte l’association.
C est pas "les étudiants" qui signifierait tous les étudiants mais " des étudiants"... Dont les extrémistes de l UNEF
Signaler RépondreIl faut arrêter le délire Lyon Mag et les quelques autres médias qui parlent de cela. Il y a quelques étudiants, moins de 10, qui se plaignent d'être victime de tout et n'importe quoi depuis quelques temps. Leur parole est portée par l'UNEF qui sont toujours prêt à faire le buzz a la moindre occasion, surtout quand c'est pour taper sur Lyon 3. Essayez donc de faire du vrai journalisme au lieu de la propagande.
Signaler RépondreJe suis ancien étudiant de Lyon 3 et de gauche. Quand j'y étais je me suis intéressé a la vie associative et syndicale. L'UNEF m'a très vite dégouté, leurs principes : si t'es pas d'accord avec nous tu es contre nous, si tu nous contredis t'es un fasciste... Une fois j'ai voulu débattre d'un sujet avec eux, nous n'étions pas d'accord, je cherchais juste a apporter un peu de nuance a leurs propos très exagérés, ils se sont emballés, scandalisés, alors qu'on étais d'accord sur le fond mais je trouvais juste qu'ils allaient beaucoup trop loin. Ils ont finis par me menacer de me frapper, a 3 contre 1 bien sûr, et quand ils ont vus que je me demontais pas et que j'étais prêts à me défendre s'ils levaient la main, ils sont partis en m'insultant (stupides et lâches). Donc quand ils viennent dénoncer le harcèlement et les agressions ça me fait doucement rigoler, c'est les pires que j'ai connu a Lyon 3 sur le sujet.
Ils ne faut pas céder à la pression de ces gens, qui desservent d'ailleurs les vraies victimes en faisant l'apologie de la victimisation pour tout et n'importe quoi. Respectons et soutenons les victimes mais ne cherchons pas des bourreaux a tout pris dans nos vie, que chacun se responsabilise au lieu de systématiquement chercher un coupable extérieur à ses problèmes ou son mal être.
Enfin, le rôle de l'université est de former et instruire, les victimes peuvent se tourner vers la police, il existe aussi des tas d'associations et de numéros verts, des professionnels de santé prêts à écouter et accompagner. Ne mélangeons pas tout. Ce n'est pas un problème systémique a l'université, malgré ce que veut faire croire l'UNEF depuis de nombreuses années. Les commentaires sous cet article sont d'ailleurs bien représentatifs de cela.
Il ne faut pas dire " les étudiants de Lyon 3 " mais " quelques "...
Signaler RépondreDans leur grande majorité ces faits ne les ont pas touchés
La propagande de l'UNEF ne fait pas dans la demie mesure !!!
@stop, personne ne vous oblige à lire mes commentaires et de fait vous propose de vous appliquer vos propres conseils qui sont de sortir et de lire
Signaler RépondreLes pseudo victimes nous font c....
Signaler Répondrearrêtez vos 1547 commentaires quotidiens sur le site de LM! Ils sont inutiles, à coté de la plaque.Lisez plutôt ou allez prendre l'air ,ça sera le mieux pour vous et pour nous
Signaler RépondreJe tombe des nues devant ce qu'est devenue l'Université.
Signaler RépondreEn fac de sciences (je parle de ce que je connais mais dans d'autres branches ce devait être similaire) il y a 30 ans, on venait pour suivre des études (difficiles) et tenter de décrocher un diplôme valorisant sur le marché du travail. On ne venait pas y faire de la politique ou des manifs, vraiment pas le temps ni la tête à ça.
Il y a avait en grande majorité des gens sérieux et bosseurs, les autres ne passant pas le cap du DEUG (BAC+2).
Là ça semble être un repère de victimaires cherchant des poux aux autres étudiants au prétexte de discrimination ou de racisme, dégainant facilement leur avocat si ils s'estiment mal notés, et imposant leurs tenues à connotation religieuse.
Eric Carpano est courageux de tenter de résister à ça, mais je crains qu'il soit sur un siège éjectable, dans notre société très repentante et très compréhensive envers les "victimaires"...
Oui Tatin, il n'y a que les neuneus gauchos qui prennent tous les travers qui viennent des États-Unis tellement ils ne sont plus capables de penser et d'avoir des idées par eux-mêmes, c'est dire leur niveau de bêtise.
Signaler RépondreChouki, je n'aurais pas mieux commenté,
Signaler RépondreIls sont très stupides car à force de crier au loup plus personne ne les croira lorsque des faits seront avérés, si cette gauche était un tant soit peu intelligente ça se saurait.
