Les bateaux-mouches ont été créés sur le chantier lyonnais de la Mouche, aujourd’hui à Gerland.
Dès 1860, la flotte de cinq bateaux est utilisée pour le transport de marchandises et de passagers. Deux industriels Chaize et Emile Plasson le permettent grâce à leur Compagnie des "Mouches", du surnom des bras fluviaux.
En 1867, l’armateur lyonnais Michel Félizat a répondu à un appel d’offre des organisateurs de l’exposition universelle de Paris de cette année-là. Le but était d’assurer le transport fluvial sur la Seine. C’est pourquoi, trente bateaux-mouches naviguèrent pour la première fois sur les eaux parisiennes. Les Parisiens purent profiter de ces navettes mais pas encore les touristes.
La fin du transport fluvial
Après la Seconde Guerre mondiale, les transports terrestres et souterrains comme le métro se sont développés aux détriments des bateaux-mouches. C’est alors que Jean Bruel donna à ces bateaux leur actuel objectif touristique grâce à des promenades commentées sur la Seine. Il déposa, en 1950, la marque "Bateaux-Mouches".
Pour lancer son affaire, il créa un canular sur l’origine du nom "Mouche". Il inventa un personnage : Jean-Sébastien Mouche, le soi-disant concepteur du tourisme fluvial et du "mouchard" d’espionnage. Il fit même ériger une statue et écrire une biographie dans Le Monde.
Tout ça n'a rien d'ecologique, et encore moins les ferryboats que STX tente de refourguer...
Signaler RépondreTu as ta gamelle ?
Signaler RépondreOui toi aussi?
on va pouvoir réchauffer ...et pour pas cher
on le sait depuis longtemps
Signaler Répondreles parisiens sont prêts à tout pour se faire de la pub sur le dos des lyonnais ! !!!
Signaler RépondreExcellent .....
Signaler RépondreEt d'ailleurs, le quartier s''appelait La Mouche il y a encore quelques dizaines d'années.
C'est l'inverse de l'incontournable maire de Lyon, il est en réalité parisien.
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