C'est ça l'extrême gauche, ils sont des victimes permanentes, si le Président constate cette victimisation récurrente c'est qu'il constate les faits, il n'ai pas dans son intérêt de ne pas tenir compte de la réalité, entre autre ces gauchos
Signaler RépondreSe font passer pour des victimes dans le but de noyer le poisson, de cacher leurs propres exactions, c'est bien connu.
Définition de l'extrême gauche.
Signaler RépondrePleurer et se victimiser, mais en n'ayant jamais le courage de construire quelque chose. Ils préfèrent détruire la maison du voisin plutôt que de construire la leur.
Les étudiants de Lyon 3 dénoncent....
Signaler RépondreComme déja grand papa en 40.
Génétique sans doute?
Article sur l’oppression et sur des agressions et vous trouvez encore le moyen de critiquer !
Signaler RépondreVous êtes irrécupérables, si vous n’avez rien à dire n’intervenez pas.
Les futurs cadres de la Nupes sont en campagne...
Signaler RépondreEffectivement, à part jouer les victimes….là ils sont hors concours!
Signaler RépondreCompletement d'accord : le repère à gauchiants glandeurs professionnels et sans avenir c'est Lyon 2
Signaler RépondreEt puis selon le profil de l'agresseur, l' Unef incitera les victimes à porter plainte ou pas, comme le fait le parti des insoumis .
Signaler RépondreEn clair si votre harcèleur ou agresseur est blanc, la victime sera fortement incité à porter plainte mais si elle est de la, même origine que Tahaf Bouhaf, les victimes seront férmement inciter à fermer leur g...e si je puis dire.
Qu'ils aillent à Lyon 2. Harceler les étudiants de droite. C'est la seule raison de leurs ''études''
Signaler RépondreA force de prioriser l'inclusion, l'administrations et les syndicats ne s'occupent plus de l'essentiel.
Signaler RépondreEspérons que les évolutions aux USA n'arrivent jamais jusque dans notre pays :
" Le gouvernement fédéral et les dirigeants élus ont introduit un langage inclusif tel que « personne qui accouche » par opposition à « femme enceinte » ou « mère ». "
Je suis tout à fait de votre avis. Il faut que les nouveaux étudiants dès leur première année n'arrivent pas en proie face aux belles paroles de ces " farceurs ". Ils ne défendent rien ils accusent tout, sans aucun argument pour vous défendre. Au lycée avant d'entrer en fac, un prof nous avait entretenu de cet état de fait, de ces rapaces qui vous guettent, et, peu se sont laissés prendre, ce qui pour moi ne s'est pas posé en fac de médecine.
Signaler Répondreça vous dit d'étudier ?
Signaler RépondreMais que l'UNEF se taise... il y a plus de 20 ans, je me suis fait avoir, le jour des inscriptions à l'université, par ces racoleurs qui attendaient à la sortie... Engagez-vous, qu'ils disaient !
Signaler RépondreJ'ai assisté à une réunion... et bien que totalement naïve à l'époque, j'ai été totalement interloquée, et définitivement dégoutée, par l'ambiance, les jérémiades et la victimisation constante (à l'époque, on ne connaissait pas encore ce terme).
Le seul but de ces gens, c'était de taper sur le syndicat adverse (quel que soit ses idées, ses propositions, c'était forcément l'ennemi, point barre). Et de profiter du système, en justifiant toutes les actions violentes pour ça.
Je n'y ai jamais remis les pieds, et quand je vois ce que ce syndicat est devenu, je ne suis pas étonnée...
... organisez une "Marche des OuinOuins" en burkini...
Signaler RépondreÀ force de crier au loup tout en organisant des réunions interdites aux Blancs ou en jetant en pâture des profs comme à Science Po Grenoble... tout le monde a bien compris que la victimisation à outrance et perpétuelle est une méthode politique pour imposer votre islamo-gauchisme, sans même que ce vous prétendez dénoncer ait besoin d'être réel ....
Vous passez votre temps à faire vos pleureuses pour un oui ou un non alors que parallèlement vous êtes 100 fois pire que ceux que vous dénoncez... Résultat : Plus AUCUNE CRÉDIBILITÉ... les gens se disent qu'ils ont autre chose à faire que de perdre leur temps à écouter vos jérémiades et vos délires....
On récolte ce que l'on sème... l'UNEF !
Ces étudiants devrait rejoindre leur milieu naturel qu'est Lyon 2! Là-bas pas de discrimination (sauf si tu es de droite) le port du sarouel, du keffieh et du voile est largement encouragé... D'autres espèces d'hommes soja et de fille a cheveux bleus et rose arpentent les couloirs de ce laboratoire de la réussite... Chacun sa place !
Signaler RépondreBel exemple typique de l'idéologie victimaire gauchiste. A quand une gauche ancrée dans le réel et non plus soumise aux idéologies qui cherchent à détruire la dernière université performante de Lyon?
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